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La féerie cinghalaise. Ceylan avec les anglais
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- FormatePub
- ISBN978-2-35074-981-5
- EAN9782350749815
- Date de parution30/06/2025
- Protection num.pas de protection
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurMagellan & Cie Éditions
Résumé
A l'approche de la cinquantaine, Francis de Croisset réalise un vieux rêve : confronter une île fantasmée à sa réalité. Les opérettes et les comédies qui ont fait son succès à Paris avaient souvent comme argument ce monde indien inconnu. Ceylan, colonie britannique au sud-est de l'Inde, se révèle d'une richesse étonnante par son histoire et sa nature profuse. Les temples millénaires du centre, les éléphants en liberté ou les fleurs et les fruits qui poussent sans entrave le réjouissent.
Accompagné par des représentants parfois collants de sa Gracieuse Majesté, en se moquant de leur inimitable accent français, le voyageur curieux nous offre ici de vivantes descriptions pleines d'un humour inattendu. Ce joyau de l'océan Indien, encore mal connu des Français, y gagne sous sa plume authenticité et hommage à sa beauté.À PROPOS DE L'AUTEURFrancis de Croisset est issu d'une famille juive allemande.
Son grand-père, Jacques Wiener (1815-1899), s'était installé vers 1835 à Bruxelles ; graveur, il créa le premier timbre belge. Il projetait, pour mieux s'intégrer à la société parisienne, de demander sa naturalisation, de changer de nom et de se faire baptiser et que le nom de Croisset était pour lui « le nom du village d'où Gustave Flaubert datait les volumes de sa correspondance[3] ». En 1911, il obtint du Conseil d'État le changement de son nom pour celui de Wiener de Croisset[4].
Accompagné par des représentants parfois collants de sa Gracieuse Majesté, en se moquant de leur inimitable accent français, le voyageur curieux nous offre ici de vivantes descriptions pleines d'un humour inattendu. Ce joyau de l'océan Indien, encore mal connu des Français, y gagne sous sa plume authenticité et hommage à sa beauté.À PROPOS DE L'AUTEURFrancis de Croisset est issu d'une famille juive allemande.
Son grand-père, Jacques Wiener (1815-1899), s'était installé vers 1835 à Bruxelles ; graveur, il créa le premier timbre belge. Il projetait, pour mieux s'intégrer à la société parisienne, de demander sa naturalisation, de changer de nom et de se faire baptiser et que le nom de Croisset était pour lui « le nom du village d'où Gustave Flaubert datait les volumes de sa correspondance[3] ». En 1911, il obtint du Conseil d'État le changement de son nom pour celui de Wiener de Croisset[4].
A l'approche de la cinquantaine, Francis de Croisset réalise un vieux rêve : confronter une île fantasmée à sa réalité. Les opérettes et les comédies qui ont fait son succès à Paris avaient souvent comme argument ce monde indien inconnu. Ceylan, colonie britannique au sud-est de l'Inde, se révèle d'une richesse étonnante par son histoire et sa nature profuse. Les temples millénaires du centre, les éléphants en liberté ou les fleurs et les fruits qui poussent sans entrave le réjouissent.
Accompagné par des représentants parfois collants de sa Gracieuse Majesté, en se moquant de leur inimitable accent français, le voyageur curieux nous offre ici de vivantes descriptions pleines d'un humour inattendu. Ce joyau de l'océan Indien, encore mal connu des Français, y gagne sous sa plume authenticité et hommage à sa beauté.À PROPOS DE L'AUTEURFrancis de Croisset est issu d'une famille juive allemande.
Son grand-père, Jacques Wiener (1815-1899), s'était installé vers 1835 à Bruxelles ; graveur, il créa le premier timbre belge. Il projetait, pour mieux s'intégrer à la société parisienne, de demander sa naturalisation, de changer de nom et de se faire baptiser et que le nom de Croisset était pour lui « le nom du village d'où Gustave Flaubert datait les volumes de sa correspondance[3] ». En 1911, il obtint du Conseil d'État le changement de son nom pour celui de Wiener de Croisset[4].
Accompagné par des représentants parfois collants de sa Gracieuse Majesté, en se moquant de leur inimitable accent français, le voyageur curieux nous offre ici de vivantes descriptions pleines d'un humour inattendu. Ce joyau de l'océan Indien, encore mal connu des Français, y gagne sous sa plume authenticité et hommage à sa beauté.À PROPOS DE L'AUTEURFrancis de Croisset est issu d'une famille juive allemande.
Son grand-père, Jacques Wiener (1815-1899), s'était installé vers 1835 à Bruxelles ; graveur, il créa le premier timbre belge. Il projetait, pour mieux s'intégrer à la société parisienne, de demander sa naturalisation, de changer de nom et de se faire baptiser et que le nom de Croisset était pour lui « le nom du village d'où Gustave Flaubert datait les volumes de sa correspondance[3] ». En 1911, il obtint du Conseil d'État le changement de son nom pour celui de Wiener de Croisset[4].