La faute à Kerouac

Par : Richard Walter
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  • Nombre de pages192
  • FormatePub
  • ISBN978-2-39070-006-7
  • EAN9782390700067
  • Date de parution06/01/2023
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLes Impressions nouvelles

Résumé

Les téléphones n'étaient alors ni intelligents ni mobiles, les voitures pas encore hybrides. C'étaient les années 1970 et un jeune homme partait en stop sur les routes d'Europe. Pour se découvrir, pour l'aventure et pour trouver l'âme sour. Au hasard de ses voyages, saupoudrés de rock plus ou moins dur et de drogues plus ou moins douces, il collectionne les rencontres, dort en prison, fait fumer un joint à un aumônier.
Mais Kerouac est mort en 1969, et « partir c'est partir loin et partir loin c'est revenir ». Cette chronique gentiment déjantée d'un monde parallèle où l'auto-stop pouvait emporter très loin ses serviteurs est d'une irrésistible drôlerie. Richard Walter a choisi l'école de la rue à laquelle ses études « humanistes » ne le prédisposaient guère. Il a été équipier chez Mc Donald, arpète sur les chantiers, figurant, éboueur, plongeur (en apnée dans les bacs de lavage) à Rome, « triton » au théâtre, jardinier-paysagiste au Royaume Uni.
Puis photographe et redac'chef d'un magazine, pour finalement quitter son poste et devenir gardien vacataire au musée du Louvre, puis à celui de Montmartre. Il vit et écrit dans le 18ème arrondissement.
Les téléphones n'étaient alors ni intelligents ni mobiles, les voitures pas encore hybrides. C'étaient les années 1970 et un jeune homme partait en stop sur les routes d'Europe. Pour se découvrir, pour l'aventure et pour trouver l'âme sour. Au hasard de ses voyages, saupoudrés de rock plus ou moins dur et de drogues plus ou moins douces, il collectionne les rencontres, dort en prison, fait fumer un joint à un aumônier.
Mais Kerouac est mort en 1969, et « partir c'est partir loin et partir loin c'est revenir ». Cette chronique gentiment déjantée d'un monde parallèle où l'auto-stop pouvait emporter très loin ses serviteurs est d'une irrésistible drôlerie. Richard Walter a choisi l'école de la rue à laquelle ses études « humanistes » ne le prédisposaient guère. Il a été équipier chez Mc Donald, arpète sur les chantiers, figurant, éboueur, plongeur (en apnée dans les bacs de lavage) à Rome, « triton » au théâtre, jardinier-paysagiste au Royaume Uni.
Puis photographe et redac'chef d'un magazine, pour finalement quitter son poste et devenir gardien vacataire au musée du Louvre, puis à celui de Montmartre. Il vit et écrit dans le 18ème arrondissement.