La faille du Bosphore. Entretiens de Rosie Pinhas Delpuech par Maxime Maillard sur le métier de traduire et d'écrire

Par : Rosie Pinhas-Delpuech, Maxime Maillard
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  • Nombre de pages96
  • FormatePub
  • ISBN978-2-88960-128-8
  • EAN9782889601288
  • Date de parution03/11/2023
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille584 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLA BACONNIERE

Résumé

« Mais c'est là que comme Orphée, il ne faut pas se retourner, la traduction atteint sa limite et passe le relais à l'écriture. En suivant un écrivain de cette manière, en conjuguant littérature et psychanalyser, en comprenant qu'il ne s'agit pas de combler le trou de la perte, mais de rester devant l'impossible origine, l'impossible identité, l'impossible unité compacte de l'être, on se rend compte que la langue se construit sur du manque, sur ce qu'on ne peut pas dire.
» Rosie Pinhas-Delpuech nous conte au long de cet entretien mené par Maxime Maillard, son enfance chatoyante dans une polyphonie de langues et son travail de traductrice. Particulièrement attentive aux sonorités, elle perçoit tant la charge obscure des mots de l'hébreu biblique que la musique de la rue de Tel-Aviv d'Etgar Keret. Forte d'une pratique artisanale où les mots sont matière, l'écrivaine et la traductrice de l'hébreu met à plat les trames et les fils de son métier sans oublier ses conditions pratiques.
Après une enfance passée à Istanbul, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, entourée par une mère germanophone, une grand-mère judéo-espagnole et un père francophone, Rosie Pinhas-Delpuech émigre en France puis en Israël avant de s'installer à Paris en 1984. Elle est aujourd'hui une figure incontournable des lettres hébraïques en francophonie. Maxime Maillard est journaliste et écrivain suisse.
Son dernier livre, Tamam, récit d'un voyage entre Istanbul et Konya, est paru en 2022. Auteure, traductrice, pont entre plusieurs langues et cultures, Rosie Pinhas-Delpuech a beaucoup d'histoires à raconter. D'une enfance passée à Istanbul entre une mère germanophone, une grand-mère judéo-espagnole et un père francophone, elle émigre en France puis en Israël avant de s'installer à Paris et de s'engouffrer dans le métier de traductrice de l'hébreu.
Suite à sa traduction de Yaakov Shabtai? dont les sonorités évoquent la Turquie de son enfance, elle deviendra écrivaine.
« Mais c'est là que comme Orphée, il ne faut pas se retourner, la traduction atteint sa limite et passe le relais à l'écriture. En suivant un écrivain de cette manière, en conjuguant littérature et psychanalyser, en comprenant qu'il ne s'agit pas de combler le trou de la perte, mais de rester devant l'impossible origine, l'impossible identité, l'impossible unité compacte de l'être, on se rend compte que la langue se construit sur du manque, sur ce qu'on ne peut pas dire.
» Rosie Pinhas-Delpuech nous conte au long de cet entretien mené par Maxime Maillard, son enfance chatoyante dans une polyphonie de langues et son travail de traductrice. Particulièrement attentive aux sonorités, elle perçoit tant la charge obscure des mots de l'hébreu biblique que la musique de la rue de Tel-Aviv d'Etgar Keret. Forte d'une pratique artisanale où les mots sont matière, l'écrivaine et la traductrice de l'hébreu met à plat les trames et les fils de son métier sans oublier ses conditions pratiques.
Après une enfance passée à Istanbul, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, entourée par une mère germanophone, une grand-mère judéo-espagnole et un père francophone, Rosie Pinhas-Delpuech émigre en France puis en Israël avant de s'installer à Paris en 1984. Elle est aujourd'hui une figure incontournable des lettres hébraïques en francophonie. Maxime Maillard est journaliste et écrivain suisse.
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