La fable des abeilles

Par : Bernard de Mandeville
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  • Nombre de pages276
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8238-5717-7
  • EAN9782823857177
  • Date de parution26/10/2017
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Éditeur12-21
  • Commentateur (texte)Dany-Robert Dufour

Résumé

Un texte fondateur de la pensée néolibérale. Cette fable politique du XVIIIe siècle, trop souvent réduite à l'idée que " les vices privés font les vertus publiques ", est ici présentée par Dany Robert-Dufour. Il montre dans son introduction pourquoi ce texte est le ferment de la pensée libérale et comment, dès sa sortie en 1723, il déclenche un scandale ; les esprits bien-pensants de l'époque étant épouvantés et jugeant l'ouvrage pernicieux et diabolique.
Bernard de Mandeville démonte dans une fable aussi impudente qu'effrontée les artefacts de la morale commune. Contrairement à Rousseau pour qui l'homme est naturellement bon, Mandeville le conçoit comme un véritable fripon. Cette fable, publiée dans une nouvelle traduction, est accompagnée d'autres textes de l'auteur qui permettent de comprendre l'importance de l'utilité sociale de l'égoïsme pour comprendre les ressorts économiques de la prospérité.
Un texte fondateur de la pensée néolibérale. Cette fable politique du XVIIIe siècle, trop souvent réduite à l'idée que " les vices privés font les vertus publiques ", est ici présentée par Dany Robert-Dufour. Il montre dans son introduction pourquoi ce texte est le ferment de la pensée libérale et comment, dès sa sortie en 1723, il déclenche un scandale ; les esprits bien-pensants de l'époque étant épouvantés et jugeant l'ouvrage pernicieux et diabolique.
Bernard de Mandeville démonte dans une fable aussi impudente qu'effrontée les artefacts de la morale commune. Contrairement à Rousseau pour qui l'homme est naturellement bon, Mandeville le conçoit comme un véritable fripon. Cette fable, publiée dans une nouvelle traduction, est accompagnée d'autres textes de l'auteur qui permettent de comprendre l'importance de l'utilité sociale de l'égoïsme pour comprendre les ressorts économiques de la prospérité.