La drôle de guerre. L'entrée en guerre des Français (septembre 1939 - mai 1940)
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- Nombre de pages445
- FormatePub
- ISBN978-2-410-00759-6
- EAN9782410007596
- Date de parution15/05/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille748 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBELIN EDITEUR
Résumé
Rares sont les périodes de l'histoire contemporaine qui ont suscité autant d'idées reçues que les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale en France. L'expression « drôle de guerre », qui s'est répandue parmi les soldats dès l'automne 1939, s'est imposée pour qualifier ces quelques mois qui séparent la déclaration de guerre à l'Allemagne, le 3?septembre 1939, de l'entrée des troupes de la Wehrmacht sur le territoire français, le 10?mai 1940.
L'absence d'offensives d'envergure singularise cette période au regard de la Première Guerre mondiale, qui est alors la guerre de référence, mais le pays est bien en état de guerre avec des familles déchirées par la mobilisation, les craintes d'attaques aériennes soudaines, les déplacements de populations, les premiers sacrifices de l'arrière. Cette période, souvent perçue comme faite d'insouciance avant la plongée dans les « années noires », a bien été vécue comme une entrée en guerre par la population française.
En se fondant sur les sources diplomatiques, la presse, les correspondances mais aussi les abondantes archives de police et des Renseignements généraux, Fabrice Grenard décrit avec précision la situation militaire et politique de la France de la drôle de guerre mais aussi le comportement et l'état d'esprit des Français durant les premiers mois du conflit.
L'absence d'offensives d'envergure singularise cette période au regard de la Première Guerre mondiale, qui est alors la guerre de référence, mais le pays est bien en état de guerre avec des familles déchirées par la mobilisation, les craintes d'attaques aériennes soudaines, les déplacements de populations, les premiers sacrifices de l'arrière. Cette période, souvent perçue comme faite d'insouciance avant la plongée dans les « années noires », a bien été vécue comme une entrée en guerre par la population française.
En se fondant sur les sources diplomatiques, la presse, les correspondances mais aussi les abondantes archives de police et des Renseignements généraux, Fabrice Grenard décrit avec précision la situation militaire et politique de la France de la drôle de guerre mais aussi le comportement et l'état d'esprit des Français durant les premiers mois du conflit.
Rares sont les périodes de l'histoire contemporaine qui ont suscité autant d'idées reçues que les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale en France. L'expression « drôle de guerre », qui s'est répandue parmi les soldats dès l'automne 1939, s'est imposée pour qualifier ces quelques mois qui séparent la déclaration de guerre à l'Allemagne, le 3?septembre 1939, de l'entrée des troupes de la Wehrmacht sur le territoire français, le 10?mai 1940.
L'absence d'offensives d'envergure singularise cette période au regard de la Première Guerre mondiale, qui est alors la guerre de référence, mais le pays est bien en état de guerre avec des familles déchirées par la mobilisation, les craintes d'attaques aériennes soudaines, les déplacements de populations, les premiers sacrifices de l'arrière. Cette période, souvent perçue comme faite d'insouciance avant la plongée dans les « années noires », a bien été vécue comme une entrée en guerre par la population française.
En se fondant sur les sources diplomatiques, la presse, les correspondances mais aussi les abondantes archives de police et des Renseignements généraux, Fabrice Grenard décrit avec précision la situation militaire et politique de la France de la drôle de guerre mais aussi le comportement et l'état d'esprit des Français durant les premiers mois du conflit.
L'absence d'offensives d'envergure singularise cette période au regard de la Première Guerre mondiale, qui est alors la guerre de référence, mais le pays est bien en état de guerre avec des familles déchirées par la mobilisation, les craintes d'attaques aériennes soudaines, les déplacements de populations, les premiers sacrifices de l'arrière. Cette période, souvent perçue comme faite d'insouciance avant la plongée dans les « années noires », a bien été vécue comme une entrée en guerre par la population française.
En se fondant sur les sources diplomatiques, la presse, les correspondances mais aussi les abondantes archives de police et des Renseignements généraux, Fabrice Grenard décrit avec précision la situation militaire et politique de la France de la drôle de guerre mais aussi le comportement et l'état d'esprit des Français durant les premiers mois du conflit.