La dernière passion de Napoléon. La bibliothèque de Sainte-Hélène
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- Nombre de pages336
- FormatePub
- ISBN978-2-37933-734-5
- EAN9782379337345
- Date de parution01/09/2021
- Protection num.Adobe DRM
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPassés Composés
Résumé
À Sainte-Hélène, Napoléon n'était pas seulement un prisonnier en conflit avec ses geôliers, il était encore et toujours un homme d'action. En plus de dicter ses mémoires, il a eu une passion méconnue et dévorante : sa bibliothèque. Il finit par s'y investir totalement, comme dans le seul domaine où il pouvait retrouver son pouvoir perdu. Les livres étaient désormais les seuls champs de bataille sur lesquels il pouvait s'illustrer.
La bibliothèque est une autre facette du Napoléon prisonnier largement ignorée jusqu'à maintenant. À la faveur de cette histoire, c'est bel et bien un portrait jamais dessiné des dernières années de Napoléon que dessine ici Jacques Jourquin, celui d'un homme qui retrouve un de ses plus vieux engouements, sur lequel il concentre ses dernières forces, ses derniers espoirs. Tiré d'archives inédites, ignorées pendant deux cents ans, de Saint-Denis, le « garde des livres » de l'Empereur, ce livre renouvelle considérablement la connaissance que nous avions de l'exil à Sainte-Hélène.
La bibliothèque est une autre facette du Napoléon prisonnier largement ignorée jusqu'à maintenant. À la faveur de cette histoire, c'est bel et bien un portrait jamais dessiné des dernières années de Napoléon que dessine ici Jacques Jourquin, celui d'un homme qui retrouve un de ses plus vieux engouements, sur lequel il concentre ses dernières forces, ses derniers espoirs. Tiré d'archives inédites, ignorées pendant deux cents ans, de Saint-Denis, le « garde des livres » de l'Empereur, ce livre renouvelle considérablement la connaissance que nous avions de l'exil à Sainte-Hélène.
À Sainte-Hélène, Napoléon n'était pas seulement un prisonnier en conflit avec ses geôliers, il était encore et toujours un homme d'action. En plus de dicter ses mémoires, il a eu une passion méconnue et dévorante : sa bibliothèque. Il finit par s'y investir totalement, comme dans le seul domaine où il pouvait retrouver son pouvoir perdu. Les livres étaient désormais les seuls champs de bataille sur lesquels il pouvait s'illustrer.
La bibliothèque est une autre facette du Napoléon prisonnier largement ignorée jusqu'à maintenant. À la faveur de cette histoire, c'est bel et bien un portrait jamais dessiné des dernières années de Napoléon que dessine ici Jacques Jourquin, celui d'un homme qui retrouve un de ses plus vieux engouements, sur lequel il concentre ses dernières forces, ses derniers espoirs. Tiré d'archives inédites, ignorées pendant deux cents ans, de Saint-Denis, le « garde des livres » de l'Empereur, ce livre renouvelle considérablement la connaissance que nous avions de l'exil à Sainte-Hélène.
La bibliothèque est une autre facette du Napoléon prisonnier largement ignorée jusqu'à maintenant. À la faveur de cette histoire, c'est bel et bien un portrait jamais dessiné des dernières années de Napoléon que dessine ici Jacques Jourquin, celui d'un homme qui retrouve un de ses plus vieux engouements, sur lequel il concentre ses dernières forces, ses derniers espoirs. Tiré d'archives inédites, ignorées pendant deux cents ans, de Saint-Denis, le « garde des livres » de l'Empereur, ce livre renouvelle considérablement la connaissance que nous avions de l'exil à Sainte-Hélène.