La dérive des continents. ""La conscience des réseaux, des fils qui relient le monde et, en même temps, l’intuition de la dérive des continents.""

Par : Philippe Maurel

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  • Nombre de pages170
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-8145-5184-8
  • EAN9782814551848
  • Date de parution20/11/2008
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans ...
  • ÉditeurPublie.net

Résumé

Généalogie des réseaux, carte-mère, cités englouties, zones sensibles : Philippe Maurel inscrit d'emblée son texte dans la tentative d'écriture qui le porte, et que notre appréhension du monde passe aussi par ces outils qui nous mènent à la page. Ainsi, c'est beaucoup plus qu'une écriture contemporaine de la ville : c'est le questionnement sur ce lien définitivement bousculé qui associe le présent au plus près (« liste des lieux où je me suis perdu »), à la permanente tentative de récit, d'organisation poétique des images (« Déborder du cadre étriqué du livre.
Tenter d'ouvrir des voies nouvelles. Au risque de ne rien trouver au bout du voyage. ») Seulement voilà, à aller là, on trouve. Il y a les blocs de signes et mots tout faits qu'on percute dans notre expérience de la ville, il y a l'organisation même du réel, les voyages, la recherche d'information pour ces représentations virtuelles qui sont notre accès au monde (« la page que vous recherchez est introuvable ou le lien est erroné »).
Alors Paris Belleville se superpose à la Galice, mais c'est l'utopie qu'on travaille (le « château en Espagne »), jusqu'à mêler les langues comme le travail du rêve se superpose à l'expérience directe des micro-traversées de la ville, comme l'autobiographie croise le surgissement toujours violent d'images brutes de la télévision, des cinémas, des murs mêmes. Ou, pour rythmer l'avancée linéaire du texte, l'observation précise de la démolition d'un immeuble HLM, qui, de cité Youri Gagarine, deviendra discrètement Youri Volodine. Que Philippe Maurel soit par ailleurs enseignant dans un lycée professionnel de la proche couronne parisienne ne change rien à l'affaire.
Qu'il s'agisse de son premier texte long, bien plus : comme d'autres de sa génération, le travail avec l'outil numérique accompagne le chemin dans l'écriture, nous sommes nombreux à suivre son blog FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)
Généalogie des réseaux, carte-mère, cités englouties, zones sensibles : Philippe Maurel inscrit d'emblée son texte dans la tentative d'écriture qui le porte, et que notre appréhension du monde passe aussi par ces outils qui nous mènent à la page. Ainsi, c'est beaucoup plus qu'une écriture contemporaine de la ville : c'est le questionnement sur ce lien définitivement bousculé qui associe le présent au plus près (« liste des lieux où je me suis perdu »), à la permanente tentative de récit, d'organisation poétique des images (« Déborder du cadre étriqué du livre.
Tenter d'ouvrir des voies nouvelles. Au risque de ne rien trouver au bout du voyage. ») Seulement voilà, à aller là, on trouve. Il y a les blocs de signes et mots tout faits qu'on percute dans notre expérience de la ville, il y a l'organisation même du réel, les voyages, la recherche d'information pour ces représentations virtuelles qui sont notre accès au monde (« la page que vous recherchez est introuvable ou le lien est erroné »).
Alors Paris Belleville se superpose à la Galice, mais c'est l'utopie qu'on travaille (le « château en Espagne »), jusqu'à mêler les langues comme le travail du rêve se superpose à l'expérience directe des micro-traversées de la ville, comme l'autobiographie croise le surgissement toujours violent d'images brutes de la télévision, des cinémas, des murs mêmes. Ou, pour rythmer l'avancée linéaire du texte, l'observation précise de la démolition d'un immeuble HLM, qui, de cité Youri Gagarine, deviendra discrètement Youri Volodine. Que Philippe Maurel soit par ailleurs enseignant dans un lycée professionnel de la proche couronne parisienne ne change rien à l'affaire.
Qu'il s'agisse de son premier texte long, bien plus : comme d'autres de sa génération, le travail avec l'outil numérique accompagne le chemin dans l'écriture, nous sommes nombreux à suivre son blog FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)
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