La demoiselle à l'arsenic. Les grandes énigmes criminelles
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- Nombre de pages232
- FormatePub
- ISBN2-258-18651-X
- EAN9782258186514
- Date de parution01/01/1973
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille604 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPresses de la Cité (réédition nu...
Résumé
Madeleine Smith, fille d'un célèbre architecte de Glasgow, belle, douée, parfaite maîtresse de maison, passe pour être le modèle des « filles à marier ». Elle vient d'ailleurs de se fiancer à un riche négociant quand, le 31 mars 1857, la ville apprend avec stupeur qu'elle a été arrêtée sous l'inculpation de meurtre. L'Angelier, modeste employé d'origine française, vient de mourir, empoisonné à l'arsenic.
Or, on a découvert chez lui la photo de Madeleine, et une correspondance qui ne laisse aucun doute sur la liaison qu'ils entretenaient depuis deux ans. Des témoins affirment qu'à deux reprises, le jeune homme s'était plaint de douleurs atroces après avoir bu du cacao offert par sa maîtresse et, la veille de sa mort, il avait rendez-vous avec elle. Toute l'Angleterre se passionne pour ce procès. Les lettres, d'une sensualité brûlante, écrites par l'accusée, font sensation.
Pour les uns, il était impensable qu'une jeune fille aussi bien élevée soit coupable d'un tel meurtre. Pour les autres, à une époque où la froideur passait pour la vertu première des femmes, une fille qui réclamait de telles caresses à son amant, pouvait tout aussi bien l'empoisonner... Le lecteur se demandera si, à la place d'un des jurés, il aurait pu déclarer, en son âme et conscience, que Madeleine Smith méritait ou non la corde.
Or, on a découvert chez lui la photo de Madeleine, et une correspondance qui ne laisse aucun doute sur la liaison qu'ils entretenaient depuis deux ans. Des témoins affirment qu'à deux reprises, le jeune homme s'était plaint de douleurs atroces après avoir bu du cacao offert par sa maîtresse et, la veille de sa mort, il avait rendez-vous avec elle. Toute l'Angleterre se passionne pour ce procès. Les lettres, d'une sensualité brûlante, écrites par l'accusée, font sensation.
Pour les uns, il était impensable qu'une jeune fille aussi bien élevée soit coupable d'un tel meurtre. Pour les autres, à une époque où la froideur passait pour la vertu première des femmes, une fille qui réclamait de telles caresses à son amant, pouvait tout aussi bien l'empoisonner... Le lecteur se demandera si, à la place d'un des jurés, il aurait pu déclarer, en son âme et conscience, que Madeleine Smith méritait ou non la corde.
Madeleine Smith, fille d'un célèbre architecte de Glasgow, belle, douée, parfaite maîtresse de maison, passe pour être le modèle des « filles à marier ». Elle vient d'ailleurs de se fiancer à un riche négociant quand, le 31 mars 1857, la ville apprend avec stupeur qu'elle a été arrêtée sous l'inculpation de meurtre. L'Angelier, modeste employé d'origine française, vient de mourir, empoisonné à l'arsenic.
Or, on a découvert chez lui la photo de Madeleine, et une correspondance qui ne laisse aucun doute sur la liaison qu'ils entretenaient depuis deux ans. Des témoins affirment qu'à deux reprises, le jeune homme s'était plaint de douleurs atroces après avoir bu du cacao offert par sa maîtresse et, la veille de sa mort, il avait rendez-vous avec elle. Toute l'Angleterre se passionne pour ce procès. Les lettres, d'une sensualité brûlante, écrites par l'accusée, font sensation.
Pour les uns, il était impensable qu'une jeune fille aussi bien élevée soit coupable d'un tel meurtre. Pour les autres, à une époque où la froideur passait pour la vertu première des femmes, une fille qui réclamait de telles caresses à son amant, pouvait tout aussi bien l'empoisonner... Le lecteur se demandera si, à la place d'un des jurés, il aurait pu déclarer, en son âme et conscience, que Madeleine Smith méritait ou non la corde.
Or, on a découvert chez lui la photo de Madeleine, et une correspondance qui ne laisse aucun doute sur la liaison qu'ils entretenaient depuis deux ans. Des témoins affirment qu'à deux reprises, le jeune homme s'était plaint de douleurs atroces après avoir bu du cacao offert par sa maîtresse et, la veille de sa mort, il avait rendez-vous avec elle. Toute l'Angleterre se passionne pour ce procès. Les lettres, d'une sensualité brûlante, écrites par l'accusée, font sensation.
Pour les uns, il était impensable qu'une jeune fille aussi bien élevée soit coupable d'un tel meurtre. Pour les autres, à une époque où la froideur passait pour la vertu première des femmes, une fille qui réclamait de telles caresses à son amant, pouvait tout aussi bien l'empoisonner... Le lecteur se demandera si, à la place d'un des jurés, il aurait pu déclarer, en son âme et conscience, que Madeleine Smith méritait ou non la corde.










