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Cet ouvrage s'adresse aux élèves des classes préparatoires aux grandes écoles scientifiques. Il a pour objectif de les aider à réussir l'épreuve littéraire des concours.
Pour l'année 2019-2020, le programme porte sur :
. Aristophane, Les Cavaliers - L'Assemblée des femmes ;
. Tocqueville, De la démocratie en Amérique (tome II, partie IV) ;
. Roth, Le Complot contre l'Amérique.
Le thème associé à ces oeuvres est : La démocratie.
Complet et précis, ce livre est l'outil indispensable à une meilleure connaissance des ouvres et du thème. Il comprend :
1. Une introduction générale qui situe le thème dans l'histoire de la pensée et analyse les différentes problématiques qu'il recouvre ;
2. Trois études détaillées :
. Pour se familiariser avec chacune des ouvres au programme : résumé et structure, analyse du contexte, encadrés thématiques ;
.
Pour comprendre comment chaque ouvre illustre le thème au programme
3. Une réflexion synthétique et problématisée sur le thème « La démocratie » à partir des ouvres étudiées ;
4. Une méthodologie de la dissertation et du résumé, des dissertations et des résumés corrigés, un répertoire de citations commentées et un index des notions qui se rattachent au thème.
Affligeant, méconnaissance totale d'Aristophane et de son contexte
je ne sais pas d'où les auteurs sont agrégés mais ils auraient du consulter des professeurs universitaires d'Histoire ancienne et de grec ancien avant d'écrire un pareil amas d'ineptie.
Au demeurant, ils présente la posture d'Aristophane comme claire évidente, une seule lecture possible! comme si l'idée était de leur expliquer que Même Aristophane critiquait la démocratie, et qu'elle n'est donc pas valable! Tous les ans il y a une centaine de papiers qui sortent sur Aristophane! Mais d'où sortent ces gens, quelle pensée unique, quels motifs hideux ont pu guide leur texte qui fait des raccourcis inacceptables et faux! alors Aristophane n'a jamais tourné la démocratie en ridicule, il y a une thèse qui évoque la possibilité qu'il ait souhaité un retour à la constitution des anciens mais rien n'est certain. Et majoritairement, il est admis qu'il critique la dérive des institutions et ce qu'on a certainement pas envie d'entendre aujourd'hui, leur usage à des fins d'ambitions personnelles! Il attribue en cela une part de responsabilité au peuple et appelle à un moyen de contrôle de ces dérives. A croire que ces agrégé n'ont jamais fait d'analyse de texte. On ne cherche pas dans un texte ce qu'on a envie d'y mettre ou d'y voir!
Affligeant, honteux!