La crèche. Histoire d'une représentation
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- Nombre de pages200
- FormatePub
- ISBN978-2-227-49713-9
- EAN9782227497139
- Date de parution06/11/2019
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille5 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBayard
Résumé
La crèche est une représentation de la venue du Fils de Dieu et de l'accueil que les hommes lui firent. La première image de cette venue se trouve dans la catacombe de Priscilla, à Rome, et date de la fin du IIe siècle. Jésus est assis sur les genoux de sa mère et à sa droite figure un personnage que l'on identifie à un prophète. La première iconographie de la crèche avec les bergers, l'âne, le boeuf remonte à l'année 343.
L'âne et le boeuf sont des symboliques puissantes, alors que beaucoup n'y voient plus que des éléments cohérents du thème de l'étable. Leur présence est évoquée dans le livre d'Isaïe (Is. I, 3). Il semble que François d'Assise, en 1223, a créé une des premières crèches "vivantes", dont les personnages étaient joués par les gens du village. Ces crèches ont été remplacées, peu à peu, par des figurines (en bois, en cire, en carton pâte, en faïence, en verre) qui, à partir du XVIe siècle, font leur apparition dans les églises puis, au XVIIIe siècle, dans les familles.
La scène de Noël s'est répandue dans le monde entier et a été acceptée dans toutes les cultures. Le travail, les formes de l'habitat, les costumes, expriment l'identité culturelle de chaque peuple. Les Péruviens offrent le condor, leur oiseau sacré, les Zaïrois se présentent avec leurs masques tribaux, les peuples des Andes remplacent l'âne et le boeuf par le lama... Il arrive que la scène de la crèche intègre maintenant lieux de travail, usines, hôpitaux, camps de réfugiés, immigrés, vieillards, enfants, marginaux...
Le message est toujours le même : quel personnage suis-je ? Quelle est mon attitude : accueil, indifférence, refus ?
L'âne et le boeuf sont des symboliques puissantes, alors que beaucoup n'y voient plus que des éléments cohérents du thème de l'étable. Leur présence est évoquée dans le livre d'Isaïe (Is. I, 3). Il semble que François d'Assise, en 1223, a créé une des premières crèches "vivantes", dont les personnages étaient joués par les gens du village. Ces crèches ont été remplacées, peu à peu, par des figurines (en bois, en cire, en carton pâte, en faïence, en verre) qui, à partir du XVIe siècle, font leur apparition dans les églises puis, au XVIIIe siècle, dans les familles.
La scène de Noël s'est répandue dans le monde entier et a été acceptée dans toutes les cultures. Le travail, les formes de l'habitat, les costumes, expriment l'identité culturelle de chaque peuple. Les Péruviens offrent le condor, leur oiseau sacré, les Zaïrois se présentent avec leurs masques tribaux, les peuples des Andes remplacent l'âne et le boeuf par le lama... Il arrive que la scène de la crèche intègre maintenant lieux de travail, usines, hôpitaux, camps de réfugiés, immigrés, vieillards, enfants, marginaux...
Le message est toujours le même : quel personnage suis-je ? Quelle est mon attitude : accueil, indifférence, refus ?
La crèche est une représentation de la venue du Fils de Dieu et de l'accueil que les hommes lui firent. La première image de cette venue se trouve dans la catacombe de Priscilla, à Rome, et date de la fin du IIe siècle. Jésus est assis sur les genoux de sa mère et à sa droite figure un personnage que l'on identifie à un prophète. La première iconographie de la crèche avec les bergers, l'âne, le boeuf remonte à l'année 343.
L'âne et le boeuf sont des symboliques puissantes, alors que beaucoup n'y voient plus que des éléments cohérents du thème de l'étable. Leur présence est évoquée dans le livre d'Isaïe (Is. I, 3). Il semble que François d'Assise, en 1223, a créé une des premières crèches "vivantes", dont les personnages étaient joués par les gens du village. Ces crèches ont été remplacées, peu à peu, par des figurines (en bois, en cire, en carton pâte, en faïence, en verre) qui, à partir du XVIe siècle, font leur apparition dans les églises puis, au XVIIIe siècle, dans les familles.
La scène de Noël s'est répandue dans le monde entier et a été acceptée dans toutes les cultures. Le travail, les formes de l'habitat, les costumes, expriment l'identité culturelle de chaque peuple. Les Péruviens offrent le condor, leur oiseau sacré, les Zaïrois se présentent avec leurs masques tribaux, les peuples des Andes remplacent l'âne et le boeuf par le lama... Il arrive que la scène de la crèche intègre maintenant lieux de travail, usines, hôpitaux, camps de réfugiés, immigrés, vieillards, enfants, marginaux...
Le message est toujours le même : quel personnage suis-je ? Quelle est mon attitude : accueil, indifférence, refus ?
L'âne et le boeuf sont des symboliques puissantes, alors que beaucoup n'y voient plus que des éléments cohérents du thème de l'étable. Leur présence est évoquée dans le livre d'Isaïe (Is. I, 3). Il semble que François d'Assise, en 1223, a créé une des premières crèches "vivantes", dont les personnages étaient joués par les gens du village. Ces crèches ont été remplacées, peu à peu, par des figurines (en bois, en cire, en carton pâte, en faïence, en verre) qui, à partir du XVIe siècle, font leur apparition dans les églises puis, au XVIIIe siècle, dans les familles.
La scène de Noël s'est répandue dans le monde entier et a été acceptée dans toutes les cultures. Le travail, les formes de l'habitat, les costumes, expriment l'identité culturelle de chaque peuple. Les Péruviens offrent le condor, leur oiseau sacré, les Zaïrois se présentent avec leurs masques tribaux, les peuples des Andes remplacent l'âne et le boeuf par le lama... Il arrive que la scène de la crèche intègre maintenant lieux de travail, usines, hôpitaux, camps de réfugiés, immigrés, vieillards, enfants, marginaux...
Le message est toujours le même : quel personnage suis-je ? Quelle est mon attitude : accueil, indifférence, refus ?





















