Directeur de la Fondation Napoléon, Thierry Lentz est historien, auteur de nombreux ouvrages qui font référence parmi lesquels Le grand Consulat et Savary, le séide de Napoléon, parus chez Fayard.
Prix Chateaubriand
La conspiration du général Malet. 23 octobre 1812, premier ébranlement du trône de Napoléon
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- Nombre de pages316
- FormatePub
- ISBN978-2-262-03952-3
- EAN9782262039523
- Date de parution12/01/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurPerrin
Résumé
Le 23 octobre 1812, alors que Napoléon venait de quitter Moscou aux trois quarts détruite par l'incendie, le général Claude-François Malet, aventurier haut en couleur, tenta de prendre le pouvoir à Paris en annonçant la mort de l'Empereur et la désignation par le Sénat d'un gouvernement provisoire. Avec une poignée de complices sortis de n'importe où, exhibant des faux grossiers, mettant sous les verrous les plus hauts responsables de la police, il parvint, par son coup de main rocambolesque, à désorganiser pendant quelques heures le bel ordonnancement d'un régime que l'on croyait mieux établi.
Un instant, l'histoire avait hésité. Malet fut fusillé, mais la légitimité impériale avait reçu un coup sévère : deux ans plus tard, Napoléon était déchu.
Un instant, l'histoire avait hésité. Malet fut fusillé, mais la légitimité impériale avait reçu un coup sévère : deux ans plus tard, Napoléon était déchu.
Le 23 octobre 1812, alors que Napoléon venait de quitter Moscou aux trois quarts détruite par l'incendie, le général Claude-François Malet, aventurier haut en couleur, tenta de prendre le pouvoir à Paris en annonçant la mort de l'Empereur et la désignation par le Sénat d'un gouvernement provisoire. Avec une poignée de complices sortis de n'importe où, exhibant des faux grossiers, mettant sous les verrous les plus hauts responsables de la police, il parvint, par son coup de main rocambolesque, à désorganiser pendant quelques heures le bel ordonnancement d'un régime que l'on croyait mieux établi.
Un instant, l'histoire avait hésité. Malet fut fusillé, mais la légitimité impériale avait reçu un coup sévère : deux ans plus tard, Napoléon était déchu.
Un instant, l'histoire avait hésité. Malet fut fusillé, mais la légitimité impériale avait reçu un coup sévère : deux ans plus tard, Napoléon était déchu.