La Comtesse d'Albany : Une égérie européenne
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- Nombre de pages331
- FormatePub
- ISBN978-2-268-09740-4
- EAN9782268097404
- Date de parution10/11/2017
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions du Rocher
Résumé
La Comtesse d'Albany retrace le destin imprévu d'une petite princesse allemande, orpheline de père, qui, par le jeu des stratégies diplomatiques, épouse à dix-huit ans le prétendant au trône d'Angleterre, Charles Edouard Stuart. Vie de cour, liaisons, enlèvement, couvent, rien ne manque dans cette fresque romanesque qui met en scène Louis XV, tout autant que des personnages tels que Marie-Antoinette ou Napoléon, autant de protagonistes des bouleversements de l'Histoire.
" Je suis à la fenêtre et je regarde passer les événements ", écrit la comtesse d'Albany qui fut adorée par le poète Vittorio Alfieri, admirée par le peintre François-Xavier Fabre, et dont Marc Fumaroli considère le salon qu'elle tint pendant vingt-quatre ans à Florence comme le " centre nerveux délocalisé de l'Europe ".
" Je suis à la fenêtre et je regarde passer les événements ", écrit la comtesse d'Albany qui fut adorée par le poète Vittorio Alfieri, admirée par le peintre François-Xavier Fabre, et dont Marc Fumaroli considère le salon qu'elle tint pendant vingt-quatre ans à Florence comme le " centre nerveux délocalisé de l'Europe ".
La Comtesse d'Albany retrace le destin imprévu d'une petite princesse allemande, orpheline de père, qui, par le jeu des stratégies diplomatiques, épouse à dix-huit ans le prétendant au trône d'Angleterre, Charles Edouard Stuart. Vie de cour, liaisons, enlèvement, couvent, rien ne manque dans cette fresque romanesque qui met en scène Louis XV, tout autant que des personnages tels que Marie-Antoinette ou Napoléon, autant de protagonistes des bouleversements de l'Histoire.
" Je suis à la fenêtre et je regarde passer les événements ", écrit la comtesse d'Albany qui fut adorée par le poète Vittorio Alfieri, admirée par le peintre François-Xavier Fabre, et dont Marc Fumaroli considère le salon qu'elle tint pendant vingt-quatre ans à Florence comme le " centre nerveux délocalisé de l'Europe ".
" Je suis à la fenêtre et je regarde passer les événements ", écrit la comtesse d'Albany qui fut adorée par le poète Vittorio Alfieri, admirée par le peintre François-Xavier Fabre, et dont Marc Fumaroli considère le salon qu'elle tint pendant vingt-quatre ans à Florence comme le " centre nerveux délocalisé de l'Europe ".