La complexité à la portée de tous. Une nécessité citoyenne
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- Nombre de pages184
- FormatePub
- ISBN978-2-7492-5552-1
- EAN9782749255521
- Date de parution24/10/2018
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurEres
Résumé
Lire l'entretien avec l'auteur (propos recueillis par Audrey Minart)
Aujourd'hui, chacun sait qu'il vit dans un monde « complexe » composé de multiples « systèmes ». Mais ces mots de « complexité » et de « systèmes » servent le plus souvent davantage à opacifier les débats qu'à les clarifier. La complexité se confond alors avec le compliqué, réservé aux experts, ou bien elle devient un concept simpliste, un écran de fumée qui nourrit des sentiments d'irresponsabilité et d'impuissance.
« Penser complexe » est à la portée de tous.
Au prix de la remise en question de quelques habitudes paresseuses. En laissant ici de côté les débats théoriques des chercheurs en complexité, François Balta met à la portée de tout un chacun des éléments qui lui permettront de repérer si, face à un problème précis, la complexité de la situation est réellement prise en compte. L'enjeu est d'importance : nous ne devons pas nous laisser dépouiller de la part de responsabilité, et donc de pouvoir, qui nous appartient dans cette co-construction du monde.
Y renoncer, ce serait nous soumettre à des hommes dits providentiels, ou à des mécanismes anonymes, et dans tous les cas, participer à une déshumanisation du monde.
Au prix de la remise en question de quelques habitudes paresseuses. En laissant ici de côté les débats théoriques des chercheurs en complexité, François Balta met à la portée de tout un chacun des éléments qui lui permettront de repérer si, face à un problème précis, la complexité de la situation est réellement prise en compte. L'enjeu est d'importance : nous ne devons pas nous laisser dépouiller de la part de responsabilité, et donc de pouvoir, qui nous appartient dans cette co-construction du monde.
Y renoncer, ce serait nous soumettre à des hommes dits providentiels, ou à des mécanismes anonymes, et dans tous les cas, participer à une déshumanisation du monde.
Lire l'entretien avec l'auteur (propos recueillis par Audrey Minart)
Aujourd'hui, chacun sait qu'il vit dans un monde « complexe » composé de multiples « systèmes ». Mais ces mots de « complexité » et de « systèmes » servent le plus souvent davantage à opacifier les débats qu'à les clarifier. La complexité se confond alors avec le compliqué, réservé aux experts, ou bien elle devient un concept simpliste, un écran de fumée qui nourrit des sentiments d'irresponsabilité et d'impuissance.
« Penser complexe » est à la portée de tous.
Au prix de la remise en question de quelques habitudes paresseuses. En laissant ici de côté les débats théoriques des chercheurs en complexité, François Balta met à la portée de tout un chacun des éléments qui lui permettront de repérer si, face à un problème précis, la complexité de la situation est réellement prise en compte. L'enjeu est d'importance : nous ne devons pas nous laisser dépouiller de la part de responsabilité, et donc de pouvoir, qui nous appartient dans cette co-construction du monde.
Y renoncer, ce serait nous soumettre à des hommes dits providentiels, ou à des mécanismes anonymes, et dans tous les cas, participer à une déshumanisation du monde.
Au prix de la remise en question de quelques habitudes paresseuses. En laissant ici de côté les débats théoriques des chercheurs en complexité, François Balta met à la portée de tout un chacun des éléments qui lui permettront de repérer si, face à un problème précis, la complexité de la situation est réellement prise en compte. L'enjeu est d'importance : nous ne devons pas nous laisser dépouiller de la part de responsabilité, et donc de pouvoir, qui nous appartient dans cette co-construction du monde.
Y renoncer, ce serait nous soumettre à des hommes dits providentiels, ou à des mécanismes anonymes, et dans tous les cas, participer à une déshumanisation du monde.