La Classe ouvrière en mutations
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- Nombre de pages220
- FormatePub
- ISBN2-402-15183-8
- EAN9782402151832
- Date de parution01/01/1986
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille60 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Scan...
Résumé
L a « classe ouvrière », c'est fini. En parler serait archaïque ; ce serait la preuve qu'on n'a rien compris aux « mutations » de notre société. Contrairement au mythe, la classe ouvrière n'a pas disparu. À l'inverse, elle s'est élargie à de nouvelles catégories de travailleurs et rapprochée de bon nombre de couches de salariés, même si l'image qu'on se fait d'elle est en retrait par rapport à ses mutations.
Jean Lojkine explique ce décalage persistant par la manière dont s'est constituée en France l'identité de classe. Mais il montre en même temps comment les interventions des salariés dans le domaine de la gestion, jusqu'alors monopole patronal et étatique, font émerger une nouvelle identité de classe, autogestionnaire.
Jean Lojkine explique ce décalage persistant par la manière dont s'est constituée en France l'identité de classe. Mais il montre en même temps comment les interventions des salariés dans le domaine de la gestion, jusqu'alors monopole patronal et étatique, font émerger une nouvelle identité de classe, autogestionnaire.
L a « classe ouvrière », c'est fini. En parler serait archaïque ; ce serait la preuve qu'on n'a rien compris aux « mutations » de notre société. Contrairement au mythe, la classe ouvrière n'a pas disparu. À l'inverse, elle s'est élargie à de nouvelles catégories de travailleurs et rapprochée de bon nombre de couches de salariés, même si l'image qu'on se fait d'elle est en retrait par rapport à ses mutations.
Jean Lojkine explique ce décalage persistant par la manière dont s'est constituée en France l'identité de classe. Mais il montre en même temps comment les interventions des salariés dans le domaine de la gestion, jusqu'alors monopole patronal et étatique, font émerger une nouvelle identité de classe, autogestionnaire.
Jean Lojkine explique ce décalage persistant par la manière dont s'est constituée en France l'identité de classe. Mais il montre en même temps comment les interventions des salariés dans le domaine de la gestion, jusqu'alors monopole patronal et étatique, font émerger une nouvelle identité de classe, autogestionnaire.