La circulation entre les savoirs au siècle des Lumières. Hommages à Francine Markovits
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- Nombre de pages188
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-2642-2
- EAN9791037026422
- Date de parution14/11/2011
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
- PréfacierDidier Deleule
Résumé
Cet ouvrage collectif constitue un hommage à Francine Markovits, spécialiste de Diderot et des Lumières, dont l'oeuvre a révélé l'importance d'un « ordre des échanges » éclairant les relations entre des domaines que l'on a souvent tendance à séparer. Les diverses contributions de cet hommage concernent les Lumières, avec quelques excursions dans le XVIIe siècle, et s'intéressent à différentes manières de circuler entre les savoirs, que ce soit la philosophie, les sciences de la nature, celles de la société et de l'homme.
Il est ainsi question d'interprétation de la nature, de médecine et de chimie, mais aussi d'esthétique, d'anthropologie et de politique. Contre la tendance à classer les « discipline s » et à transformer les Lumières en système, les chapitres de ce livre tissent des réseaux de relations complexes, parfois étonnants, qui sont autant de parcours dans la philosophie et les savoirs de l'âge classique.
Une question politique demande une théorisation anthropologique, elle-même renouvelée par le scepticisme et le spinozisme, les arts se mêlent aux sciences pour façonner une philosophie expérimentale, le matérialisme et l'empirisme se nourrissent de la chimie et de la médecine. Derrière une pluralité de figures (l'aveugle, l'artiste, le savant, le philosophe) et d'auteurs (Rousseau, Spinoza, Montesquieu, Bayle, La Mettrie), se dessine un type de circulation entre les savoirs particulièrement bien mis en valeur par Diderot et L'Encyclopédie.
Il est ainsi question d'interprétation de la nature, de médecine et de chimie, mais aussi d'esthétique, d'anthropologie et de politique. Contre la tendance à classer les « discipline s » et à transformer les Lumières en système, les chapitres de ce livre tissent des réseaux de relations complexes, parfois étonnants, qui sont autant de parcours dans la philosophie et les savoirs de l'âge classique.
Une question politique demande une théorisation anthropologique, elle-même renouvelée par le scepticisme et le spinozisme, les arts se mêlent aux sciences pour façonner une philosophie expérimentale, le matérialisme et l'empirisme se nourrissent de la chimie et de la médecine. Derrière une pluralité de figures (l'aveugle, l'artiste, le savant, le philosophe) et d'auteurs (Rousseau, Spinoza, Montesquieu, Bayle, La Mettrie), se dessine un type de circulation entre les savoirs particulièrement bien mis en valeur par Diderot et L'Encyclopédie.
Cet ouvrage collectif constitue un hommage à Francine Markovits, spécialiste de Diderot et des Lumières, dont l'oeuvre a révélé l'importance d'un « ordre des échanges » éclairant les relations entre des domaines que l'on a souvent tendance à séparer. Les diverses contributions de cet hommage concernent les Lumières, avec quelques excursions dans le XVIIe siècle, et s'intéressent à différentes manières de circuler entre les savoirs, que ce soit la philosophie, les sciences de la nature, celles de la société et de l'homme.
Il est ainsi question d'interprétation de la nature, de médecine et de chimie, mais aussi d'esthétique, d'anthropologie et de politique. Contre la tendance à classer les « discipline s » et à transformer les Lumières en système, les chapitres de ce livre tissent des réseaux de relations complexes, parfois étonnants, qui sont autant de parcours dans la philosophie et les savoirs de l'âge classique.
Une question politique demande une théorisation anthropologique, elle-même renouvelée par le scepticisme et le spinozisme, les arts se mêlent aux sciences pour façonner une philosophie expérimentale, le matérialisme et l'empirisme se nourrissent de la chimie et de la médecine. Derrière une pluralité de figures (l'aveugle, l'artiste, le savant, le philosophe) et d'auteurs (Rousseau, Spinoza, Montesquieu, Bayle, La Mettrie), se dessine un type de circulation entre les savoirs particulièrement bien mis en valeur par Diderot et L'Encyclopédie.
Il est ainsi question d'interprétation de la nature, de médecine et de chimie, mais aussi d'esthétique, d'anthropologie et de politique. Contre la tendance à classer les « discipline s » et à transformer les Lumières en système, les chapitres de ce livre tissent des réseaux de relations complexes, parfois étonnants, qui sont autant de parcours dans la philosophie et les savoirs de l'âge classique.
Une question politique demande une théorisation anthropologique, elle-même renouvelée par le scepticisme et le spinozisme, les arts se mêlent aux sciences pour façonner une philosophie expérimentale, le matérialisme et l'empirisme se nourrissent de la chimie et de la médecine. Derrière une pluralité de figures (l'aveugle, l'artiste, le savant, le philosophe) et d'auteurs (Rousseau, Spinoza, Montesquieu, Bayle, La Mettrie), se dessine un type de circulation entre les savoirs particulièrement bien mis en valeur par Diderot et L'Encyclopédie.