La chose et le geste. Phénoménologie du mouvement chez Husserl

Par : Jean-Sébastien Hardy
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages344
  • FormatePub
  • ISBN978-2-13-081191-6
  • EAN9782130811916
  • Date de parution03/10/2018
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille676 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurPUF

Résumé

L'ouvrage reconstruit d'abord la constitution lente mais essentielle de la phénoménologie du mouvement en 1907, au moment où Husserl élabore la méthode même de sa philosophie. Par la suite, à l'aune de ses manuscrits de recherche, la prise en compte de la mobilité charnelle par Husserl s'avérera anticiper non seulement plusieurs des développements ultérieurs de la phénoménologie (Levinas, Merleau-Ponty, Pato?ka, Henry, etc.), mais déploiera aussi des enjeux fondamentaux, et ce au travers de descriptions étonnantes (propriété, esclave, constitution normale des sens, etc.).
Ultimement, dans une prise en compte de la relativité historique des gestes fondamentaux de l'homme (se tenir, se poser, indiquer, donner, etc.), l'ensemble de nos mouvements doit se laisser comprendre comme une structure commune à partir de laquelle le monde de la vie et celui de la science nous apparaissent.
L'ouvrage reconstruit d'abord la constitution lente mais essentielle de la phénoménologie du mouvement en 1907, au moment où Husserl élabore la méthode même de sa philosophie. Par la suite, à l'aune de ses manuscrits de recherche, la prise en compte de la mobilité charnelle par Husserl s'avérera anticiper non seulement plusieurs des développements ultérieurs de la phénoménologie (Levinas, Merleau-Ponty, Pato?ka, Henry, etc.), mais déploiera aussi des enjeux fondamentaux, et ce au travers de descriptions étonnantes (propriété, esclave, constitution normale des sens, etc.).
Ultimement, dans une prise en compte de la relativité historique des gestes fondamentaux de l'homme (se tenir, se poser, indiquer, donner, etc.), l'ensemble de nos mouvements doit se laisser comprendre comme une structure commune à partir de laquelle le monde de la vie et celui de la science nous apparaissent.