Dans ce recueil composé des textes Enluminures, Sous les tentes de l'exode, La Chanson de la rue Saint-Paul, Maya et Aegri Somnia, Max Elskamp explore avec délicatesse
et nostalgie son monde intérieur, ses souvenirs d'enfance, ainsi que sa fascination pour le sacré. Ses vers, d'une grande musicalité, puisent à la fois dans le folklore flamand
et les influences symbolistes de son époque. À travers une recherche formelle et un imaginaire riche, la poésie d'Elskamp a marqué de nombreux poètes belges et français.
La Chanson de la rue Saint-Paul témoigne de manière poignante de la quête spirituelle et esthétique de l'auteur.
Max Elskamp (1862-1931) est un poète symboliste. Après des études de droit et une amitié avec Henri van de Velde, il se consacre à la poésie. Son premier recueil, L'Éventail japonais (1886), est marqué par le parnassisme et les influences mallarméennes. Après une crise psychologique, il adopte une approche mystique de l'art, se détachant de son milieu bourgeois et revient à la poésie après un long silence avec des ouvres comme Chansons désabusées et La Chanson de la rue Saint-Paul.
Dans ce recueil composé des textes Enluminures, Sous les tentes de l'exode, La Chanson de la rue Saint-Paul, Maya et Aegri Somnia, Max Elskamp explore avec délicatesse
et nostalgie son monde intérieur, ses souvenirs d'enfance, ainsi que sa fascination pour le sacré. Ses vers, d'une grande musicalité, puisent à la fois dans le folklore flamand
et les influences symbolistes de son époque. À travers une recherche formelle et un imaginaire riche, la poésie d'Elskamp a marqué de nombreux poètes belges et français.
La Chanson de la rue Saint-Paul témoigne de manière poignante de la quête spirituelle et esthétique de l'auteur.
Max Elskamp (1862-1931) est un poète symboliste. Après des études de droit et une amitié avec Henri van de Velde, il se consacre à la poésie. Son premier recueil, L'Éventail japonais (1886), est marqué par le parnassisme et les influences mallarméennes. Après une crise psychologique, il adopte une approche mystique de l'art, se détachant de son milieu bourgeois et revient à la poésie après un long silence avec des ouvres comme Chansons désabusées et La Chanson de la rue Saint-Paul.