La Chambre ouverte
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- FormatePub
- ISBN978-2-02-123237-0
- EAN9782021232370
- Date de parution25/02/2015
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille440 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLe Seuil
Résumé
Une jeune femme en éveil : Louise.
Une jeune femme à prendre : Sabine.
Un homme : Antoine. Bourreau ? Victime ? Complice en tout cas. Il est écrivain, enfin probablement, puisqu'une machine à écrire et du papier traversent le paysage du livre.
Sabine aime Louise qui ne l'aime pas mais la soumet ou la désire dans la seule compagnie d'Antoine.
Hormis quelques éclats de l'enfance retrouvée de Louise, inutile de chercher à en savoir davantage sur le passé de ces personnages : c'est la lumière du présent qui les éclaire.
De cette transparence impudique, le roman tire toute sa force. Dans leurs gestes, leurs regards, les baisers qu'ils échangent, les nuits qu'ils partagent, les lits qu'ils défont, le crime qui consomme sans doute leur histoire, leur vérité sera, comme leurs corps, mise à nu le plus crûment, le plus cruellement. Car toute liaison est dangereuse et chaque amour coupable même si tous les amants sont innocents. La Maison du désir affirmait un écrivain.
La chambre ouverte révèle une romancière. Ici et là se découvre un art oublié : celui de-décrire purement, simplement, tout l'abandon des sens.
De cette transparence impudique, le roman tire toute sa force. Dans leurs gestes, leurs regards, les baisers qu'ils échangent, les nuits qu'ils partagent, les lits qu'ils défont, le crime qui consomme sans doute leur histoire, leur vérité sera, comme leurs corps, mise à nu le plus crûment, le plus cruellement. Car toute liaison est dangereuse et chaque amour coupable même si tous les amants sont innocents. La Maison du désir affirmait un écrivain.
La chambre ouverte révèle une romancière. Ici et là se découvre un art oublié : celui de-décrire purement, simplement, tout l'abandon des sens.
Une jeune femme en éveil : Louise.
Une jeune femme à prendre : Sabine.
Un homme : Antoine. Bourreau ? Victime ? Complice en tout cas. Il est écrivain, enfin probablement, puisqu'une machine à écrire et du papier traversent le paysage du livre.
Sabine aime Louise qui ne l'aime pas mais la soumet ou la désire dans la seule compagnie d'Antoine.
Hormis quelques éclats de l'enfance retrouvée de Louise, inutile de chercher à en savoir davantage sur le passé de ces personnages : c'est la lumière du présent qui les éclaire.
De cette transparence impudique, le roman tire toute sa force. Dans leurs gestes, leurs regards, les baisers qu'ils échangent, les nuits qu'ils partagent, les lits qu'ils défont, le crime qui consomme sans doute leur histoire, leur vérité sera, comme leurs corps, mise à nu le plus crûment, le plus cruellement. Car toute liaison est dangereuse et chaque amour coupable même si tous les amants sont innocents. La Maison du désir affirmait un écrivain.
La chambre ouverte révèle une romancière. Ici et là se découvre un art oublié : celui de-décrire purement, simplement, tout l'abandon des sens.
De cette transparence impudique, le roman tire toute sa force. Dans leurs gestes, leurs regards, les baisers qu'ils échangent, les nuits qu'ils partagent, les lits qu'ils défont, le crime qui consomme sans doute leur histoire, leur vérité sera, comme leurs corps, mise à nu le plus crûment, le plus cruellement. Car toute liaison est dangereuse et chaque amour coupable même si tous les amants sont innocents. La Maison du désir affirmait un écrivain.
La chambre ouverte révèle une romancière. Ici et là se découvre un art oublié : celui de-décrire purement, simplement, tout l'abandon des sens.













