La carte du monde invisible

Par : Tash Aw
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  • Nombre de pages381
  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-12989-0
  • EAN9782221129890
  • Date de parution26/01/2012
  • Copier Coller02 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurRobert Laffont
  • TraducteurEric Neuhoff

Résumé

" Le style de Tash Aw est à la fois puissant et fascinant, autant par sa construction narrative que son acuité psychologique ". The San Francisco Examiner Indonésie, 1964 : " l'année de tous les dangers ". La vie d'Adam, un jeune Indonésien de 16 ans, bascule le jour où son père adoptif, Karl, peintre d'origine hollandaise, est enlevé par les hommes du président Sukarno. Adam, déjà hanté par le souvenir de son frère Johan, dont il a été séparé à l'orphelinat, quitte alors son île idyllique et se rend à Jakarta pour retrouver celui qu'il considère comme son vrai père.
Il est aidé dans sa quête par une universitaire américaine, Margaret, le grand amour de jeunesse de Karl, qui, à l'instar de ce dernier, se sent aussi chez elle dans ce pays, que Sukarno veut pourtant purger par le feu et le sang de toutes traces du passé colonial. L'auteur nous emmène dans les rues de Jakarta de plus en plus gagné par le chaos, en compagnie de personnages hantés par cette question lancinante, " Où est ma maison ? ".
Passé et présent s'entremêlent dans ce roman, épique lorsqu'il retrace l'histoire de l'Indonésie, et intime lorsqu'il révèle avec sensibilité le passé des protagonistes. Si La Carte du monde invisible est un grand roman de la littérature postcoloniale, les thèmes qu'il aborde - l'identité, la mémoire - sont universels.
" Le style de Tash Aw est à la fois puissant et fascinant, autant par sa construction narrative que son acuité psychologique ". The San Francisco Examiner Indonésie, 1964 : " l'année de tous les dangers ". La vie d'Adam, un jeune Indonésien de 16 ans, bascule le jour où son père adoptif, Karl, peintre d'origine hollandaise, est enlevé par les hommes du président Sukarno. Adam, déjà hanté par le souvenir de son frère Johan, dont il a été séparé à l'orphelinat, quitte alors son île idyllique et se rend à Jakarta pour retrouver celui qu'il considère comme son vrai père.
Il est aidé dans sa quête par une universitaire américaine, Margaret, le grand amour de jeunesse de Karl, qui, à l'instar de ce dernier, se sent aussi chez elle dans ce pays, que Sukarno veut pourtant purger par le feu et le sang de toutes traces du passé colonial. L'auteur nous emmène dans les rues de Jakarta de plus en plus gagné par le chaos, en compagnie de personnages hantés par cette question lancinante, " Où est ma maison ? ".
Passé et présent s'entremêlent dans ce roman, épique lorsqu'il retrace l'histoire de l'Indonésie, et intime lorsqu'il révèle avec sensibilité le passé des protagonistes. Si La Carte du monde invisible est un grand roman de la littérature postcoloniale, les thèmes qu'il aborde - l'identité, la mémoire - sont universels.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Une quête familiale et identitaire
Ce livre mêle deux histoire en alternance et pratiquement en parallèle. Adam cherche à la fois son frère et son père mais sa recherche se fait de manière totalement parallèle et surtout très différemment. Pour son père, Adam a une attitude active ou pseudo-active. Il va trouver Margaret à Jakarta, lui demande de l’aide. Elle met tout en branle pour retrouver son ancien amant, en exploitant notamment des relations proches du pouvoir. Cette histoire est très intéressante à mon avis car elle explique tout le contexte politique de l’époque, les enjeux … Tash Aw exploite différents points de vue, des blancs aux pauvres, aux orphelins, aux communistes en passant par les riches indonésiens. On apprend énormément de choses. De plus, dans cette partie, l’auteur cherche à comprendre qu’est-ce qu’appartenir à un pays. Il livre une réflexion loin des stéréotypes sur le sentiment d’appartenance, de rejet, de nationalités. Il y a aussi une réflexion intéressante sur le post-colonialisme. Cette histoire du livre, liant à la fois réflexion intérieure et réflexion historique, m’aurait amplement suffit. Cependant, Tash Aw a choisit de mêler à tout cela la recherche du frère. Cela m’a ennuyé. Adam a une attitude passive et la recherche de son frère se fait surtout dans le passé et donc dans les souvenirs. Le problème c’est que ses souvenirs sont très peu nombreux et qu’il les ressasse beaucoup je trouve. Là dessus, Tash Aw alterne avec le mal-être du frère, Johan, qui a été adopté et emmené en Malaisie. Tout cela n’apporte rien ou plutôt l’auteur n’apporte rien. Il n’en fait rien. Je n’ai ressenti aucun sentiment, aucune empathie pour les deux garçons et l’auteur n’en tire aucune conclusion sur l’adoption, la séparation de deux frères … Je crois qu’au contraire de la première histoire du livre, celle-ci aurait du s’inscrire dans la durée et ne correspondait pas forcément au cadre temporel du livre. La quête familiale, des origines, est à mon avis, quelque chose qui demande plus d’un ou deux mois. Surtout qu’Adam ne l’avait pas commencé au début de l’histoire. J’ai donc été un peu déçue. Sur l’écriture, j’ai été assez déroutée. Elle est souvent assez froide mais il y a aussi des moments de pure beauté, de pure poésie. Ces moments correspondent souvent aux moments où on n’arrive à comprendre les personnages et où on s’approche plus de l’histoire. Ce qui m’a déroutée, c’est le fait que parfois apparaisse des passages sans aucun rapport avec ce qui précède. Il y a une absence de liaisons assez flagrante. En conclusion, une lecture intéressante, je dirais.
Ce livre mêle deux histoire en alternance et pratiquement en parallèle. Adam cherche à la fois son frère et son père mais sa recherche se fait de manière totalement parallèle et surtout très différemment. Pour son père, Adam a une attitude active ou pseudo-active. Il va trouver Margaret à Jakarta, lui demande de l’aide. Elle met tout en branle pour retrouver son ancien amant, en exploitant notamment des relations proches du pouvoir. Cette histoire est très intéressante à mon avis car elle explique tout le contexte politique de l’époque, les enjeux … Tash Aw exploite différents points de vue, des blancs aux pauvres, aux orphelins, aux communistes en passant par les riches indonésiens. On apprend énormément de choses. De plus, dans cette partie, l’auteur cherche à comprendre qu’est-ce qu’appartenir à un pays. Il livre une réflexion loin des stéréotypes sur le sentiment d’appartenance, de rejet, de nationalités. Il y a aussi une réflexion intéressante sur le post-colonialisme. Cette histoire du livre, liant à la fois réflexion intérieure et réflexion historique, m’aurait amplement suffit. Cependant, Tash Aw a choisit de mêler à tout cela la recherche du frère. Cela m’a ennuyé. Adam a une attitude passive et la recherche de son frère se fait surtout dans le passé et donc dans les souvenirs. Le problème c’est que ses souvenirs sont très peu nombreux et qu’il les ressasse beaucoup je trouve. Là dessus, Tash Aw alterne avec le mal-être du frère, Johan, qui a été adopté et emmené en Malaisie. Tout cela n’apporte rien ou plutôt l’auteur n’apporte rien. Il n’en fait rien. Je n’ai ressenti aucun sentiment, aucune empathie pour les deux garçons et l’auteur n’en tire aucune conclusion sur l’adoption, la séparation de deux frères … Je crois qu’au contraire de la première histoire du livre, celle-ci aurait du s’inscrire dans la durée et ne correspondait pas forcément au cadre temporel du livre. La quête familiale, des origines, est à mon avis, quelque chose qui demande plus d’un ou deux mois. Surtout qu’Adam ne l’avait pas commencé au début de l’histoire. J’ai donc été un peu déçue. Sur l’écriture, j’ai été assez déroutée. Elle est souvent assez froide mais il y a aussi des moments de pure beauté, de pure poésie. Ces moments correspondent souvent aux moments où on n’arrive à comprendre les personnages et où on s’approche plus de l’histoire. Ce qui m’a déroutée, c’est le fait que parfois apparaisse des passages sans aucun rapport avec ce qui précède. Il y a une absence de liaisons assez flagrante. En conclusion, une lecture intéressante, je dirais.
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