La campagne de glace. Russie, 1918
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- Nombre de pages328
- FormatePub
- ISBN2-259-29065-5
- EAN9782259290654
- Date de parution01/01/1978
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPerrin (réédition numérique Feni...
Résumé
Ils n'étaient qu'une poignée, généraux aux bottes trouées, ou gamins grelottant sous la bise, infirmières sans voile, paysans sans terre, Cosaques sans chevaux. Ils n'étaient qu'une poignée, mais ils possédaient un cour assez grand pour battre aussi fort que la charge lorsque Lénine et ses complices s'emparèrent de la Sainte Russie et capitulèrent à Brest-Litovsk devant les exigences allemandes. Ils n'étaient qu'une poignée, groupés sous des chefs de légende - Kornilov, Alexeïev, Dénikine - mais ils allaient tenter de changer le destin du monde en quatre-vingts jours ; du 22 février au 13 mai 1918, les premiers combattants des Armées blanches vont, à travers le Don et le Kouban, rendre l'espoir à des populations asservies par le plus impitoyable des maîtres : le bolchévisme.
Ils marchent, sans pain et sans cartouches, ils en trouveront dans les musettes des Rouges. Ils enlèvent les trains blindés à la pointe du sabre, et prennent les villes à coups de cravache. Leur secret : ils croient en Dieu. De leur sang, les Croisés de la steppe ont écrit sur la neige le mot le plus noble du monde, liberté.
Ils marchent, sans pain et sans cartouches, ils en trouveront dans les musettes des Rouges. Ils enlèvent les trains blindés à la pointe du sabre, et prennent les villes à coups de cravache. Leur secret : ils croient en Dieu. De leur sang, les Croisés de la steppe ont écrit sur la neige le mot le plus noble du monde, liberté.
Ils n'étaient qu'une poignée, généraux aux bottes trouées, ou gamins grelottant sous la bise, infirmières sans voile, paysans sans terre, Cosaques sans chevaux. Ils n'étaient qu'une poignée, mais ils possédaient un cour assez grand pour battre aussi fort que la charge lorsque Lénine et ses complices s'emparèrent de la Sainte Russie et capitulèrent à Brest-Litovsk devant les exigences allemandes. Ils n'étaient qu'une poignée, groupés sous des chefs de légende - Kornilov, Alexeïev, Dénikine - mais ils allaient tenter de changer le destin du monde en quatre-vingts jours ; du 22 février au 13 mai 1918, les premiers combattants des Armées blanches vont, à travers le Don et le Kouban, rendre l'espoir à des populations asservies par le plus impitoyable des maîtres : le bolchévisme.
Ils marchent, sans pain et sans cartouches, ils en trouveront dans les musettes des Rouges. Ils enlèvent les trains blindés à la pointe du sabre, et prennent les villes à coups de cravache. Leur secret : ils croient en Dieu. De leur sang, les Croisés de la steppe ont écrit sur la neige le mot le plus noble du monde, liberté.
Ils marchent, sans pain et sans cartouches, ils en trouveront dans les musettes des Rouges. Ils enlèvent les trains blindés à la pointe du sabre, et prennent les villes à coups de cravache. Leur secret : ils croient en Dieu. De leur sang, les Croisés de la steppe ont écrit sur la neige le mot le plus noble du monde, liberté.