La Bolivie. Histoire constitutionnelle et ambivalence du pouvoir exécutif
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- Nombre de pages440
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25259-2
- EAN9782296252592
- Date de parution01/03/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierHarvey Claflin Mansfield
Résumé
Depuis le début du XXIe siècle, la Bolivie connaît des changements historiques importants. L'élection d'Evo Morales, premier président indien en Amérique latine, et les changements constitutionnels qui ont accompagné ce processus ont redessiné le paysage institutionnel de ce pays. Pour comprendre ces bouleversements, il faut avoir une interprétation globale de l'histoire constitutionnelle de la Bolivie.
La question centrale qui se pose au moment de la naissance du constitutionnalisme bolivien est celle, implicite dans la pensée de Simôn Bolivar, de la conciliation entre la légitimité démocratique et la nécessaire puissance de l'État. Ce problème traditionnel de la théorie constitutionnelle se pose avec une acuité particulière sur le continent américain au moment des indépendances, comme si les anciennes colonies concentraient les contradictions et les perspectives de l'expérience européenne.
Confrontées à la nécessité d'inventer une nouvelle logique politique, imprégnées de théories antiques et modernes tout en faisant reposer leur nouvelle expérience sur la fiction de la tabula rasa, les nouvelles Républiques doivent affirmer l'existence de l'État-Nation, lui attacher une légitimité théorique et, en même temps, contrôler l'exercice du pouvoir sur ces territoires investis par l'idée d'indépendance.
Cet ouvrage revient aux origines théoriques du pouvoir exécutif à partir de l'étude du cas bolivien. Il analyse comment le constitutionnalisme moderne essaya de concilier les notions de force et de légitimité par l'élaboration de ce que Jean-René Garcia appelle un consensus sur le pouvoir exécutif ambivalent réalisé lors de Temps Historiques Constitutionnels. Ce livre est l'un des premiers à étudier l'ensemble de l'histoire constitutionnelle de la Bolivie à travers la notion d'ambivalence du pouvoir exécutif.
Comme le dit Harvey C. Mansfield dans sa préface : "Le texte qui suit est un modèle d'analyse rigoureuse en science politique".
La question centrale qui se pose au moment de la naissance du constitutionnalisme bolivien est celle, implicite dans la pensée de Simôn Bolivar, de la conciliation entre la légitimité démocratique et la nécessaire puissance de l'État. Ce problème traditionnel de la théorie constitutionnelle se pose avec une acuité particulière sur le continent américain au moment des indépendances, comme si les anciennes colonies concentraient les contradictions et les perspectives de l'expérience européenne.
Confrontées à la nécessité d'inventer une nouvelle logique politique, imprégnées de théories antiques et modernes tout en faisant reposer leur nouvelle expérience sur la fiction de la tabula rasa, les nouvelles Républiques doivent affirmer l'existence de l'État-Nation, lui attacher une légitimité théorique et, en même temps, contrôler l'exercice du pouvoir sur ces territoires investis par l'idée d'indépendance.
Cet ouvrage revient aux origines théoriques du pouvoir exécutif à partir de l'étude du cas bolivien. Il analyse comment le constitutionnalisme moderne essaya de concilier les notions de force et de légitimité par l'élaboration de ce que Jean-René Garcia appelle un consensus sur le pouvoir exécutif ambivalent réalisé lors de Temps Historiques Constitutionnels. Ce livre est l'un des premiers à étudier l'ensemble de l'histoire constitutionnelle de la Bolivie à travers la notion d'ambivalence du pouvoir exécutif.
Comme le dit Harvey C. Mansfield dans sa préface : "Le texte qui suit est un modèle d'analyse rigoureuse en science politique".
Depuis le début du XXIe siècle, la Bolivie connaît des changements historiques importants. L'élection d'Evo Morales, premier président indien en Amérique latine, et les changements constitutionnels qui ont accompagné ce processus ont redessiné le paysage institutionnel de ce pays. Pour comprendre ces bouleversements, il faut avoir une interprétation globale de l'histoire constitutionnelle de la Bolivie.
La question centrale qui se pose au moment de la naissance du constitutionnalisme bolivien est celle, implicite dans la pensée de Simôn Bolivar, de la conciliation entre la légitimité démocratique et la nécessaire puissance de l'État. Ce problème traditionnel de la théorie constitutionnelle se pose avec une acuité particulière sur le continent américain au moment des indépendances, comme si les anciennes colonies concentraient les contradictions et les perspectives de l'expérience européenne.
Confrontées à la nécessité d'inventer une nouvelle logique politique, imprégnées de théories antiques et modernes tout en faisant reposer leur nouvelle expérience sur la fiction de la tabula rasa, les nouvelles Républiques doivent affirmer l'existence de l'État-Nation, lui attacher une légitimité théorique et, en même temps, contrôler l'exercice du pouvoir sur ces territoires investis par l'idée d'indépendance.
Cet ouvrage revient aux origines théoriques du pouvoir exécutif à partir de l'étude du cas bolivien. Il analyse comment le constitutionnalisme moderne essaya de concilier les notions de force et de légitimité par l'élaboration de ce que Jean-René Garcia appelle un consensus sur le pouvoir exécutif ambivalent réalisé lors de Temps Historiques Constitutionnels. Ce livre est l'un des premiers à étudier l'ensemble de l'histoire constitutionnelle de la Bolivie à travers la notion d'ambivalence du pouvoir exécutif.
Comme le dit Harvey C. Mansfield dans sa préface : "Le texte qui suit est un modèle d'analyse rigoureuse en science politique".
La question centrale qui se pose au moment de la naissance du constitutionnalisme bolivien est celle, implicite dans la pensée de Simôn Bolivar, de la conciliation entre la légitimité démocratique et la nécessaire puissance de l'État. Ce problème traditionnel de la théorie constitutionnelle se pose avec une acuité particulière sur le continent américain au moment des indépendances, comme si les anciennes colonies concentraient les contradictions et les perspectives de l'expérience européenne.
Confrontées à la nécessité d'inventer une nouvelle logique politique, imprégnées de théories antiques et modernes tout en faisant reposer leur nouvelle expérience sur la fiction de la tabula rasa, les nouvelles Républiques doivent affirmer l'existence de l'État-Nation, lui attacher une légitimité théorique et, en même temps, contrôler l'exercice du pouvoir sur ces territoires investis par l'idée d'indépendance.
Cet ouvrage revient aux origines théoriques du pouvoir exécutif à partir de l'étude du cas bolivien. Il analyse comment le constitutionnalisme moderne essaya de concilier les notions de force et de légitimité par l'élaboration de ce que Jean-René Garcia appelle un consensus sur le pouvoir exécutif ambivalent réalisé lors de Temps Historiques Constitutionnels. Ce livre est l'un des premiers à étudier l'ensemble de l'histoire constitutionnelle de la Bolivie à travers la notion d'ambivalence du pouvoir exécutif.
Comme le dit Harvey C. Mansfield dans sa préface : "Le texte qui suit est un modèle d'analyse rigoureuse en science politique".