La bolchevique amoureuse et autres récits
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages160
- FormatePub
- ISBN978-2-7103-7769-6
- EAN9782710377696
- Date de parution21/09/2017
- Protection num.Adobe DRM
- Taille236 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions de la Table Ronde
- TraducteurCatherine Vasseur
Résumé
Juste après la révolution russe, les préjugés bourgeois sont encore ancrés dans les mémoires et dans les mours. Ce sont autant d'ennemis à vaincre, au profit d'une liberté non moins soumise à la morale. Maria, femme vieillissante et membre haut placé du parti, se lie à un garçon lui-même amoureux d'une fille de son âge : 17 ans. Les deux jeunes gens n'ont pas connu le monde d'avant, et Maria se voit obligée de confronter les valeurs nouvelles à celles que l'on s'est tant acharné à éradiquer : le romantisme n'a plus sa place ni dans les villages du Caucase, ni dans les couloirs froids du Palais du Travail, encore moins sur le pont qui traverse la Moskova, où elle finira son errance.
La Bolchevique amoureuse parle, avec une élégante ironie, de deux sociétés irréconciliables, à travers le déclin d'une âme à la fois meurtrie et enthousiaste. Les quatre récits qui s'y ajoutent, tous publiés dans divers journaux dans les années 1920, sont semblables à des fables dont on savoure la trame jusqu'à la dernière ligne pour en connaître la morale; on y retrouve l'économie de mots et le sens de l'absurde des Histoires prodigieuses, qui font de Chaves Nogales un grand nouvelliste.
La Bolchevique amoureuse parle, avec une élégante ironie, de deux sociétés irréconciliables, à travers le déclin d'une âme à la fois meurtrie et enthousiaste. Les quatre récits qui s'y ajoutent, tous publiés dans divers journaux dans les années 1920, sont semblables à des fables dont on savoure la trame jusqu'à la dernière ligne pour en connaître la morale; on y retrouve l'économie de mots et le sens de l'absurde des Histoires prodigieuses, qui font de Chaves Nogales un grand nouvelliste.
Juste après la révolution russe, les préjugés bourgeois sont encore ancrés dans les mémoires et dans les mours. Ce sont autant d'ennemis à vaincre, au profit d'une liberté non moins soumise à la morale. Maria, femme vieillissante et membre haut placé du parti, se lie à un garçon lui-même amoureux d'une fille de son âge : 17 ans. Les deux jeunes gens n'ont pas connu le monde d'avant, et Maria se voit obligée de confronter les valeurs nouvelles à celles que l'on s'est tant acharné à éradiquer : le romantisme n'a plus sa place ni dans les villages du Caucase, ni dans les couloirs froids du Palais du Travail, encore moins sur le pont qui traverse la Moskova, où elle finira son errance.
La Bolchevique amoureuse parle, avec une élégante ironie, de deux sociétés irréconciliables, à travers le déclin d'une âme à la fois meurtrie et enthousiaste. Les quatre récits qui s'y ajoutent, tous publiés dans divers journaux dans les années 1920, sont semblables à des fables dont on savoure la trame jusqu'à la dernière ligne pour en connaître la morale; on y retrouve l'économie de mots et le sens de l'absurde des Histoires prodigieuses, qui font de Chaves Nogales un grand nouvelliste.
La Bolchevique amoureuse parle, avec une élégante ironie, de deux sociétés irréconciliables, à travers le déclin d'une âme à la fois meurtrie et enthousiaste. Les quatre récits qui s'y ajoutent, tous publiés dans divers journaux dans les années 1920, sont semblables à des fables dont on savoure la trame jusqu'à la dernière ligne pour en connaître la morale; on y retrouve l'économie de mots et le sens de l'absurde des Histoires prodigieuses, qui font de Chaves Nogales un grand nouvelliste.
















