Là - bas, sous le ciel clair

Par : Soo Ja Pracca
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  • FormatMulti-format
  • ISBN979-10-91555-99-9
  • EAN9791091555999
  • Date de parution28/05/2025
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurAtelier des Cahiers

Résumé

Le récit de vie d'une adoptée française née en Corée du Sud dans les années 1970. « Je suis venue ici chercher quelque chose ou quelqu'un, peut-être simplement des traces, ?celles d'une identité, de mon identité. » Le 25 juillet 1975, à l'aéroport du Bourget, quelques dizaines d'enfants coréens débarquent d'un avion en provenance de Séoul. Ils sont ensuite répartis aux quatre coins de la France pour démarrer une nouvelle vie avec leur nouvelle famille.
Parmi eux se trouve Choi Soo Ja, une petite fille de quinze mois abandonnée et trouvée devant un poste de police à Nonsan, petite ville du centre-ouest de la Corée, avant d'être transférée à Séoul pour une adoption à l'international. Comme elle, ce sont des dizaines de milliers d'enfants coréens qui endosseront une nouvelle identité et qui grandiront dans un autre pays, avec un autre nom, une autre famille, une autre langue.
« Là-bas, sous le ciel clair » retrace le destin d'une de ces enfants et la relation qu'elle entretient avec son pays d'origine aux différents âges de sa vie. Son premier retour à l'âge de seize ans amorcera un long processus d'acceptation puis de recherche et de tentative de reconstitution. Ce témoignage revient sur une période de l'histoire coréenne durant laquelle près de deux cent mille enfants ont été abandonnés puis dispersés à travers le monde.
Il interroge les conséquences psychiques et affectives du traumatisme de l'abandon et du déracinement et relate la quête d'identité et la lutte menée contre la reproduction inconsciente des schémas de vie. Le livre aborde la question de la transmission et de la résilience. L'histoire familiale transcendée peut de nouveau s'écrire et échapper au vide et à l'absence. Adoptée à l'âge de quinze mois, Soo Ja Pracca revient pour la première fois en Corée, à seize ans, avec ses parents adoptifs.
Il faudra attendre seize autres années pour qu'elle retourne dans son pays natal après avoir quitté le monde de la finance où elle exerçait en tant que consultante. De retour de voyage en 2006, elle change radicalement de cap et se tourne vers le cinéma. Elle écrit et réalise plusieurs courts-métrages à Paris puis décide, en 2009, d'aller vivre en Corée du Sud pour retrouver ses racines. Durant les trois années qu'elle passe à Séoul, elle écrit presque quotidiennement sur l'expérience qu'elle est en train de vivre.
En 2012, elle revient en France, s'installe près de Lyon et devient professeure des écoles. C'est en 2020, qu'elle décide de reprendre les notes de ses cahiers de Corée pour en faire un livre.
Le récit de vie d'une adoptée française née en Corée du Sud dans les années 1970. « Je suis venue ici chercher quelque chose ou quelqu'un, peut-être simplement des traces, ?celles d'une identité, de mon identité. » Le 25 juillet 1975, à l'aéroport du Bourget, quelques dizaines d'enfants coréens débarquent d'un avion en provenance de Séoul. Ils sont ensuite répartis aux quatre coins de la France pour démarrer une nouvelle vie avec leur nouvelle famille.
Parmi eux se trouve Choi Soo Ja, une petite fille de quinze mois abandonnée et trouvée devant un poste de police à Nonsan, petite ville du centre-ouest de la Corée, avant d'être transférée à Séoul pour une adoption à l'international. Comme elle, ce sont des dizaines de milliers d'enfants coréens qui endosseront une nouvelle identité et qui grandiront dans un autre pays, avec un autre nom, une autre famille, une autre langue.
« Là-bas, sous le ciel clair » retrace le destin d'une de ces enfants et la relation qu'elle entretient avec son pays d'origine aux différents âges de sa vie. Son premier retour à l'âge de seize ans amorcera un long processus d'acceptation puis de recherche et de tentative de reconstitution. Ce témoignage revient sur une période de l'histoire coréenne durant laquelle près de deux cent mille enfants ont été abandonnés puis dispersés à travers le monde.
Il interroge les conséquences psychiques et affectives du traumatisme de l'abandon et du déracinement et relate la quête d'identité et la lutte menée contre la reproduction inconsciente des schémas de vie. Le livre aborde la question de la transmission et de la résilience. L'histoire familiale transcendée peut de nouveau s'écrire et échapper au vide et à l'absence. Adoptée à l'âge de quinze mois, Soo Ja Pracca revient pour la première fois en Corée, à seize ans, avec ses parents adoptifs.
Il faudra attendre seize autres années pour qu'elle retourne dans son pays natal après avoir quitté le monde de la finance où elle exerçait en tant que consultante. De retour de voyage en 2006, elle change radicalement de cap et se tourne vers le cinéma. Elle écrit et réalise plusieurs courts-métrages à Paris puis décide, en 2009, d'aller vivre en Corée du Sud pour retrouver ses racines. Durant les trois années qu'elle passe à Séoul, elle écrit presque quotidiennement sur l'expérience qu'elle est en train de vivre.
En 2012, elle revient en France, s'installe près de Lyon et devient professeure des écoles. C'est en 2020, qu'elle décide de reprendre les notes de ses cahiers de Corée pour en faire un livre.