La banque des quatre saisons. Histoire du Crédit agricole et du Crédit agricole du Sud-Est
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- Nombre de pages376
- FormatePub
- ISBN2-402-23838-0
- EAN9782402238380
- Date de parution01/01/1992
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille113 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (LUGD...
Résumé
À la différence de grandes banques qui, de la capitale, ont essaimé en province, le Crédit Agricole est né de la base, la commune ou le canton, avant de se structurer au niveau du département, de la région et, plus tard, de l'État. À l'origine - à la fin du XIXe siècle -, le Crédit Agricole a été créé par et pour les agriculteurs en appliquant les principes altruistes mis en valeur par le grand mouvement mutualiste qui s'étendait alors sur l'Europe, en Allemagne et en France notamment.
D'un établissement bancaire modeste spécialisé dans le crédit à l'agriculture, le Crédit Agricole est devenu, en quelques décennies, une grande banque universelle ouverte à tous. L'« établissement public à caractère industriel et commercial » s'est transformé en 1988 en une société anonyme au capital de 4, 5 milliards de francs qui figure, après les banques japonaises, au premier rang des banques dans le monde.
« La banque des quatre saisons », c'est l'« épopée » du Crédit Agricole de 1899 à nos jours, racontée à travers la vie d'une Caisse régionale - celle du « Sud-Est » à Lyon -, la plus ancienne de France, aujourd'hui la première en province par l'importance de son réseau et de ses activités, après celle de l'Île de France. Charles André, qui de 1952 à fin 1983 y a exercé des fonctions de direction, mêle ses souvenirs personnels - à travers de savoureuses anecdotes tant au niveau local que national -, à la grande fresque qui couvre la quasi-totalité du XXe siècle dans laquelle s'entrecroisent les faits historiques, économiques et sociaux.
Écrit dans un style alerte et vigoureux, « La banque des quatre saisons » se lit comme un roman. Mais n'est-ce pas un roman historique moderne ? J. T.
D'un établissement bancaire modeste spécialisé dans le crédit à l'agriculture, le Crédit Agricole est devenu, en quelques décennies, une grande banque universelle ouverte à tous. L'« établissement public à caractère industriel et commercial » s'est transformé en 1988 en une société anonyme au capital de 4, 5 milliards de francs qui figure, après les banques japonaises, au premier rang des banques dans le monde.
« La banque des quatre saisons », c'est l'« épopée » du Crédit Agricole de 1899 à nos jours, racontée à travers la vie d'une Caisse régionale - celle du « Sud-Est » à Lyon -, la plus ancienne de France, aujourd'hui la première en province par l'importance de son réseau et de ses activités, après celle de l'Île de France. Charles André, qui de 1952 à fin 1983 y a exercé des fonctions de direction, mêle ses souvenirs personnels - à travers de savoureuses anecdotes tant au niveau local que national -, à la grande fresque qui couvre la quasi-totalité du XXe siècle dans laquelle s'entrecroisent les faits historiques, économiques et sociaux.
Écrit dans un style alerte et vigoureux, « La banque des quatre saisons » se lit comme un roman. Mais n'est-ce pas un roman historique moderne ? J. T.
À la différence de grandes banques qui, de la capitale, ont essaimé en province, le Crédit Agricole est né de la base, la commune ou le canton, avant de se structurer au niveau du département, de la région et, plus tard, de l'État. À l'origine - à la fin du XIXe siècle -, le Crédit Agricole a été créé par et pour les agriculteurs en appliquant les principes altruistes mis en valeur par le grand mouvement mutualiste qui s'étendait alors sur l'Europe, en Allemagne et en France notamment.
D'un établissement bancaire modeste spécialisé dans le crédit à l'agriculture, le Crédit Agricole est devenu, en quelques décennies, une grande banque universelle ouverte à tous. L'« établissement public à caractère industriel et commercial » s'est transformé en 1988 en une société anonyme au capital de 4, 5 milliards de francs qui figure, après les banques japonaises, au premier rang des banques dans le monde.
« La banque des quatre saisons », c'est l'« épopée » du Crédit Agricole de 1899 à nos jours, racontée à travers la vie d'une Caisse régionale - celle du « Sud-Est » à Lyon -, la plus ancienne de France, aujourd'hui la première en province par l'importance de son réseau et de ses activités, après celle de l'Île de France. Charles André, qui de 1952 à fin 1983 y a exercé des fonctions de direction, mêle ses souvenirs personnels - à travers de savoureuses anecdotes tant au niveau local que national -, à la grande fresque qui couvre la quasi-totalité du XXe siècle dans laquelle s'entrecroisent les faits historiques, économiques et sociaux.
Écrit dans un style alerte et vigoureux, « La banque des quatre saisons » se lit comme un roman. Mais n'est-ce pas un roman historique moderne ? J. T.
D'un établissement bancaire modeste spécialisé dans le crédit à l'agriculture, le Crédit Agricole est devenu, en quelques décennies, une grande banque universelle ouverte à tous. L'« établissement public à caractère industriel et commercial » s'est transformé en 1988 en une société anonyme au capital de 4, 5 milliards de francs qui figure, après les banques japonaises, au premier rang des banques dans le monde.
« La banque des quatre saisons », c'est l'« épopée » du Crédit Agricole de 1899 à nos jours, racontée à travers la vie d'une Caisse régionale - celle du « Sud-Est » à Lyon -, la plus ancienne de France, aujourd'hui la première en province par l'importance de son réseau et de ses activités, après celle de l'Île de France. Charles André, qui de 1952 à fin 1983 y a exercé des fonctions de direction, mêle ses souvenirs personnels - à travers de savoureuses anecdotes tant au niveau local que national -, à la grande fresque qui couvre la quasi-totalité du XXe siècle dans laquelle s'entrecroisent les faits historiques, économiques et sociaux.
Écrit dans un style alerte et vigoureux, « La banque des quatre saisons » se lit comme un roman. Mais n'est-ce pas un roman historique moderne ? J. T.