Prix Nobel de Littérature
L'Un et l'Autre - tome 2. Correspondance entre Romain Rolland et Alphonse de Châteaubriant, (1914-1944), cahier nº30
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- Nombre de pages492
- FormatePub
- ISBN2-226-22777-6
- EAN9782226227775
- Date de parution07/03/1996
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille730 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
En 1914, Romain Rolland a déjà publié une oeuvre littéraire connue du monde entier. Alphonse de Châteaubriant ne s'est signalé que par la publication de quelques « salons » à la manière de Baudelaire et par son premier roman, Monsieur des Lourdines, prix Goncourt 1911. Quand éclate la guerre, il est envoyé au front tandis que l'auteur de Jean-Christophe s'installe en Suisse où, par des articles rassemblés dans Au-dessus de la mêlée et Les Précurseurs, il fait connaître aux belligérants son idéal de pacifiste militant.
Durant la guerre, traversée par chacun dans des circonstances et des engagements si différents, l'échange épistolaire perd de sa régularité, puis retrouve malgré tout sérénité, confiance et harmonie pendant la période qui suit. Pourtant, dix-huit mois plus tard, survient une discorde d'une violence inattendue. Plusieurs fois ensuite, les deux hommes cesseront de s'écrire et se perdront de vue, mais la rupture ne sera jamais définitive malgré des désaccords politiques fondamentaux.
Aux pires moments de l'occupation allemande, ils ne manqueront de s'écrire et de se rencontrer, jusqu'à la mort de Rolland fin décembre 1944. Une fidélité rare, qui illustre au mieux le propos de Malraux selon lequel « l'amitié, ce n'est pas dêtre avec ses amis quand ils ont raison, c'est dêtre avec eux même quand ils ont tort ».
Durant la guerre, traversée par chacun dans des circonstances et des engagements si différents, l'échange épistolaire perd de sa régularité, puis retrouve malgré tout sérénité, confiance et harmonie pendant la période qui suit. Pourtant, dix-huit mois plus tard, survient une discorde d'une violence inattendue. Plusieurs fois ensuite, les deux hommes cesseront de s'écrire et se perdront de vue, mais la rupture ne sera jamais définitive malgré des désaccords politiques fondamentaux.
Aux pires moments de l'occupation allemande, ils ne manqueront de s'écrire et de se rencontrer, jusqu'à la mort de Rolland fin décembre 1944. Une fidélité rare, qui illustre au mieux le propos de Malraux selon lequel « l'amitié, ce n'est pas dêtre avec ses amis quand ils ont raison, c'est dêtre avec eux même quand ils ont tort ».
En 1914, Romain Rolland a déjà publié une oeuvre littéraire connue du monde entier. Alphonse de Châteaubriant ne s'est signalé que par la publication de quelques « salons » à la manière de Baudelaire et par son premier roman, Monsieur des Lourdines, prix Goncourt 1911. Quand éclate la guerre, il est envoyé au front tandis que l'auteur de Jean-Christophe s'installe en Suisse où, par des articles rassemblés dans Au-dessus de la mêlée et Les Précurseurs, il fait connaître aux belligérants son idéal de pacifiste militant.
Durant la guerre, traversée par chacun dans des circonstances et des engagements si différents, l'échange épistolaire perd de sa régularité, puis retrouve malgré tout sérénité, confiance et harmonie pendant la période qui suit. Pourtant, dix-huit mois plus tard, survient une discorde d'une violence inattendue. Plusieurs fois ensuite, les deux hommes cesseront de s'écrire et se perdront de vue, mais la rupture ne sera jamais définitive malgré des désaccords politiques fondamentaux.
Aux pires moments de l'occupation allemande, ils ne manqueront de s'écrire et de se rencontrer, jusqu'à la mort de Rolland fin décembre 1944. Une fidélité rare, qui illustre au mieux le propos de Malraux selon lequel « l'amitié, ce n'est pas dêtre avec ses amis quand ils ont raison, c'est dêtre avec eux même quand ils ont tort ».
Durant la guerre, traversée par chacun dans des circonstances et des engagements si différents, l'échange épistolaire perd de sa régularité, puis retrouve malgré tout sérénité, confiance et harmonie pendant la période qui suit. Pourtant, dix-huit mois plus tard, survient une discorde d'une violence inattendue. Plusieurs fois ensuite, les deux hommes cesseront de s'écrire et se perdront de vue, mais la rupture ne sera jamais définitive malgré des désaccords politiques fondamentaux.
Aux pires moments de l'occupation allemande, ils ne manqueront de s'écrire et de se rencontrer, jusqu'à la mort de Rolland fin décembre 1944. Une fidélité rare, qui illustre au mieux le propos de Malraux selon lequel « l'amitié, ce n'est pas dêtre avec ses amis quand ils ont raison, c'est dêtre avec eux même quand ils ont tort ».