L'Oeuvre de Secours aux Enfants (OSE) sous l'Occupation en France. Du légalisme à la résistance 1940-1944
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- Nombre de pages221
- FormatPDF
- ISBN2-296-19620-9
- EAN9782296196209
- Date de parution01/01/1985
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le silence des historiens sur la résistance juive a sans nul doute nourri quelques idées préconçues. L'une de ces idées est que les Juifs seraient allés passivement à la mort. Pourtant leur résistance, armée et civile, a revêtu de multiples aspects. L'Œuvre de Secours aux Enfants (O.S.E.) fut l'une de ces organisations dont les membres n'étaient pas tous résignés. Comme toutes les organisations juives - à l'exclusion de celles qui dépendaient du Parti communiste et étaient déjà clandestines depuis 1939 -, l'O.S.E.
était intégrée au sein d'un organisme racial, l'Union Générale des Israélites de France (U.G.I.F.), créé par le Gouvernement de Vichy. Dès lors, quelle fut l'attitude adoptée par l'O.S.E. pour sauvegarder les enfants juifs persécutés ? Quelle était la possibilité d'un véritable travail social dans un cadre de plus en plus coercitif ? Sabine Zeitoun s'est efforcée de mener autant une étude de la psychologie des personnes et des groupes confrontés en permanence à un dilemme légalité/illégalité qu'une analyse exhaustive des sources écrites.
Pour cela, cette historienne a consulté les archives de l'O.S.E. à Paris, des archives nationales et départementales, et également celles du Yad Vashem à Jérusalem et du Yivo Institute à New York. Mais une telle recherche ne pouvait ignorer les sources orales. L'auteur a recueilli plus d'une soixantaine de témoignages des acteurs de cette histoire, afin d'aller au-delà de ce que pouvaient révéler les documents écrits.
était intégrée au sein d'un organisme racial, l'Union Générale des Israélites de France (U.G.I.F.), créé par le Gouvernement de Vichy. Dès lors, quelle fut l'attitude adoptée par l'O.S.E. pour sauvegarder les enfants juifs persécutés ? Quelle était la possibilité d'un véritable travail social dans un cadre de plus en plus coercitif ? Sabine Zeitoun s'est efforcée de mener autant une étude de la psychologie des personnes et des groupes confrontés en permanence à un dilemme légalité/illégalité qu'une analyse exhaustive des sources écrites.
Pour cela, cette historienne a consulté les archives de l'O.S.E. à Paris, des archives nationales et départementales, et également celles du Yad Vashem à Jérusalem et du Yivo Institute à New York. Mais une telle recherche ne pouvait ignorer les sources orales. L'auteur a recueilli plus d'une soixantaine de témoignages des acteurs de cette histoire, afin d'aller au-delà de ce que pouvaient révéler les documents écrits.
Le silence des historiens sur la résistance juive a sans nul doute nourri quelques idées préconçues. L'une de ces idées est que les Juifs seraient allés passivement à la mort. Pourtant leur résistance, armée et civile, a revêtu de multiples aspects. L'Œuvre de Secours aux Enfants (O.S.E.) fut l'une de ces organisations dont les membres n'étaient pas tous résignés. Comme toutes les organisations juives - à l'exclusion de celles qui dépendaient du Parti communiste et étaient déjà clandestines depuis 1939 -, l'O.S.E.
était intégrée au sein d'un organisme racial, l'Union Générale des Israélites de France (U.G.I.F.), créé par le Gouvernement de Vichy. Dès lors, quelle fut l'attitude adoptée par l'O.S.E. pour sauvegarder les enfants juifs persécutés ? Quelle était la possibilité d'un véritable travail social dans un cadre de plus en plus coercitif ? Sabine Zeitoun s'est efforcée de mener autant une étude de la psychologie des personnes et des groupes confrontés en permanence à un dilemme légalité/illégalité qu'une analyse exhaustive des sources écrites.
Pour cela, cette historienne a consulté les archives de l'O.S.E. à Paris, des archives nationales et départementales, et également celles du Yad Vashem à Jérusalem et du Yivo Institute à New York. Mais une telle recherche ne pouvait ignorer les sources orales. L'auteur a recueilli plus d'une soixantaine de témoignages des acteurs de cette histoire, afin d'aller au-delà de ce que pouvaient révéler les documents écrits.
était intégrée au sein d'un organisme racial, l'Union Générale des Israélites de France (U.G.I.F.), créé par le Gouvernement de Vichy. Dès lors, quelle fut l'attitude adoptée par l'O.S.E. pour sauvegarder les enfants juifs persécutés ? Quelle était la possibilité d'un véritable travail social dans un cadre de plus en plus coercitif ? Sabine Zeitoun s'est efforcée de mener autant une étude de la psychologie des personnes et des groupes confrontés en permanence à un dilemme légalité/illégalité qu'une analyse exhaustive des sources écrites.
Pour cela, cette historienne a consulté les archives de l'O.S.E. à Paris, des archives nationales et départementales, et également celles du Yad Vashem à Jérusalem et du Yivo Institute à New York. Mais une telle recherche ne pouvait ignorer les sources orales. L'auteur a recueilli plus d'une soixantaine de témoignages des acteurs de cette histoire, afin d'aller au-delà de ce que pouvaient révéler les documents écrits.