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L'odeur de la colle en pot

Par : Adèle Bréau
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  • Nombre de pages280
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7096-6098-3
  • EAN9782709660983
  • Date de parution24/04/2019
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurJC Lattès

Résumé

Septembre 1991. Caroline a treize ans et intègre son nouveau collège. Avec ses parents et sa sour Charlotte, ils ont quitté la banlieue pour s'installer à Paris, dans un appartement trop grand où les liens se distendent chaque jour.  S'il voulait se rapprocher de ce travail qui le dévore, le père est pourtant de plus en plus absent. Quand il est là, c'est vêtu de ce blouson qu'il ne quitte plus, et de cet air qui semble dire son désir de partir loin.
Autour de l'unique téléphone fixe de la maison se chuchotent les secrets d'une famille en plein chaos : le chagrin de la mère, la fuite du père et les tourments adolescents de l'héroïne, qui déroule le fil de cette année si particulière où l'enfance s'éloigne. Caroline restitue le portrait d'une génération désenchantée, les professeurs, les premiers flirts, les cafés où l'on fume encore, les cabines téléphoniques, les vidéoclubs, la musique triste dans son walkman, les cahiers Clairefontaine, les Guignols de l'Info, le bruit des craies et c'est toute une époque qui ressurgit comme lorsqu'on plonge son nez dans ces petits pots de colle à l'odeur d'amande.
Récit d'un temps révolu autant que de l'adolescence, L'Odeur de la colle en pot peint avec légèreté et mélancolie le moment de bascule entre l'enfance et l'âge adulte, une période bouleversante et intemporelle.
Septembre 1991. Caroline a treize ans et intègre son nouveau collège. Avec ses parents et sa sour Charlotte, ils ont quitté la banlieue pour s'installer à Paris, dans un appartement trop grand où les liens se distendent chaque jour.  S'il voulait se rapprocher de ce travail qui le dévore, le père est pourtant de plus en plus absent. Quand il est là, c'est vêtu de ce blouson qu'il ne quitte plus, et de cet air qui semble dire son désir de partir loin.
Autour de l'unique téléphone fixe de la maison se chuchotent les secrets d'une famille en plein chaos : le chagrin de la mère, la fuite du père et les tourments adolescents de l'héroïne, qui déroule le fil de cette année si particulière où l'enfance s'éloigne. Caroline restitue le portrait d'une génération désenchantée, les professeurs, les premiers flirts, les cafés où l'on fume encore, les cabines téléphoniques, les vidéoclubs, la musique triste dans son walkman, les cahiers Clairefontaine, les Guignols de l'Info, le bruit des craies et c'est toute une époque qui ressurgit comme lorsqu'on plonge son nez dans ces petits pots de colle à l'odeur d'amande.
Récit d'un temps révolu autant que de l'adolescence, L'Odeur de la colle en pot peint avec légèreté et mélancolie le moment de bascule entre l'enfance et l'âge adulte, une période bouleversante et intemporelle.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Superbement nostalgique.
L’adolescence dans les années 90, à Paris (ou ailleurs, mais là ça se passe dans notre belle capitale, donc ne boudons pas notre plaisir), c’était tout de même quelque chose. Tous ceux qui ont eux la chance de vivre cette époque l’admettront sûrement, avec le sourire aux lèvres et une pointe de nostalgie dans les yeux. Caroline a 13 ans et vient d’emménager à Paris avec ses parents et sa petite sœur. Pour elle ça va donc être nouveau collège, nouveaux amis, nouvelle vie... avec tous les questionnements et les continuelles remises en question propres à une adolescente de cet âge et à cette époque. Et nous la suivons dans ces grands chamboulements, entre petits bonheurs et grands moments de déprime, joie intense et tristesse démesurée. De sa rencontres avec Vanessa, sa nouvelle meilleure amie, de son gros coup de cœur pour David, des ses profs invivables, de ses chamailleries avec Charlotte, sa petite peste de sœur, et de ses rapports emplis d’amour et de conflits générationnels avec ses parents, nous la suivrons partout. Et nous retrouverons un peu nous-mêmes dans chacun de ces moments. On se souviendra des petits mensonges pour obtenir plus de liberté, et des grands désespoirs causés par les parents et leur vie compliquée. On se rappèlera les cartes téléphoniques à unités, des téléphones de voiture, des walkmans, des premiers baladeurs CD, des heures passées au téléphone avec les copains, des plans sur la comète, et de chaque petite histoire qui devenait (forcément) une grande tragédie. Et puis, aussi, des problèmes familiaux, à ne surtout pas raconter à ses copines, de la guerre du Golfe et de la trouille énorme que ça donnait à tout le monde... Avec ce roman Adèle Bréau, grâce à une plume douce et vive, nous fait sourire, soupirer, revivre et, il faut bien l’admettre, beaucoup regretter, une époque où finalement la vie était bien moins compliquée. Entre rires et larmes Caro nous entraîne dans sa vie, et on la regarde évoluer avec attendrissement, comme en revoyant un vieux film adoré dont on aurait oublié certains passages. Finalement, c’est peut-être vrai que c’était mieux avant... Un livre à découvrir et à déguster sans attendre et surtout sans modération !
L’adolescence dans les années 90, à Paris (ou ailleurs, mais là ça se passe dans notre belle capitale, donc ne boudons pas notre plaisir), c’était tout de même quelque chose. Tous ceux qui ont eux la chance de vivre cette époque l’admettront sûrement, avec le sourire aux lèvres et une pointe de nostalgie dans les yeux. Caroline a 13 ans et vient d’emménager à Paris avec ses parents et sa petite sœur. Pour elle ça va donc être nouveau collège, nouveaux amis, nouvelle vie... avec tous les questionnements et les continuelles remises en question propres à une adolescente de cet âge et à cette époque. Et nous la suivons dans ces grands chamboulements, entre petits bonheurs et grands moments de déprime, joie intense et tristesse démesurée. De sa rencontres avec Vanessa, sa nouvelle meilleure amie, de son gros coup de cœur pour David, des ses profs invivables, de ses chamailleries avec Charlotte, sa petite peste de sœur, et de ses rapports emplis d’amour et de conflits générationnels avec ses parents, nous la suivrons partout. Et nous retrouverons un peu nous-mêmes dans chacun de ces moments. On se souviendra des petits mensonges pour obtenir plus de liberté, et des grands désespoirs causés par les parents et leur vie compliquée. On se rappèlera les cartes téléphoniques à unités, des téléphones de voiture, des walkmans, des premiers baladeurs CD, des heures passées au téléphone avec les copains, des plans sur la comète, et de chaque petite histoire qui devenait (forcément) une grande tragédie. Et puis, aussi, des problèmes familiaux, à ne surtout pas raconter à ses copines, de la guerre du Golfe et de la trouille énorme que ça donnait à tout le monde... Avec ce roman Adèle Bréau, grâce à une plume douce et vive, nous fait sourire, soupirer, revivre et, il faut bien l’admettre, beaucoup regretter, une époque où finalement la vie était bien moins compliquée. Entre rires et larmes Caro nous entraîne dans sa vie, et on la regarde évoluer avec attendrissement, comme en revoyant un vieux film adoré dont on aurait oublié certains passages. Finalement, c’est peut-être vrai que c’était mieux avant... Un livre à découvrir et à déguster sans attendre et surtout sans modération !
Une jolie lecture
#Chronique : L'odeur de la colle en pot d'Adèle Bréau - Éditions JC Lattès / Le Masque​ Vous vous souvenez de l'odeur d'amande qui émanait de nos pots de colle lorsque nous étions collégiens ? Ce roman est un merveilleux voyage dans le temps. Nous nous replongeons avec nostalgie et plaisir dans nos souvenirs d'enfance, ce n'est que du bonheur... http://www.leslecturesdelily.com/2019/05/lodeur-de-la-colle-en-pot-ecrit-par.html#more
#Chronique : L'odeur de la colle en pot d'Adèle Bréau - Éditions JC Lattès / Le Masque​ Vous vous souvenez de l'odeur d'amande qui émanait de nos pots de colle lorsque nous étions collégiens ? Ce roman est un merveilleux voyage dans le temps. Nous nous replongeons avec nostalgie et plaisir dans nos souvenirs d'enfance, ce n'est que du bonheur... http://www.leslecturesdelily.com/2019/05/lodeur-de-la-colle-en-pot-ecrit-par.html#more
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