L'obstiné. L'étonnant destin d'Albert Dubois - Pillet, fondateur de la Société des Artistes indépendants
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- Nombre de pages183
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-38647-925-0
- EAN9782386479250
- Date de parution27/06/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurEDITIONS COMPLICITES
Résumé
Le 18 août 1890, le chef d'escadron Dubois rend son dernier souffle. Il n'a que 44 ans. Quelques jours plus tard, dans la basilique qui domine la ville, toute la gendarmerie de Haute-Loire est présente pour rendre hommage à ce chef estimé qui n'a pas ménagé ses efforts au service de la loi. La France de cette fin de siècle est marquée par les épidémies et les révoltes minières. Le pays est déchiré entre les partisans de l'ordre établi et ceux qui aspirent à achever la révolution avortée de 1871.
Dubois, qui a vécu la défaite contre les Prussiens et la répression de la Commune, souhaite simplement une France en paix. Plus encore : il rêve d'une France belle telle qu'il se l'imagine, telle qu'il la peint. Car Dubois, sous le nom d'artiste Dubois-Pillet, est aussi un peintre reconnu. Un artiste engagé. Malgré les réticences de son père et les attaques des marchands d'art dont il fut la cible, il s'est battu pendant des années, avec ses amis, pour fonder cette Société des Artistes Indépendants où chaque artiste pourra enfin exposer sans avoir à se soumettre à la censure.
Le chef d'escadron Dubois, l'ami de Seurat, de Pissarro, de Renoir, sans oublier les frères Goncourt, Zola et tant d'autres, c'est avant tout cela : un homme libre refusant de se laisser enfermer dans un rôle trop étroit pour lui ; un officier artiste porté toute sa vie par un humanisme profondément ancré en lui.
Dubois, qui a vécu la défaite contre les Prussiens et la répression de la Commune, souhaite simplement une France en paix. Plus encore : il rêve d'une France belle telle qu'il se l'imagine, telle qu'il la peint. Car Dubois, sous le nom d'artiste Dubois-Pillet, est aussi un peintre reconnu. Un artiste engagé. Malgré les réticences de son père et les attaques des marchands d'art dont il fut la cible, il s'est battu pendant des années, avec ses amis, pour fonder cette Société des Artistes Indépendants où chaque artiste pourra enfin exposer sans avoir à se soumettre à la censure.
Le chef d'escadron Dubois, l'ami de Seurat, de Pissarro, de Renoir, sans oublier les frères Goncourt, Zola et tant d'autres, c'est avant tout cela : un homme libre refusant de se laisser enfermer dans un rôle trop étroit pour lui ; un officier artiste porté toute sa vie par un humanisme profondément ancré en lui.
Le 18 août 1890, le chef d'escadron Dubois rend son dernier souffle. Il n'a que 44 ans. Quelques jours plus tard, dans la basilique qui domine la ville, toute la gendarmerie de Haute-Loire est présente pour rendre hommage à ce chef estimé qui n'a pas ménagé ses efforts au service de la loi. La France de cette fin de siècle est marquée par les épidémies et les révoltes minières. Le pays est déchiré entre les partisans de l'ordre établi et ceux qui aspirent à achever la révolution avortée de 1871.
Dubois, qui a vécu la défaite contre les Prussiens et la répression de la Commune, souhaite simplement une France en paix. Plus encore : il rêve d'une France belle telle qu'il se l'imagine, telle qu'il la peint. Car Dubois, sous le nom d'artiste Dubois-Pillet, est aussi un peintre reconnu. Un artiste engagé. Malgré les réticences de son père et les attaques des marchands d'art dont il fut la cible, il s'est battu pendant des années, avec ses amis, pour fonder cette Société des Artistes Indépendants où chaque artiste pourra enfin exposer sans avoir à se soumettre à la censure.
Le chef d'escadron Dubois, l'ami de Seurat, de Pissarro, de Renoir, sans oublier les frères Goncourt, Zola et tant d'autres, c'est avant tout cela : un homme libre refusant de se laisser enfermer dans un rôle trop étroit pour lui ; un officier artiste porté toute sa vie par un humanisme profondément ancré en lui.
Dubois, qui a vécu la défaite contre les Prussiens et la répression de la Commune, souhaite simplement une France en paix. Plus encore : il rêve d'une France belle telle qu'il se l'imagine, telle qu'il la peint. Car Dubois, sous le nom d'artiste Dubois-Pillet, est aussi un peintre reconnu. Un artiste engagé. Malgré les réticences de son père et les attaques des marchands d'art dont il fut la cible, il s'est battu pendant des années, avec ses amis, pour fonder cette Société des Artistes Indépendants où chaque artiste pourra enfin exposer sans avoir à se soumettre à la censure.
Le chef d'escadron Dubois, l'ami de Seurat, de Pissarro, de Renoir, sans oublier les frères Goncourt, Zola et tant d'autres, c'est avant tout cela : un homme libre refusant de se laisser enfermer dans un rôle trop étroit pour lui ; un officier artiste porté toute sa vie par un humanisme profondément ancré en lui.