L'islam et la mer. La mosquée et le matelot, VIIème-XXème siècle

Par : Xavier de Planhol
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  • Nombre de pages658
  • FormatPDF
  • ISBN2-262-06047-9
  • EAN9782262060473
  • Date de parution01/01/2000
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille271 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurPerrin (réédition numérique Feni...

Résumé

Pourquoi les Arabes n'ont-ils pas découvert l'Amérique ? Pourquoi la marine ottomane, qui fut - aux XVIe et XVIIe siècles - la plus puissante du monde, n'a-t-elle jamais pu acquérir, durablement, la maîtrise de la Méditerranée ? Pourquoi la révolution bolchevique a-t-elle éclaté en Russie en 1917 ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles ce livre, aux confins de la géographie humaine, de l'histoire, de la sociologie, et de l'anthropologie culturelle, apporte des réponses.
Elles peuvent être résumées en une phrase : l'Islam est, dans son ensemble - et malgré un certain nombre d'exceptions qui ne font que renforcer la règle et relèvent d'explications particulières - profondément incompatible avec la vie maritime. "Homme libre, toujours tu chériras la mer", a écrit le poète. Or, "Islam" signifie "soumission". Le matelot est un aventurier, un rebelle. La société musulmane est une société réglée, méprisant et condamnant ceux qui vivent hors de ses normes.
Elle n'a pas su, comme la chrétienté, encadrer et utiliser les "gens de mer". Lorsque les Musulmans ont dépassé leur attitude d'indifférence, et compris la nécessité de créer des flottes, c'est en ayant recours aux techniques et aux hommes venus de l'Europe qu'ils ont pu le faire. Les Corsaires barbaresques, à l'origine, ont été des renégats. Du VIIe siècle à nos jours, à travers la Méditerranée et l'Atlantique, la mer Noire et la Caspienne, les mers du Sud, Xavier de Planhol, en des pages érudites et colorées, décrit l'ignorance, le laxisme, les gaspillages répétés qui ont conduit à des échecs répétés et à l'impuissance. Les conséquences de cette absence des Musulmans sur les mers, ont été immenses.
Le "déclin de l'Islam" lui est en grande partie attribuable. Se fussent-ils lancés résolument sur les eaux, il n'est pas excessif de penser que les destins du monde en auraient été changés. C'est un des ressorts les plus profonds de la "Grande Histoire", resté trop ignoré, qui nous est ici révélé.
Pourquoi les Arabes n'ont-ils pas découvert l'Amérique ? Pourquoi la marine ottomane, qui fut - aux XVIe et XVIIe siècles - la plus puissante du monde, n'a-t-elle jamais pu acquérir, durablement, la maîtrise de la Méditerranée ? Pourquoi la révolution bolchevique a-t-elle éclaté en Russie en 1917 ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles ce livre, aux confins de la géographie humaine, de l'histoire, de la sociologie, et de l'anthropologie culturelle, apporte des réponses.
Elles peuvent être résumées en une phrase : l'Islam est, dans son ensemble - et malgré un certain nombre d'exceptions qui ne font que renforcer la règle et relèvent d'explications particulières - profondément incompatible avec la vie maritime. "Homme libre, toujours tu chériras la mer", a écrit le poète. Or, "Islam" signifie "soumission". Le matelot est un aventurier, un rebelle. La société musulmane est une société réglée, méprisant et condamnant ceux qui vivent hors de ses normes.
Elle n'a pas su, comme la chrétienté, encadrer et utiliser les "gens de mer". Lorsque les Musulmans ont dépassé leur attitude d'indifférence, et compris la nécessité de créer des flottes, c'est en ayant recours aux techniques et aux hommes venus de l'Europe qu'ils ont pu le faire. Les Corsaires barbaresques, à l'origine, ont été des renégats. Du VIIe siècle à nos jours, à travers la Méditerranée et l'Atlantique, la mer Noire et la Caspienne, les mers du Sud, Xavier de Planhol, en des pages érudites et colorées, décrit l'ignorance, le laxisme, les gaspillages répétés qui ont conduit à des échecs répétés et à l'impuissance. Les conséquences de cette absence des Musulmans sur les mers, ont été immenses.
Le "déclin de l'Islam" lui est en grande partie attribuable. Se fussent-ils lancés résolument sur les eaux, il n'est pas excessif de penser que les destins du monde en auraient été changés. C'est un des ressorts les plus profonds de la "Grande Histoire", resté trop ignoré, qui nous est ici révélé.