L'invention des classes moyennes africaines. Enjeux politiques d'une catégorie incertaine
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- Nombre de pages312
- FormatPDF
- ISBN978-2-8111-1320-9
- EAN9782811113209
- Date de parution26/11/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurKarthala
Résumé
Les sociétés africaines sont en mutations rapides. L'urbanisation, l'expansion de l'éducation et de la formation à tous les niveaux, l'augmentation tendancielle du niveau de vie depuis les années 1980, une confrontation constante au reste du monde et à ses modes de vie via les medias et la jeunesse de la population, affectent la structure sociale et notamment urbaine des sociétés africaines et redessinent leurs potentiels de marché.
De nouvelles dynamiques sociales et économiques, massives et collectives, sont à l'oeuvre. L'expression « classes moyennes » popularisée dans les médias ne parvient pas à en saisir la complexité et les enjeux, notamment au niveau de prospérité le plus modeste. Elle permet cependant d'attirer l'attention sur ces évolutions, de constater qu'au-delà du poids considérable de la grande pauvreté et de la captation des richesses par un tout petit nombre d'élites, près de 350 millions d'Africains sortent de la pauvreté, se structurent et développent des stratégies et des actions de promotion sociale.
Les enjeux de ces mutations sociales massives sont considérables en termes de marché, mais aussi d'effets politiques pour les régimes en place et de système de gouvernance à développer pour répondre aux nouveaux besoins et aux nouvelles demandes urbaines. À partir de cas nationaux et sectoriels, cet ouvrage interroge précisément ces enjeux et les risques politiques que portent ces recompositions, notamment en matière de mobilisations sociales, de stabilité politique et de procédures de gouvernance.
Dominique Darbon est professeur de science politique à Sciences Po Bordeaux et travaille sur l'action publique et les politiques publiques, et sur les mutations socio-économiques en Afrique et dans les pays du Sud. Comi Toulabor est directeur de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques. Il interroge les sociétés africaines en termes de sociologie politique « par le bas ».
Tous les deux ont été rédacteurs en chef de la revue Politique africaine et sont membres du Laboratoire les Afriques dans le monde (LAM) de Sciences Po Bordeaux. En plus des directeurs scientifiques, ont contribué à cet ouvrage : Antje Daniel, Claire Dedieu, Élodie Escusa, Anna Fichtmüller, Jamilla Hamidu, John R. Heilbrunn, Clélie Nallet, Dieter Neubert.
De nouvelles dynamiques sociales et économiques, massives et collectives, sont à l'oeuvre. L'expression « classes moyennes » popularisée dans les médias ne parvient pas à en saisir la complexité et les enjeux, notamment au niveau de prospérité le plus modeste. Elle permet cependant d'attirer l'attention sur ces évolutions, de constater qu'au-delà du poids considérable de la grande pauvreté et de la captation des richesses par un tout petit nombre d'élites, près de 350 millions d'Africains sortent de la pauvreté, se structurent et développent des stratégies et des actions de promotion sociale.
Les enjeux de ces mutations sociales massives sont considérables en termes de marché, mais aussi d'effets politiques pour les régimes en place et de système de gouvernance à développer pour répondre aux nouveaux besoins et aux nouvelles demandes urbaines. À partir de cas nationaux et sectoriels, cet ouvrage interroge précisément ces enjeux et les risques politiques que portent ces recompositions, notamment en matière de mobilisations sociales, de stabilité politique et de procédures de gouvernance.
Dominique Darbon est professeur de science politique à Sciences Po Bordeaux et travaille sur l'action publique et les politiques publiques, et sur les mutations socio-économiques en Afrique et dans les pays du Sud. Comi Toulabor est directeur de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques. Il interroge les sociétés africaines en termes de sociologie politique « par le bas ».
Tous les deux ont été rédacteurs en chef de la revue Politique africaine et sont membres du Laboratoire les Afriques dans le monde (LAM) de Sciences Po Bordeaux. En plus des directeurs scientifiques, ont contribué à cet ouvrage : Antje Daniel, Claire Dedieu, Élodie Escusa, Anna Fichtmüller, Jamilla Hamidu, John R. Heilbrunn, Clélie Nallet, Dieter Neubert.
Les sociétés africaines sont en mutations rapides. L'urbanisation, l'expansion de l'éducation et de la formation à tous les niveaux, l'augmentation tendancielle du niveau de vie depuis les années 1980, une confrontation constante au reste du monde et à ses modes de vie via les medias et la jeunesse de la population, affectent la structure sociale et notamment urbaine des sociétés africaines et redessinent leurs potentiels de marché.
De nouvelles dynamiques sociales et économiques, massives et collectives, sont à l'oeuvre. L'expression « classes moyennes » popularisée dans les médias ne parvient pas à en saisir la complexité et les enjeux, notamment au niveau de prospérité le plus modeste. Elle permet cependant d'attirer l'attention sur ces évolutions, de constater qu'au-delà du poids considérable de la grande pauvreté et de la captation des richesses par un tout petit nombre d'élites, près de 350 millions d'Africains sortent de la pauvreté, se structurent et développent des stratégies et des actions de promotion sociale.
Les enjeux de ces mutations sociales massives sont considérables en termes de marché, mais aussi d'effets politiques pour les régimes en place et de système de gouvernance à développer pour répondre aux nouveaux besoins et aux nouvelles demandes urbaines. À partir de cas nationaux et sectoriels, cet ouvrage interroge précisément ces enjeux et les risques politiques que portent ces recompositions, notamment en matière de mobilisations sociales, de stabilité politique et de procédures de gouvernance.
Dominique Darbon est professeur de science politique à Sciences Po Bordeaux et travaille sur l'action publique et les politiques publiques, et sur les mutations socio-économiques en Afrique et dans les pays du Sud. Comi Toulabor est directeur de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques. Il interroge les sociétés africaines en termes de sociologie politique « par le bas ».
Tous les deux ont été rédacteurs en chef de la revue Politique africaine et sont membres du Laboratoire les Afriques dans le monde (LAM) de Sciences Po Bordeaux. En plus des directeurs scientifiques, ont contribué à cet ouvrage : Antje Daniel, Claire Dedieu, Élodie Escusa, Anna Fichtmüller, Jamilla Hamidu, John R. Heilbrunn, Clélie Nallet, Dieter Neubert.
De nouvelles dynamiques sociales et économiques, massives et collectives, sont à l'oeuvre. L'expression « classes moyennes » popularisée dans les médias ne parvient pas à en saisir la complexité et les enjeux, notamment au niveau de prospérité le plus modeste. Elle permet cependant d'attirer l'attention sur ces évolutions, de constater qu'au-delà du poids considérable de la grande pauvreté et de la captation des richesses par un tout petit nombre d'élites, près de 350 millions d'Africains sortent de la pauvreté, se structurent et développent des stratégies et des actions de promotion sociale.
Les enjeux de ces mutations sociales massives sont considérables en termes de marché, mais aussi d'effets politiques pour les régimes en place et de système de gouvernance à développer pour répondre aux nouveaux besoins et aux nouvelles demandes urbaines. À partir de cas nationaux et sectoriels, cet ouvrage interroge précisément ces enjeux et les risques politiques que portent ces recompositions, notamment en matière de mobilisations sociales, de stabilité politique et de procédures de gouvernance.
Dominique Darbon est professeur de science politique à Sciences Po Bordeaux et travaille sur l'action publique et les politiques publiques, et sur les mutations socio-économiques en Afrique et dans les pays du Sud. Comi Toulabor est directeur de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques. Il interroge les sociétés africaines en termes de sociologie politique « par le bas ».
Tous les deux ont été rédacteurs en chef de la revue Politique africaine et sont membres du Laboratoire les Afriques dans le monde (LAM) de Sciences Po Bordeaux. En plus des directeurs scientifiques, ont contribué à cet ouvrage : Antje Daniel, Claire Dedieu, Élodie Escusa, Anna Fichtmüller, Jamilla Hamidu, John R. Heilbrunn, Clélie Nallet, Dieter Neubert.