L'industrie et le commerce des armes dans les anciennes principautés belges du XIIIe à la fin du XVe siècle
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- Nombre de pages395
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-365-1639-9
- EAN9791036516399
- Date de parution02/09/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Liège
Résumé
L'intérêt pour les armes anciennes naquit du sentiment plus que de la raison. Les princes qui, les premiers, les collectionnèrent, le firent par gloriole et pour s'entourer des souvenirs de leur lignée. Le public, qui eut accès aux galeries d'armures dès le XVIIIe siècle, obéissait à l'attrait romantique pour le pittoresque et le suranné alors même que les progrès techniques commençaient à balayer, en matière militaire comme dans d'autres, un passé encore proche.
Les érudits enfin, qui entreprirent de se pencher sur l'étude de ce qui était devenu un fatras de bizarreries, cherchaient à meubler l'imagination errante des contemporains de Walter Scott, de Dumas, de Wagner ou de Gustave Doré en leur présentant des images patiemment reconstituées des guerriers d'un autre âge et des pères de la nation armée. A force de solliciter les vestiges, les documents et les textes pour costumer les acteurs de mélodrames, travestir les figurants des cortèges historiques ou donner aux Jeanne d'Arc et aux Godefroid de Bouillon des places publiques un air de vraisemblance, on arriva à se faire une idée plus juste du passé de l'armement.
Les érudits enfin, qui entreprirent de se pencher sur l'étude de ce qui était devenu un fatras de bizarreries, cherchaient à meubler l'imagination errante des contemporains de Walter Scott, de Dumas, de Wagner ou de Gustave Doré en leur présentant des images patiemment reconstituées des guerriers d'un autre âge et des pères de la nation armée. A force de solliciter les vestiges, les documents et les textes pour costumer les acteurs de mélodrames, travestir les figurants des cortèges historiques ou donner aux Jeanne d'Arc et aux Godefroid de Bouillon des places publiques un air de vraisemblance, on arriva à se faire une idée plus juste du passé de l'armement.
L'intérêt pour les armes anciennes naquit du sentiment plus que de la raison. Les princes qui, les premiers, les collectionnèrent, le firent par gloriole et pour s'entourer des souvenirs de leur lignée. Le public, qui eut accès aux galeries d'armures dès le XVIIIe siècle, obéissait à l'attrait romantique pour le pittoresque et le suranné alors même que les progrès techniques commençaient à balayer, en matière militaire comme dans d'autres, un passé encore proche.
Les érudits enfin, qui entreprirent de se pencher sur l'étude de ce qui était devenu un fatras de bizarreries, cherchaient à meubler l'imagination errante des contemporains de Walter Scott, de Dumas, de Wagner ou de Gustave Doré en leur présentant des images patiemment reconstituées des guerriers d'un autre âge et des pères de la nation armée. A force de solliciter les vestiges, les documents et les textes pour costumer les acteurs de mélodrames, travestir les figurants des cortèges historiques ou donner aux Jeanne d'Arc et aux Godefroid de Bouillon des places publiques un air de vraisemblance, on arriva à se faire une idée plus juste du passé de l'armement.
Les érudits enfin, qui entreprirent de se pencher sur l'étude de ce qui était devenu un fatras de bizarreries, cherchaient à meubler l'imagination errante des contemporains de Walter Scott, de Dumas, de Wagner ou de Gustave Doré en leur présentant des images patiemment reconstituées des guerriers d'un autre âge et des pères de la nation armée. A force de solliciter les vestiges, les documents et les textes pour costumer les acteurs de mélodrames, travestir les figurants des cortèges historiques ou donner aux Jeanne d'Arc et aux Godefroid de Bouillon des places publiques un air de vraisemblance, on arriva à se faire une idée plus juste du passé de l'armement.