L'imbroglio agricole du Marché commun
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- Nombre de pages344
- FormatPDF
- ISBN2-7062-3451-2
- EAN9782706234514
- Date de parution01/01/1970
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille74 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurCalmann-Lévy (réédition numériqu...
Résumé
Chacun le sait, les six pays du Marché commun sont condamnés à résoudre, ensemble, la crise économique, sociale et morale de leur agriculture.
Mais, à Bruxelles, les règles du jeu politique ne sont pas les mêmes qu'au niveau national. Les excédents agricoles entraînent les Six à brader et à dénaturer ensemble blé, beurre, sucre et poudre de lait et, le cas échéant, à nuire aux intérêts légitimes du Tiers Monde.
L'imbroglio agricole du Marché commun dénonce les groupes de pression, les trusts, le nationalisme économique, la domination des États-Unis.
Il révèle l'inorganisation et la sous-industrialisation de l'Europe « périphérique », ses structures désuètes. À travers six expériences nationales, l'inadaptation des politiques de modernisation agricole apparaît avec éclat. Et le plan Mansholt, désormais à l'ordre du jour du Marché commun, mérite d'être présenté sous son véritable visage, avec ses qualités et ses insuffisances, mais sans certains mythes. Enfin, l'adhésion anglaise au Marché commun réserve, à une opinion sous-informée - peut-être sciemment - une surprise de taille. L'auteur (ingénieur agricole et licencié en sciences économiques) et son collaborateur (journaliste) participent tous les deux aux travaux du groupe d'études politiques Agénor (Bruxelles), dont la revue mensuelle rend compte des problèmes de notre société dans leur contexte européen.
Cette étude, s'appuyant sur une analyse rigoureuse et une documentation sérieuse, démontre - comme l'écrit Edgard Pisani dans sa préface - « que le travail des techniciens n'a de valeur que par la décision, la sagesse, la vision des politiques », et que le processus d'unification européenne ne permet plus d'esquiver en agriculture, comme dans d'autres domaines, les véritables choix.
Il révèle l'inorganisation et la sous-industrialisation de l'Europe « périphérique », ses structures désuètes. À travers six expériences nationales, l'inadaptation des politiques de modernisation agricole apparaît avec éclat. Et le plan Mansholt, désormais à l'ordre du jour du Marché commun, mérite d'être présenté sous son véritable visage, avec ses qualités et ses insuffisances, mais sans certains mythes. Enfin, l'adhésion anglaise au Marché commun réserve, à une opinion sous-informée - peut-être sciemment - une surprise de taille. L'auteur (ingénieur agricole et licencié en sciences économiques) et son collaborateur (journaliste) participent tous les deux aux travaux du groupe d'études politiques Agénor (Bruxelles), dont la revue mensuelle rend compte des problèmes de notre société dans leur contexte européen.
Cette étude, s'appuyant sur une analyse rigoureuse et une documentation sérieuse, démontre - comme l'écrit Edgard Pisani dans sa préface - « que le travail des techniciens n'a de valeur que par la décision, la sagesse, la vision des politiques », et que le processus d'unification européenne ne permet plus d'esquiver en agriculture, comme dans d'autres domaines, les véritables choix.
Chacun le sait, les six pays du Marché commun sont condamnés à résoudre, ensemble, la crise économique, sociale et morale de leur agriculture.
Mais, à Bruxelles, les règles du jeu politique ne sont pas les mêmes qu'au niveau national. Les excédents agricoles entraînent les Six à brader et à dénaturer ensemble blé, beurre, sucre et poudre de lait et, le cas échéant, à nuire aux intérêts légitimes du Tiers Monde.
L'imbroglio agricole du Marché commun dénonce les groupes de pression, les trusts, le nationalisme économique, la domination des États-Unis.
Il révèle l'inorganisation et la sous-industrialisation de l'Europe « périphérique », ses structures désuètes. À travers six expériences nationales, l'inadaptation des politiques de modernisation agricole apparaît avec éclat. Et le plan Mansholt, désormais à l'ordre du jour du Marché commun, mérite d'être présenté sous son véritable visage, avec ses qualités et ses insuffisances, mais sans certains mythes. Enfin, l'adhésion anglaise au Marché commun réserve, à une opinion sous-informée - peut-être sciemment - une surprise de taille. L'auteur (ingénieur agricole et licencié en sciences économiques) et son collaborateur (journaliste) participent tous les deux aux travaux du groupe d'études politiques Agénor (Bruxelles), dont la revue mensuelle rend compte des problèmes de notre société dans leur contexte européen.
Cette étude, s'appuyant sur une analyse rigoureuse et une documentation sérieuse, démontre - comme l'écrit Edgard Pisani dans sa préface - « que le travail des techniciens n'a de valeur que par la décision, la sagesse, la vision des politiques », et que le processus d'unification européenne ne permet plus d'esquiver en agriculture, comme dans d'autres domaines, les véritables choix.
Il révèle l'inorganisation et la sous-industrialisation de l'Europe « périphérique », ses structures désuètes. À travers six expériences nationales, l'inadaptation des politiques de modernisation agricole apparaît avec éclat. Et le plan Mansholt, désormais à l'ordre du jour du Marché commun, mérite d'être présenté sous son véritable visage, avec ses qualités et ses insuffisances, mais sans certains mythes. Enfin, l'adhésion anglaise au Marché commun réserve, à une opinion sous-informée - peut-être sciemment - une surprise de taille. L'auteur (ingénieur agricole et licencié en sciences économiques) et son collaborateur (journaliste) participent tous les deux aux travaux du groupe d'études politiques Agénor (Bruxelles), dont la revue mensuelle rend compte des problèmes de notre société dans leur contexte européen.
Cette étude, s'appuyant sur une analyse rigoureuse et une documentation sérieuse, démontre - comme l'écrit Edgard Pisani dans sa préface - « que le travail des techniciens n'a de valeur que par la décision, la sagesse, la vision des politiques », et que le processus d'unification européenne ne permet plus d'esquiver en agriculture, comme dans d'autres domaines, les véritables choix.