L'ile perrot, 1765-1860 : la fin de la seigneurie
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- Nombre de pages324
- FormatPDF
- ISBN978-2-89664-839-9
- EAN9782896648399
- Date de parution17/06/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille28 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurÉditions du Septentrion
Résumé
Première seigneurie concédée à l'ouest de l'île de Montréal, l'île Perrot n'a que 30 ans de moins que Ville-Marie. Au confluent des grandes routes qu'empruntent les explorateurs, les militaires et les populations amérindiennes, l'île joue le rôle de point de ralliement pour ceux qui se dirigent vers les forts et les établissements français à l'intérieur du continent.
La guerre de Sept Ans vient freiner le développement de l'île.
La seigneurie change de mains à plusieurs reprises, avec des revers et des réussites, jusqu'à une longue et pénible succession qui la divise en 1817. L'Acte constitutionnel de 1791 fait tranquillement disparaître le régime seigneurial et les premiers règlements municipaux de la Corporation de la paroisse Sainte-Jeanne de l'Île Perrot sont votés en 1855. Entretemps, plus de mille familles auront vécu ou possédé des terres dans l'île.
Lise Chartier part à la rencontre de ces habitants qui ont défriché, vendu, échangé, légué ou délaissé un bout de ce territoire. Engagée depuis une dizaine d'années dans la promotion du patrimoine de l'île Perrot, Lise Chartier a fondé la Société d'histoire et de généalogie de l'île Perrot. Ses contributions au sein de plusieurs organismes patrimoniaux, dont la Fondation du patrimoine Sainte-Jeanne-de-Chantal et la Société de développement du parc historique de la Pointe-du-Moulin, lui ont mérité plusieurs prix de bénévolat.
Spécialiste des communications, elle est chercheuse associée au Laboratoire d'analyse de presse Caisse Chartier de l'Université du Québec à Montréal.
La seigneurie change de mains à plusieurs reprises, avec des revers et des réussites, jusqu'à une longue et pénible succession qui la divise en 1817. L'Acte constitutionnel de 1791 fait tranquillement disparaître le régime seigneurial et les premiers règlements municipaux de la Corporation de la paroisse Sainte-Jeanne de l'Île Perrot sont votés en 1855. Entretemps, plus de mille familles auront vécu ou possédé des terres dans l'île.
Lise Chartier part à la rencontre de ces habitants qui ont défriché, vendu, échangé, légué ou délaissé un bout de ce territoire. Engagée depuis une dizaine d'années dans la promotion du patrimoine de l'île Perrot, Lise Chartier a fondé la Société d'histoire et de généalogie de l'île Perrot. Ses contributions au sein de plusieurs organismes patrimoniaux, dont la Fondation du patrimoine Sainte-Jeanne-de-Chantal et la Société de développement du parc historique de la Pointe-du-Moulin, lui ont mérité plusieurs prix de bénévolat.
Spécialiste des communications, elle est chercheuse associée au Laboratoire d'analyse de presse Caisse Chartier de l'Université du Québec à Montréal.
Première seigneurie concédée à l'ouest de l'île de Montréal, l'île Perrot n'a que 30 ans de moins que Ville-Marie. Au confluent des grandes routes qu'empruntent les explorateurs, les militaires et les populations amérindiennes, l'île joue le rôle de point de ralliement pour ceux qui se dirigent vers les forts et les établissements français à l'intérieur du continent.
La guerre de Sept Ans vient freiner le développement de l'île.
La seigneurie change de mains à plusieurs reprises, avec des revers et des réussites, jusqu'à une longue et pénible succession qui la divise en 1817. L'Acte constitutionnel de 1791 fait tranquillement disparaître le régime seigneurial et les premiers règlements municipaux de la Corporation de la paroisse Sainte-Jeanne de l'Île Perrot sont votés en 1855. Entretemps, plus de mille familles auront vécu ou possédé des terres dans l'île.
Lise Chartier part à la rencontre de ces habitants qui ont défriché, vendu, échangé, légué ou délaissé un bout de ce territoire. Engagée depuis une dizaine d'années dans la promotion du patrimoine de l'île Perrot, Lise Chartier a fondé la Société d'histoire et de généalogie de l'île Perrot. Ses contributions au sein de plusieurs organismes patrimoniaux, dont la Fondation du patrimoine Sainte-Jeanne-de-Chantal et la Société de développement du parc historique de la Pointe-du-Moulin, lui ont mérité plusieurs prix de bénévolat.
Spécialiste des communications, elle est chercheuse associée au Laboratoire d'analyse de presse Caisse Chartier de l'Université du Québec à Montréal.
La seigneurie change de mains à plusieurs reprises, avec des revers et des réussites, jusqu'à une longue et pénible succession qui la divise en 1817. L'Acte constitutionnel de 1791 fait tranquillement disparaître le régime seigneurial et les premiers règlements municipaux de la Corporation de la paroisse Sainte-Jeanne de l'Île Perrot sont votés en 1855. Entretemps, plus de mille familles auront vécu ou possédé des terres dans l'île.
Lise Chartier part à la rencontre de ces habitants qui ont défriché, vendu, échangé, légué ou délaissé un bout de ce territoire. Engagée depuis une dizaine d'années dans la promotion du patrimoine de l'île Perrot, Lise Chartier a fondé la Société d'histoire et de généalogie de l'île Perrot. Ses contributions au sein de plusieurs organismes patrimoniaux, dont la Fondation du patrimoine Sainte-Jeanne-de-Chantal et la Société de développement du parc historique de la Pointe-du-Moulin, lui ont mérité plusieurs prix de bénévolat.
Spécialiste des communications, elle est chercheuse associée au Laboratoire d'analyse de presse Caisse Chartier de l'Université du Québec à Montréal.