L'idée de guerre chez Rousseau. Tome 1, La guerre dans l'histoire
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- Nombre de pages220
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25506-7
- EAN9782296255067
- Date de parution01/06/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille50 Ko
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAngèle Kremer-Marietti
Résumé
La guerre aussi bien que les questions qu'elle soulève sont présentes dans les écrits les plus connus de Rousseau. L'intérêt qu'on porte à cette problématique ne se justifie pas seulement par les développements implicites ou explicites de Rousseau touchant à ce thème, mais aussi par l'interaction de ce sujet avec d'autres sujets fondamentaux de la philosophie rousseauiste. Parler de la guerre, c'est aussi évoquer l'anthropologie, l'histoire, la politique, la morale et la religion.
L'idée de guerre fixe notre attention sur les antinomies qui servent de point de départ à la réflexion rousseauiste : bonté et méchanceté, nature et société, liberté et esclavage, vertus et vices. Les notions de " nature " et de " dénaturation " qui orientent la réflexion de Rousseau prennent pleinement sens en envisageant la guerre comme l'effet du processus de dénaturation et de l'éloignement de l'origine.
Centralement située dans la pensée de Rousseau et marginalement traitée par les critiques, la guerre constitue la charnière qui lie la partie critique à la partie positive dans son oeuvre. Elle sous-tend l'élaboration de sa conception du droit naturel raisonné et fait l'objet de l'une des matières principales du droit des gens. Rousseau aborde l'idée de guerre selon trois repères : événementiel, hypothétique et juridique.
Notre premier volume n'épargne aucun d'entre eux. Mais c'est la combinaison des deux premiers qui nous offre une typologie de l'histoire autour de laquelle nous essayerons de comprendre le phénomène de belligérance comme le pense Rousseau.
L'idée de guerre fixe notre attention sur les antinomies qui servent de point de départ à la réflexion rousseauiste : bonté et méchanceté, nature et société, liberté et esclavage, vertus et vices. Les notions de " nature " et de " dénaturation " qui orientent la réflexion de Rousseau prennent pleinement sens en envisageant la guerre comme l'effet du processus de dénaturation et de l'éloignement de l'origine.
Centralement située dans la pensée de Rousseau et marginalement traitée par les critiques, la guerre constitue la charnière qui lie la partie critique à la partie positive dans son oeuvre. Elle sous-tend l'élaboration de sa conception du droit naturel raisonné et fait l'objet de l'une des matières principales du droit des gens. Rousseau aborde l'idée de guerre selon trois repères : événementiel, hypothétique et juridique.
Notre premier volume n'épargne aucun d'entre eux. Mais c'est la combinaison des deux premiers qui nous offre une typologie de l'histoire autour de laquelle nous essayerons de comprendre le phénomène de belligérance comme le pense Rousseau.
La guerre aussi bien que les questions qu'elle soulève sont présentes dans les écrits les plus connus de Rousseau. L'intérêt qu'on porte à cette problématique ne se justifie pas seulement par les développements implicites ou explicites de Rousseau touchant à ce thème, mais aussi par l'interaction de ce sujet avec d'autres sujets fondamentaux de la philosophie rousseauiste. Parler de la guerre, c'est aussi évoquer l'anthropologie, l'histoire, la politique, la morale et la religion.
L'idée de guerre fixe notre attention sur les antinomies qui servent de point de départ à la réflexion rousseauiste : bonté et méchanceté, nature et société, liberté et esclavage, vertus et vices. Les notions de " nature " et de " dénaturation " qui orientent la réflexion de Rousseau prennent pleinement sens en envisageant la guerre comme l'effet du processus de dénaturation et de l'éloignement de l'origine.
Centralement située dans la pensée de Rousseau et marginalement traitée par les critiques, la guerre constitue la charnière qui lie la partie critique à la partie positive dans son oeuvre. Elle sous-tend l'élaboration de sa conception du droit naturel raisonné et fait l'objet de l'une des matières principales du droit des gens. Rousseau aborde l'idée de guerre selon trois repères : événementiel, hypothétique et juridique.
Notre premier volume n'épargne aucun d'entre eux. Mais c'est la combinaison des deux premiers qui nous offre une typologie de l'histoire autour de laquelle nous essayerons de comprendre le phénomène de belligérance comme le pense Rousseau.
L'idée de guerre fixe notre attention sur les antinomies qui servent de point de départ à la réflexion rousseauiste : bonté et méchanceté, nature et société, liberté et esclavage, vertus et vices. Les notions de " nature " et de " dénaturation " qui orientent la réflexion de Rousseau prennent pleinement sens en envisageant la guerre comme l'effet du processus de dénaturation et de l'éloignement de l'origine.
Centralement située dans la pensée de Rousseau et marginalement traitée par les critiques, la guerre constitue la charnière qui lie la partie critique à la partie positive dans son oeuvre. Elle sous-tend l'élaboration de sa conception du droit naturel raisonné et fait l'objet de l'une des matières principales du droit des gens. Rousseau aborde l'idée de guerre selon trois repères : événementiel, hypothétique et juridique.
Notre premier volume n'épargne aucun d'entre eux. Mais c'est la combinaison des deux premiers qui nous offre une typologie de l'histoire autour de laquelle nous essayerons de comprendre le phénomène de belligérance comme le pense Rousseau.