L'hospitalité, figure sociale de la charité. Deux fondations hospitalières à Québec
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- Nombre de pages464
- FormatePub
- ISBN978-2-220-08735-1
- EAN9782220087351
- Date de parution12/05/2017
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurDesclée De Brouwer
Résumé
À l'heure de la crise du système hospitalier, il est urgent de revenir sur la vocation propre à l'hôpital. Si l'historiographie héritée de Michel Foucault fait de l'hôpital un lieu d'orthopédie sociale, dont l'efficacité se paie par la perte du lien entre soignés et soignants, Catherine Fino propose une autre piste, dans laquelle les dimensions de solidarité, de compassion n'ont pas disparu. Elle étudie, du XVIIe siècle à nos jours, deux institutions fondées avec succès par les religieuses québécoises en des temps de précarité sociale et financière.
La charité, axe central de la vie chrétienne, se déploie ici dans l'espace public, comme une vertu sociale. La formation des hospitalières les rend capables de créativité sociale, normative, politique, au profit de l'humanisation des soins. Il est alors possible d'envisager une nouvelle figure sociale de l'hospitalité, et la responsabilité des chrétiens en ce domaine : proposer des espaces de soin innovants, une formation pratique, et une spiritualité capable de soutenir la responsabilité professionnelle et politique en faveur des plus vulnérables.
La charité, axe central de la vie chrétienne, se déploie ici dans l'espace public, comme une vertu sociale. La formation des hospitalières les rend capables de créativité sociale, normative, politique, au profit de l'humanisation des soins. Il est alors possible d'envisager une nouvelle figure sociale de l'hospitalité, et la responsabilité des chrétiens en ce domaine : proposer des espaces de soin innovants, une formation pratique, et une spiritualité capable de soutenir la responsabilité professionnelle et politique en faveur des plus vulnérables.
À l'heure de la crise du système hospitalier, il est urgent de revenir sur la vocation propre à l'hôpital. Si l'historiographie héritée de Michel Foucault fait de l'hôpital un lieu d'orthopédie sociale, dont l'efficacité se paie par la perte du lien entre soignés et soignants, Catherine Fino propose une autre piste, dans laquelle les dimensions de solidarité, de compassion n'ont pas disparu. Elle étudie, du XVIIe siècle à nos jours, deux institutions fondées avec succès par les religieuses québécoises en des temps de précarité sociale et financière.
La charité, axe central de la vie chrétienne, se déploie ici dans l'espace public, comme une vertu sociale. La formation des hospitalières les rend capables de créativité sociale, normative, politique, au profit de l'humanisation des soins. Il est alors possible d'envisager une nouvelle figure sociale de l'hospitalité, et la responsabilité des chrétiens en ce domaine : proposer des espaces de soin innovants, une formation pratique, et une spiritualité capable de soutenir la responsabilité professionnelle et politique en faveur des plus vulnérables.
La charité, axe central de la vie chrétienne, se déploie ici dans l'espace public, comme une vertu sociale. La formation des hospitalières les rend capables de créativité sociale, normative, politique, au profit de l'humanisation des soins. Il est alors possible d'envisager une nouvelle figure sociale de l'hospitalité, et la responsabilité des chrétiens en ce domaine : proposer des espaces de soin innovants, une formation pratique, et une spiritualité capable de soutenir la responsabilité professionnelle et politique en faveur des plus vulnérables.