L'horizon poétique de la connaissance
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- Nombre de pages260
- FormatPDF
- ISBN2-296-33104-1
- EAN9782296331044
- Date de parution01/10/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
En vue de mettre en évidence les bouleversements intellectuels provoqués par les nouvelles données de la recherche scientifique, dans une première partie intitulée Une autre approche de la connaissance, Maurice Couquiaud s'entretient, selon une démarche transdisciplinaire, avec diverses personnalités renommées dans leurs domaines respectifs : Basarab Nicolescu (physicien des particules), Werner Lambersy (poète), Michel Cazenave (philosophe), Claude Vigée (poète), Bernard d'Espagnat (physicien des particules), Michel Camus (poète), Michel Cassé (astrophysicien) et Marianne Auricoste (comédienne, poète).
Bien des scientifiques demeurent aujourd'hui imprégnés par la froide conception d'un scientisme hérité du 19e siècle. Il suffit, selon eux, de découper le réel pour l'étudier, le connaître et le comprendre. Heureusement, des chercheurs, dont certains lauréats du prix Nobel, n'ont pas hésité à dire que les plus récentes avancées permettaient, en quelque sorte, de ré-enchanter le monde. Dans une seconde partie, Les confins poétiques de l'univers, l'auteur propose une démarche adaptée à ce nouveau regard.
Les origines, la matière, l'énergie, l'espace-temps, la gravitation, les formes de l'infini multiplient les paradoxes et les théories provisoires. En face de l'évolution, l'homme retrouve une position l'incitant à réévaluer sa place dans la nature et les nécessités de son comportement. La conscience de l'individu doit rebondir non seulement sur ses propres incertitudes, mais sur celles de la complexité universelle.
Bien des scientifiques demeurent aujourd'hui imprégnés par la froide conception d'un scientisme hérité du 19e siècle. Il suffit, selon eux, de découper le réel pour l'étudier, le connaître et le comprendre. Heureusement, des chercheurs, dont certains lauréats du prix Nobel, n'ont pas hésité à dire que les plus récentes avancées permettaient, en quelque sorte, de ré-enchanter le monde. Dans une seconde partie, Les confins poétiques de l'univers, l'auteur propose une démarche adaptée à ce nouveau regard.
Les origines, la matière, l'énergie, l'espace-temps, la gravitation, les formes de l'infini multiplient les paradoxes et les théories provisoires. En face de l'évolution, l'homme retrouve une position l'incitant à réévaluer sa place dans la nature et les nécessités de son comportement. La conscience de l'individu doit rebondir non seulement sur ses propres incertitudes, mais sur celles de la complexité universelle.
En vue de mettre en évidence les bouleversements intellectuels provoqués par les nouvelles données de la recherche scientifique, dans une première partie intitulée Une autre approche de la connaissance, Maurice Couquiaud s'entretient, selon une démarche transdisciplinaire, avec diverses personnalités renommées dans leurs domaines respectifs : Basarab Nicolescu (physicien des particules), Werner Lambersy (poète), Michel Cazenave (philosophe), Claude Vigée (poète), Bernard d'Espagnat (physicien des particules), Michel Camus (poète), Michel Cassé (astrophysicien) et Marianne Auricoste (comédienne, poète).
Bien des scientifiques demeurent aujourd'hui imprégnés par la froide conception d'un scientisme hérité du 19e siècle. Il suffit, selon eux, de découper le réel pour l'étudier, le connaître et le comprendre. Heureusement, des chercheurs, dont certains lauréats du prix Nobel, n'ont pas hésité à dire que les plus récentes avancées permettaient, en quelque sorte, de ré-enchanter le monde. Dans une seconde partie, Les confins poétiques de l'univers, l'auteur propose une démarche adaptée à ce nouveau regard.
Les origines, la matière, l'énergie, l'espace-temps, la gravitation, les formes de l'infini multiplient les paradoxes et les théories provisoires. En face de l'évolution, l'homme retrouve une position l'incitant à réévaluer sa place dans la nature et les nécessités de son comportement. La conscience de l'individu doit rebondir non seulement sur ses propres incertitudes, mais sur celles de la complexité universelle.
Bien des scientifiques demeurent aujourd'hui imprégnés par la froide conception d'un scientisme hérité du 19e siècle. Il suffit, selon eux, de découper le réel pour l'étudier, le connaître et le comprendre. Heureusement, des chercheurs, dont certains lauréats du prix Nobel, n'ont pas hésité à dire que les plus récentes avancées permettaient, en quelque sorte, de ré-enchanter le monde. Dans une seconde partie, Les confins poétiques de l'univers, l'auteur propose une démarche adaptée à ce nouveau regard.
Les origines, la matière, l'énergie, l'espace-temps, la gravitation, les formes de l'infini multiplient les paradoxes et les théories provisoires. En face de l'évolution, l'homme retrouve une position l'incitant à réévaluer sa place dans la nature et les nécessités de son comportement. La conscience de l'individu doit rebondir non seulement sur ses propres incertitudes, mais sur celles de la complexité universelle.