Grand prix de l'imaginaire - Roman étranger
Coup de coeur

L'homme qui savait la langue des serpents

Par : Andrus Kivirähk
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  • FormatMP3
  • ISBN978-2-36762-973-5
  • EAN9782367629735
  • Date de parution03/07/2019
  • Protection num.pas de protection
  • Infos supplémentairesaudio
  • ÉditeurAudiolib
  • TraducteurJean-Pierre Minaudier
  • NarrateurEmmanuel Dekoninck

Résumé

Voici l'histoire du dernier des hommes qui parlait la langue des serpents, de sa sour qui tomba amoureuse d'un ours, de sa mère qui rôtissait compulsivement des élans, de son grand-père qui guerroyait sans jambes, de son oncle qu'il aimait tant, d'une jeune fille qui croyait en l'amour, d'un sage qui ne l'était pas tant que ça, d'une paysanne qui rêvait d'un loup-garou, d'un vieil homme qui chassait les vents, d'une salamandre qui volait dans les airs, d'australopithèques qui élevaient des poux géants, d'un poisson titanesque las de ce monde et de chevaliers teutons un peu épouvantés par tout ce qui précède.
Peuplé de personnages étonnants, empreint de réalisme magique et d'un souffle inspiré des sagas scandinaves, L'Homme qui savait la langue des serpents révèle l'humour et l'imagination franchement délirante d'Andrus Kivirähk. Le roman retrace dans une époque médiévale réinventée la vie peu banale d'un jeune homme qui, vivant dans la forêt, voit le monde de ses ancêtres disparaître et la modernité l'emporter.
Voici l'histoire du dernier des hommes qui parlait la langue des serpents, de sa sour qui tomba amoureuse d'un ours, de sa mère qui rôtissait compulsivement des élans, de son grand-père qui guerroyait sans jambes, de son oncle qu'il aimait tant, d'une jeune fille qui croyait en l'amour, d'un sage qui ne l'était pas tant que ça, d'une paysanne qui rêvait d'un loup-garou, d'un vieil homme qui chassait les vents, d'une salamandre qui volait dans les airs, d'australopithèques qui élevaient des poux géants, d'un poisson titanesque las de ce monde et de chevaliers teutons un peu épouvantés par tout ce qui précède.
Peuplé de personnages étonnants, empreint de réalisme magique et d'un souffle inspiré des sagas scandinaves, L'Homme qui savait la langue des serpents révèle l'humour et l'imagination franchement délirante d'Andrus Kivirähk. Le roman retrace dans une époque médiévale réinventée la vie peu banale d'un jeune homme qui, vivant dans la forêt, voit le monde de ses ancêtres disparaître et la modernité l'emporter.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Yann GDecitre Ecully
5/5
Andrus Kivirähk
A la fois saga nordique, conte fantastique, fresque médiévale, mélangeant l'épique et l'humour, le politique et le merveilleux, le chef d’œuvre de Kivirähk ne ressemble sans doute à rien de ce que vous avez lu auparavant. Dans une Estonie médiévale peu à peu envahie par un mode de vie Européen (maisons de pierre, armures de fer), le jeune Leemet sert de témoin - et résiste - à ce monde qui change, aux traditions qui se perdent, à la langue des serpents qui tombe dans l'oubli. Une écriture riche, des personnages attachants, un brin de malice. A lire, relire, faire lire.
A la fois saga nordique, conte fantastique, fresque médiévale, mélangeant l'épique et l'humour, le politique et le merveilleux, le chef d’œuvre de Kivirähk ne ressemble sans doute à rien de ce que vous avez lu auparavant. Dans une Estonie médiévale peu à peu envahie par un mode de vie Européen (maisons de pierre, armures de fer), le jeune Leemet sert de témoin - et résiste - à ce monde qui change, aux traditions qui se perdent, à la langue des serpents qui tombe dans l'oubli. Une écriture riche, des personnages attachants, un brin de malice. A lire, relire, faire lire.
- Anaïs -Decitre Levallois-Perret
5/5
LE Chef d'oeuvre Estonien entre folklore fantastique et saga nordique
Adeptes des contes fantastiques, laissez-vous embarquer dans un voyage folklorique au cœur des forêts estoniennes ! Écrit comme une saga nordique, ce conte plein de tendresse et d'humour nous emmène au côté du jeune Leemet, l'un des derniers hommes à connaître la langue des serpents, une langue qui a le mérite de pouvoir agir sur les animaux et même de réveiller la grande salamandre, mais que la plupart des hommes, devenus villageois, ont oublié. Porteur d'un monde en déclin, Leemet tente de sauver cette langue. À la fois profond et drôle, on croise dans cette fresque médiévale chevaliers, poux géants et autres créatures truculentes ! Ce récit n'est pas pour autant dénoué de réflexions philosophiques sur la décadence d'un monde et de critiques de la société estonienne. Un vrai régal de lecture !
Adeptes des contes fantastiques, laissez-vous embarquer dans un voyage folklorique au cœur des forêts estoniennes ! Écrit comme une saga nordique, ce conte plein de tendresse et d'humour nous emmène au côté du jeune Leemet, l'un des derniers hommes à connaître la langue des serpents, une langue qui a le mérite de pouvoir agir sur les animaux et même de réveiller la grande salamandre, mais que la plupart des hommes, devenus villageois, ont oublié. Porteur d'un monde en déclin, Leemet tente de sauver cette langue. À la fois profond et drôle, on croise dans cette fresque médiévale chevaliers, poux géants et autres créatures truculentes ! Ce récit n'est pas pour autant dénoué de réflexions philosophiques sur la décadence d'un monde et de critiques de la société estonienne. Un vrai régal de lecture !
  • Estonie
  • langue
  • décadence
  • folklore
  • réalisme magique
FabienDecitre Part-Dieu
5/5
Un mélange savoureux
Ce roman est complètement atypique, de la même étrangeté que La folie de Dieu de Juan Miguel Aguilera ou de La peau froide de Albert Sanchez Piñol. L'auteur y parle de son pays, l'Estonie au XIIIe siècle, une croisade d'« hommes de fer » envahit le pays. Il virevolte entre la fable philosophique, le pamphlet politique, la saga nordique et ses déchaînements de violence épique, un soupçon de fantasy qui réactive des créatures typiques de son pays et le roman initiatique. Mais il y a surtout Leemet, qui est le narrateur principal, et son regard incisif sur tout ce qui l'entoure, il nous raconte sa vie : Il nous parle de cette montée de la modernité qui métamorphose son pays et ses habitants, un peuple des forêts luttant pour ne pas disparaître face à la croissance des peuples d'agriculteurs qui composent les villages. Il décrit en y mettant beaucoup de rage et de vitriol, l'opposition entre religion chrétienne et religion païenne, l'auteur prend un malin plaisir à les renvoyer dos à dos, soulignant avec malice et une ironie explosive la vacuité et l'ignorance qui les président, présentant la première comme une nouvelle « mode » ayant ses groupies qui sont autant de moutons stupides, un opium qui rabaisse dans la fange l'esprit humain. Et la seconde comme une cohorte de traditions ineptes et dépassées. Leemet met aussi en avant cette relation perdue entre l'humain et la nature, il est le dernier homme à apprendre les mots des serpents, et ses connaissances menacent de sombrer dans l'oubli. Dans les forêts les reptiles sont ses seules compagnons, les ours y sont des dragueurs impénitents, des anthropopithèques y élèvent des poux géants, on y trébuche sur Meeme, ce « tas de feuilles pourries » toujours en position végétative allongée. Et la Salamandre est là quelque part, endormie.
Ce roman est complètement atypique, de la même étrangeté que La folie de Dieu de Juan Miguel Aguilera ou de La peau froide de Albert Sanchez Piñol. L'auteur y parle de son pays, l'Estonie au XIIIe siècle, une croisade d'« hommes de fer » envahit le pays. Il virevolte entre la fable philosophique, le pamphlet politique, la saga nordique et ses déchaînements de violence épique, un soupçon de fantasy qui réactive des créatures typiques de son pays et le roman initiatique. Mais il y a surtout Leemet, qui est le narrateur principal, et son regard incisif sur tout ce qui l'entoure, il nous raconte sa vie : Il nous parle de cette montée de la modernité qui métamorphose son pays et ses habitants, un peuple des forêts luttant pour ne pas disparaître face à la croissance des peuples d'agriculteurs qui composent les villages. Il décrit en y mettant beaucoup de rage et de vitriol, l'opposition entre religion chrétienne et religion païenne, l'auteur prend un malin plaisir à les renvoyer dos à dos, soulignant avec malice et une ironie explosive la vacuité et l'ignorance qui les président, présentant la première comme une nouvelle « mode » ayant ses groupies qui sont autant de moutons stupides, un opium qui rabaisse dans la fange l'esprit humain. Et la seconde comme une cohorte de traditions ineptes et dépassées. Leemet met aussi en avant cette relation perdue entre l'humain et la nature, il est le dernier homme à apprendre les mots des serpents, et ses connaissances menacent de sombrer dans l'oubli. Dans les forêts les reptiles sont ses seules compagnons, les ours y sont des dragueurs impénitents, des anthropopithèques y élèvent des poux géants, on y trébuche sur Meeme, ce « tas de feuilles pourries » toujours en position végétative allongée. Et la Salamandre est là quelque part, endormie.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.6/5
sur 7 notes dont 6 avis lecteurs
Étrange, mais bien lu
#Chronique : L'homme qui savait la langue des serpents de Andrus Kivirähk Lu dans le cadre du Prix Audiolib​ 2020, ce roman m'a sortie de ma zone de confort. L'avez-vous lu ? Vous donne-t-il envie ? Mon avis est à votre disposition sur le blog : http://www.leslecturesdelily.com/2020/05/lhomme-qui-savait-la-langue-des.html#more Bonne lecture !
#Chronique : L'homme qui savait la langue des serpents de Andrus Kivirähk Lu dans le cadre du Prix Audiolib​ 2020, ce roman m'a sortie de ma zone de confort. L'avez-vous lu ? Vous donne-t-il envie ? Mon avis est à votre disposition sur le blog : http://www.leslecturesdelily.com/2020/05/lhomme-qui-savait-la-langue-des.html#more Bonne lecture !
A lire !
Il y a fort longtemps, les Estoniens vivaient en complète harmonie avec la Nature. Mais un jour, des chevaliers sont arrivés par la mer, et se sont installés, apportant avec eux la modernité et le christianisme. Beaucoup d'Estoniens, attirés par les moines et les chevaliers, se sont installés au village, pour cultiver la terre et adorer Jésus-Christ. Ainsi, Leemet et sa sœur sont nés au village, mais suite à une série d'événements, sa mère a décidé de repartir dans la forêt avec ses deux enfants. Leemet a grandi dans le respect des traditions ancestrales, et a surtout appris la langue des serpents ! Cette langue est extrêmement difficile à apprendre, il faut se muscler la langue, c'est douloureux... Mais au final, Leemet a maîtrisé complètement cette langue, permettant ainsi de parler aux serpents et de se faire obéir de tout les animaux. Leemet vit heureux dans sa forêt, avec ses amis, déambulant et vagabondant. Il rend visite au dernier couple d'anthropopithèques éleveurs de poux, se rend parfois à la frontière de la forêt pour observer le village, cherche également une légendaire salamandre... Mais au fil des saisons, la forêt se dépeuple inexorablement : même le meilleur ami de Leemet finit par aller s'installer au village. La sœur de Leemet, faute d'hommes à épouser dans la forêt, se met en ménage avec un ours. Un prétendu sage travaille la résistance des derniers habitants de la forêt, les poussant à choisir la « modernité » et à renier toutes les coutumes ancestrales. Leemet va se retrouver seul, rescapé de l'exode, et sera bientôt le dernier gardien des lieux, le seul à se souvenir des traditions et de la langue des serpents... L'homme qui savait la langue des serpents est un livre particulier, délicat, empreint de poésie... Une claque ! Andrus Kivirähk a écrit un livre déroutant, parfois drôle (surtout au début) et qui devient de plus en plus sombre au fur et à mesure que la forêt se vide de ses habitants. Il y a également plusieurs sujets et thèmes qui s'entremêlent, tels que la nature et l'écologie luttant contre l'apparition du « progrès » et de la technologie, il y a aussi beaucoup de batailles et de sang, l'apparition du fantastique avec cette magie qui se glisse de pages en pages... Vous y trouverez des femmes qui s'offrent aux ours séducteurs, des histoires d'amitiés brisés, la confrontation entre le Christianisme et les « païens », l'adaptation à un nouveau mode de vie, la tristesse de voir son monde disparaître... L'homme qui savait la langue des serpents est souvent mélancolique et tragique, parsemé malgré tout d'humour et de joie, et surtout ne tombe pas dans le larmoyant inutile. C'est une œuvre profondément mélancolique et touchante, mais malgré tout parsemé d'espoir. Un livre à lire absolument, je recommande ! Poétique et envoûtant, L'homme qui savait la langue des serpents est un livre particulier et touchant...
Il y a fort longtemps, les Estoniens vivaient en complète harmonie avec la Nature. Mais un jour, des chevaliers sont arrivés par la mer, et se sont installés, apportant avec eux la modernité et le christianisme. Beaucoup d'Estoniens, attirés par les moines et les chevaliers, se sont installés au village, pour cultiver la terre et adorer Jésus-Christ. Ainsi, Leemet et sa sœur sont nés au village, mais suite à une série d'événements, sa mère a décidé de repartir dans la forêt avec ses deux enfants. Leemet a grandi dans le respect des traditions ancestrales, et a surtout appris la langue des serpents ! Cette langue est extrêmement difficile à apprendre, il faut se muscler la langue, c'est douloureux... Mais au final, Leemet a maîtrisé complètement cette langue, permettant ainsi de parler aux serpents et de se faire obéir de tout les animaux. Leemet vit heureux dans sa forêt, avec ses amis, déambulant et vagabondant. Il rend visite au dernier couple d'anthropopithèques éleveurs de poux, se rend parfois à la frontière de la forêt pour observer le village, cherche également une légendaire salamandre... Mais au fil des saisons, la forêt se dépeuple inexorablement : même le meilleur ami de Leemet finit par aller s'installer au village. La sœur de Leemet, faute d'hommes à épouser dans la forêt, se met en ménage avec un ours. Un prétendu sage travaille la résistance des derniers habitants de la forêt, les poussant à choisir la « modernité » et à renier toutes les coutumes ancestrales. Leemet va se retrouver seul, rescapé de l'exode, et sera bientôt le dernier gardien des lieux, le seul à se souvenir des traditions et de la langue des serpents... L'homme qui savait la langue des serpents est un livre particulier, délicat, empreint de poésie... Une claque ! Andrus Kivirähk a écrit un livre déroutant, parfois drôle (surtout au début) et qui devient de plus en plus sombre au fur et à mesure que la forêt se vide de ses habitants. Il y a également plusieurs sujets et thèmes qui s'entremêlent, tels que la nature et l'écologie luttant contre l'apparition du « progrès » et de la technologie, il y a aussi beaucoup de batailles et de sang, l'apparition du fantastique avec cette magie qui se glisse de pages en pages... Vous y trouverez des femmes qui s'offrent aux ours séducteurs, des histoires d'amitiés brisés, la confrontation entre le Christianisme et les « païens », l'adaptation à un nouveau mode de vie, la tristesse de voir son monde disparaître... L'homme qui savait la langue des serpents est souvent mélancolique et tragique, parsemé malgré tout d'humour et de joie, et surtout ne tombe pas dans le larmoyant inutile. C'est une œuvre profondément mélancolique et touchante, mais malgré tout parsemé d'espoir. Un livre à lire absolument, je recommande ! Poétique et envoûtant, L'homme qui savait la langue des serpents est un livre particulier et touchant...
5/5
Leemet et ses amis
Bien sûr, tout comme moi, vous détestez les serpents ! Et pourtant ! En ouvrant ce livre, vous n’imaginez pas l’aventure que vous allez vivre en leur compagnie. Vous y rencontrerez Leemet, enfant au début du roman, héros profondément attachant et narrateur de ce qui s'avère être une véritable fable décalée dont chaque épisode fourmille d'inventions surprenantes. Vous y croiserez des ours libidineux qui se tressent des couronnes de pissenlits pour séduire les femmes, de sages serpents incompris qui méprisent les âneries fanatiques des humains, , un grand-père increvable à la fureur jubilatoire qui se fabrique des ailes avec des os humains, une salamandre géante depuis trop longtemps endormie… Sans compter Leemet, héros follement attachant et terriblement seul face à la bêtise humaine qui refuse toutes les différences. L'histoire parfaitement construite, parvient sans peine à jouer sur tous les registres, entre épique et burlesque, aussi bien capable d'émouvoir à l'extrême que d'arracher un sourire. Drôle, touchant, philosophique, magique, parfois mélancolique, parfois tragique ce roman est une pépite, un livre qui ne ressemble à aucun autre et qui ne s’oublie pas.
Bien sûr, tout comme moi, vous détestez les serpents ! Et pourtant ! En ouvrant ce livre, vous n’imaginez pas l’aventure que vous allez vivre en leur compagnie. Vous y rencontrerez Leemet, enfant au début du roman, héros profondément attachant et narrateur de ce qui s'avère être une véritable fable décalée dont chaque épisode fourmille d'inventions surprenantes. Vous y croiserez des ours libidineux qui se tressent des couronnes de pissenlits pour séduire les femmes, de sages serpents incompris qui méprisent les âneries fanatiques des humains, , un grand-père increvable à la fureur jubilatoire qui se fabrique des ailes avec des os humains, une salamandre géante depuis trop longtemps endormie… Sans compter Leemet, héros follement attachant et terriblement seul face à la bêtise humaine qui refuse toutes les différences. L'histoire parfaitement construite, parvient sans peine à jouer sur tous les registres, entre épique et burlesque, aussi bien capable d'émouvoir à l'extrême que d'arracher un sourire. Drôle, touchant, philosophique, magique, parfois mélancolique, parfois tragique ce roman est une pépite, un livre qui ne ressemble à aucun autre et qui ne s’oublie pas.
Le Papillon
4.5/5
Andrus Kivirähk
Poche
9,00 €
Les secrets
3/5
Andrus Kivirähk, Clara Audureau
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15,00 €
Le papillon
4.5/5
Andrus Kivirähk
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