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Les lettres au mystrieux Lucilius de Lutce qui ouvrent ce livre donnent le ton : intime, allgre et rudit. S'il voque toujours ce qui lui tient coeur, l'histoire et la philosophie chez les Grecs, les Romains et les Premiers chrtiens, ou les contre-vrits qui ont fait long feu, Lucien Jerphagnon nous parle aussi avec brio et profondeur de sujets plus personnels ses amis, ses affections, et ses conversations avec les dieux.
Le Matre nous rappelle alors, avec son accent inimitable, que le prsent doit se conjuguer avec la plus divine des obligations, dont les dieux d'Homre ont donn l'exemple : rire .
critique
C'était un homme agréable à vivre et joyeux, passionné par la lecture, expert de l'Antiquité.
Cet essai sur la philosophie chez les grecs lui permet de nous donner ses impressions sur la religion, Dieu, la vie, la mort, l'amitié, etc.
Et le tout avec un humour grinçant et un amour immense de la vie et des autres.
Une phrase peut-être pour illustrer cet essai à la portée de tous :
"Bienheureuse éternité dont j'espère tout depuis que je n'en sais plus rien"