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Ces images sont des théâtres minuscules, espèces d'espaces nocturnes et silencieux, pour spectateur solitaire.
Michel Herreria les nomme « projets d'installations ».
Chaque scène est un possible lieu d'expérience, où l'objet se ferait prothèse d'un manque à être.
Petites machineries burlesques et fatales, pour se défaire de l'illusion de la transparence sociale.
Retour à l'opacité et à l'épreuve du vide, pour tenter de se réconcilier avec le monde.