L'homme dévasté. Essai sur la déconstruction de la culture - préface de Raphaël Enthoven

Par : Jean-François Mattei
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages288
  • FormatePub
  • ISBN978-2-246-85267-4
  • EAN9782246852674
  • Date de parution18/02/2015
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurGrasset

Résumé

Jean-François Mattéï n'a cessé, depuis sa thèse sur "La fondation de l'ontologie platonicienne", de poursuivre ses recherches sur "le fondement prémétaphysique de la métaphysique". Dans ce voyage philosophique, il a toujours cheminé en compagnie de Platon, de Heidegger, d'Hannah Arendt, d'Albert Camus et de Jan Patocka - et, surtout, de leurs concepts ou sensibilités face au monde moderne. Ces recherches l'ont amené, de proche en proche, à se quereller avec les tenants de "l'anti-humanisme" contemporain qui, fidèles à la leçon de Michel Foucault, ont cru devoir diagnostiquer "la mort de l'homme". Pour Mattéi, disciple en cela d'Albert Camus (dont il partage la naissance oranaise), l'humanisme n'a pas dit son dernier mot, au contraire, et à condition de ne pas réduire cet impératif éthique à un vague bouillon de bons sentiments. Dans ce dernier ouvrage - qu'il avait d'abord voulu intituler: "Essai sur la destruction de l'homme"-  il revient donc sur les "idéologies de la mort de l'homme" et entend les combattre à partir de Camus et de Platon. Le titre ultime de son livre fait d'ailleurs écho à "L'homme révolté" de Camus.
Testament philosophique, ce livre est fidèle à ce qu'était Jean-François Mattéï : un homme bon, un ami de la vie, un tenant de "la morale à hauteur d'homme", sans doute jugé avec une sévérité excessive par les "gauchistes" philosophiques, mais proche de son lecteur, et styliste de grand talent. Une préface admirable de Raphaël Enthoven replace ce livre dans son contexte historique et philosophique. De plus, le préfacier défendra dans les média la mémoire de son professeur et ami.
Jean-François Mattéï n'a cessé, depuis sa thèse sur "La fondation de l'ontologie platonicienne", de poursuivre ses recherches sur "le fondement prémétaphysique de la métaphysique". Dans ce voyage philosophique, il a toujours cheminé en compagnie de Platon, de Heidegger, d'Hannah Arendt, d'Albert Camus et de Jan Patocka - et, surtout, de leurs concepts ou sensibilités face au monde moderne. Ces recherches l'ont amené, de proche en proche, à se quereller avec les tenants de "l'anti-humanisme" contemporain qui, fidèles à la leçon de Michel Foucault, ont cru devoir diagnostiquer "la mort de l'homme". Pour Mattéi, disciple en cela d'Albert Camus (dont il partage la naissance oranaise), l'humanisme n'a pas dit son dernier mot, au contraire, et à condition de ne pas réduire cet impératif éthique à un vague bouillon de bons sentiments. Dans ce dernier ouvrage - qu'il avait d'abord voulu intituler: "Essai sur la destruction de l'homme"-  il revient donc sur les "idéologies de la mort de l'homme" et entend les combattre à partir de Camus et de Platon. Le titre ultime de son livre fait d'ailleurs écho à "L'homme révolté" de Camus.
Testament philosophique, ce livre est fidèle à ce qu'était Jean-François Mattéï : un homme bon, un ami de la vie, un tenant de "la morale à hauteur d'homme", sans doute jugé avec une sévérité excessive par les "gauchistes" philosophiques, mais proche de son lecteur, et styliste de grand talent. Une préface admirable de Raphaël Enthoven replace ce livre dans son contexte historique et philosophique. De plus, le préfacier défendra dans les média la mémoire de son professeur et ami.
Un mur de solitude
Jean-François Mattei
Grand Format
19,00 €