Alors que nous avons tendance à séparer radicalement le "dehors" du "dedans", la philosophie nous a appris qu'être-au-monde, et donc vivre pleinement, nous situe nécessairement hors de nous-mêmes. Comment comprendre alors que nous puissions vivre extérieurement à nous-mêmes ? Avec cette ouverture à l'espace, où se situe la pensée et où se situe le sujet ? La psychose, par exemple, nous dévoile que la participation du sujet à l'espace relève d'un arrangement subverti des principes de limite et de continuité.
Le dépassement de la rupture proprement moïque entre le dedans et le dehors montre une ubiquité subjective essentielle.
Alors que nous avons tendance à séparer radicalement le "dehors" du "dedans", la philosophie nous a appris qu'être-au-monde, et donc vivre pleinement, nous situe nécessairement hors de nous-mêmes. Comment comprendre alors que nous puissions vivre extérieurement à nous-mêmes ? Avec cette ouverture à l'espace, où se situe la pensée et où se situe le sujet ? La psychose, par exemple, nous dévoile que la participation du sujet à l'espace relève d'un arrangement subverti des principes de limite et de continuité.
Le dépassement de la rupture proprement moïque entre le dedans et le dehors montre une ubiquité subjective essentielle.