L'histoire en 2050
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- Nombre de pages308
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-11-129458-5
- EAN9782111294585
- Date de parution15/09/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurInstitut de la gestion publique ...
Résumé
Raisonner sur 2050 est une nécessité pratique, car l'histoire est chose mouvante, flexible, il est impossible de croire qu'en 2050 elle sera identique à celle que nous connaissons : les centres d'intérêt, les manières de connaître, les méthodes seront bien différents (il suffit de saisir les changements pour les années 1950-2000). Aussi bien une prospective 2050 oblige- t-elle à jeter un regard autre sur notre présent, un regard libre, assuré, et à pressentir des mutations dont souvent, par prudence, on préfère ne pas parler.
Ces quinze leçons cherchent à esquisser les mutations d'ici à 2050 de quelques disciplines (l'histoire de la bureaucratie, l'histoire économique, l'histoire sociale)t à analyser les changements probables du système (par exemple pour la formation, l'ingénierie historique, les archives, la communication). Ces esquisses à l'échelle de 2050 permettent de saisir les zones d'incertitude, les facteurs d'évolution, elles montrent aussi ce qu'il serait important de faire ; elles introduisent à une vision différente de l'histoire, et François Monnier dans sa préface explique bien le sens de ces explorations, qui sont propres à susciter l'inquiétude : réfléchir sur l'historien de 2050 n'est pas innocent.
Ces quinze leçons cherchent à esquisser les mutations d'ici à 2050 de quelques disciplines (l'histoire de la bureaucratie, l'histoire économique, l'histoire sociale)t à analyser les changements probables du système (par exemple pour la formation, l'ingénierie historique, les archives, la communication). Ces esquisses à l'échelle de 2050 permettent de saisir les zones d'incertitude, les facteurs d'évolution, elles montrent aussi ce qu'il serait important de faire ; elles introduisent à une vision différente de l'histoire, et François Monnier dans sa préface explique bien le sens de ces explorations, qui sont propres à susciter l'inquiétude : réfléchir sur l'historien de 2050 n'est pas innocent.
Raisonner sur 2050 est une nécessité pratique, car l'histoire est chose mouvante, flexible, il est impossible de croire qu'en 2050 elle sera identique à celle que nous connaissons : les centres d'intérêt, les manières de connaître, les méthodes seront bien différents (il suffit de saisir les changements pour les années 1950-2000). Aussi bien une prospective 2050 oblige- t-elle à jeter un regard autre sur notre présent, un regard libre, assuré, et à pressentir des mutations dont souvent, par prudence, on préfère ne pas parler.
Ces quinze leçons cherchent à esquisser les mutations d'ici à 2050 de quelques disciplines (l'histoire de la bureaucratie, l'histoire économique, l'histoire sociale)t à analyser les changements probables du système (par exemple pour la formation, l'ingénierie historique, les archives, la communication). Ces esquisses à l'échelle de 2050 permettent de saisir les zones d'incertitude, les facteurs d'évolution, elles montrent aussi ce qu'il serait important de faire ; elles introduisent à une vision différente de l'histoire, et François Monnier dans sa préface explique bien le sens de ces explorations, qui sont propres à susciter l'inquiétude : réfléchir sur l'historien de 2050 n'est pas innocent.
Ces quinze leçons cherchent à esquisser les mutations d'ici à 2050 de quelques disciplines (l'histoire de la bureaucratie, l'histoire économique, l'histoire sociale)t à analyser les changements probables du système (par exemple pour la formation, l'ingénierie historique, les archives, la communication). Ces esquisses à l'échelle de 2050 permettent de saisir les zones d'incertitude, les facteurs d'évolution, elles montrent aussi ce qu'il serait important de faire ; elles introduisent à une vision différente de l'histoire, et François Monnier dans sa préface explique bien le sens de ces explorations, qui sont propres à susciter l'inquiétude : réfléchir sur l'historien de 2050 n'est pas innocent.