L'exposition coloniale de 1931
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- Nombre de pages218
- FormatePub
- ISBN978-2-37735-979-0
- EAN9782377359790
- Date de parution22/04/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurArchipoche
Résumé
Les historiens Catherine Hodeir et Michel Pierre revisitent la toute dernière exposition coloniale, qui s'est tenue à Paris, à la Porte Dorée, en 1931. Apothéose de la fierté coloniale et prélude au démantèlement de l'Empire.
Quand l'Empire français se donnait en spectacle
Vue par 33 millions de visiteurs, l'Exposition coloniale de 1931 sera la dernière manifestation de la bonne conscience européocentriste.
De mai à octobre 1931, à l'est de Paris, s'installe dans le bois de Vincennes la grande fête de l'imaginaire colonial. Un décor de pagodes, de temples indochinois, de cases africaines, de minarets arabes et de murailles sahéliennes. Un théâtre de figurants piroguant sur le lac Daumesnil, servant dans des cafés maures, dansant pour des publics émoustillés. Une féerie de l'eau et de la lumière qui découpe, le soir venu, coupoles et tours en silhouettes magiques. À l'invitation de la France et sous l'égide du maréchal Lyautey, les puissances coloniales (sauf la Grande-Bretagne) présentent, exposent et rivalisent d'exotisme ludique et de scénographie didactique.
Des millions de visiteurs se pressent à la rencontre de cette planète rêvée où l'Occident se mire. Ultime représentation à l'heure des premiers craquements annonçant la fin des empires. Mais qui les écoute, une fois franchis les guichets de la Porte dorée ?
De mai à octobre 1931, à l'est de Paris, s'installe dans le bois de Vincennes la grande fête de l'imaginaire colonial. Un décor de pagodes, de temples indochinois, de cases africaines, de minarets arabes et de murailles sahéliennes. Un théâtre de figurants piroguant sur le lac Daumesnil, servant dans des cafés maures, dansant pour des publics émoustillés. Une féerie de l'eau et de la lumière qui découpe, le soir venu, coupoles et tours en silhouettes magiques. À l'invitation de la France et sous l'égide du maréchal Lyautey, les puissances coloniales (sauf la Grande-Bretagne) présentent, exposent et rivalisent d'exotisme ludique et de scénographie didactique.
Des millions de visiteurs se pressent à la rencontre de cette planète rêvée où l'Occident se mire. Ultime représentation à l'heure des premiers craquements annonçant la fin des empires. Mais qui les écoute, une fois franchis les guichets de la Porte dorée ?
Les historiens Catherine Hodeir et Michel Pierre revisitent la toute dernière exposition coloniale, qui s'est tenue à Paris, à la Porte Dorée, en 1931. Apothéose de la fierté coloniale et prélude au démantèlement de l'Empire.
Quand l'Empire français se donnait en spectacle
Vue par 33 millions de visiteurs, l'Exposition coloniale de 1931 sera la dernière manifestation de la bonne conscience européocentriste.
De mai à octobre 1931, à l'est de Paris, s'installe dans le bois de Vincennes la grande fête de l'imaginaire colonial. Un décor de pagodes, de temples indochinois, de cases africaines, de minarets arabes et de murailles sahéliennes. Un théâtre de figurants piroguant sur le lac Daumesnil, servant dans des cafés maures, dansant pour des publics émoustillés. Une féerie de l'eau et de la lumière qui découpe, le soir venu, coupoles et tours en silhouettes magiques. À l'invitation de la France et sous l'égide du maréchal Lyautey, les puissances coloniales (sauf la Grande-Bretagne) présentent, exposent et rivalisent d'exotisme ludique et de scénographie didactique.
Des millions de visiteurs se pressent à la rencontre de cette planète rêvée où l'Occident se mire. Ultime représentation à l'heure des premiers craquements annonçant la fin des empires. Mais qui les écoute, une fois franchis les guichets de la Porte dorée ?
De mai à octobre 1931, à l'est de Paris, s'installe dans le bois de Vincennes la grande fête de l'imaginaire colonial. Un décor de pagodes, de temples indochinois, de cases africaines, de minarets arabes et de murailles sahéliennes. Un théâtre de figurants piroguant sur le lac Daumesnil, servant dans des cafés maures, dansant pour des publics émoustillés. Une féerie de l'eau et de la lumière qui découpe, le soir venu, coupoles et tours en silhouettes magiques. À l'invitation de la France et sous l'égide du maréchal Lyautey, les puissances coloniales (sauf la Grande-Bretagne) présentent, exposent et rivalisent d'exotisme ludique et de scénographie didactique.
Des millions de visiteurs se pressent à la rencontre de cette planète rêvée où l'Occident se mire. Ultime représentation à l'heure des premiers craquements annonçant la fin des empires. Mais qui les écoute, une fois franchis les guichets de la Porte dorée ?