L'Evangile de Luc et les Actes des Apôtres selon le Codex Bezae Cantabrigiensis
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- Nombre de pages422
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-22295-3
- EAN9782296222953
- Date de parution01/04/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille18 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'Évangile selon Luc et les Actes des Apôtres présentent dans le Codex Bezæ Cantabrigiensis - un manuscrit remontant au début du Ve siècle - des différences significatives par rapport au texte habituel de nos bibles ; elles dénotent une rédaction plus ancienne, la plus ancienne connue. Sous les multiples nuances du grec, dont la traduction intentionnellement littérale cherche à rendre compte, la formulation riche d'informations insoupçonnées relance le débat sur l'époque et l'ordre de rédaction des Évangiles, d'une manière qui pourrait s'avérer décisive.
Ce codex, qui est l'un des grands onciaux reçus de l'Antiquité, fut conservé plus de sept cents ans à Lyon (Rhône) ; il est vraisemblable que c'est là qu'il fut réalisé et copié. Or il n'est pas pris en compte dans l'établissement du texte grec standard et ses leçons demeurent inconnues. La traduction de l'Évangile de Luc en est donnée ici pour la première fois. La disposition suit celle du manuscrit sur 33 lignes par pages et, pour susciter la comparaison avec le texte standard, ont été portés en italiques les termes qui lui sont spécifiques.
Ce codex, qui est l'un des grands onciaux reçus de l'Antiquité, fut conservé plus de sept cents ans à Lyon (Rhône) ; il est vraisemblable que c'est là qu'il fut réalisé et copié. Or il n'est pas pris en compte dans l'établissement du texte grec standard et ses leçons demeurent inconnues. La traduction de l'Évangile de Luc en est donnée ici pour la première fois. La disposition suit celle du manuscrit sur 33 lignes par pages et, pour susciter la comparaison avec le texte standard, ont été portés en italiques les termes qui lui sont spécifiques.
L'Évangile selon Luc et les Actes des Apôtres présentent dans le Codex Bezæ Cantabrigiensis - un manuscrit remontant au début du Ve siècle - des différences significatives par rapport au texte habituel de nos bibles ; elles dénotent une rédaction plus ancienne, la plus ancienne connue. Sous les multiples nuances du grec, dont la traduction intentionnellement littérale cherche à rendre compte, la formulation riche d'informations insoupçonnées relance le débat sur l'époque et l'ordre de rédaction des Évangiles, d'une manière qui pourrait s'avérer décisive.
Ce codex, qui est l'un des grands onciaux reçus de l'Antiquité, fut conservé plus de sept cents ans à Lyon (Rhône) ; il est vraisemblable que c'est là qu'il fut réalisé et copié. Or il n'est pas pris en compte dans l'établissement du texte grec standard et ses leçons demeurent inconnues. La traduction de l'Évangile de Luc en est donnée ici pour la première fois. La disposition suit celle du manuscrit sur 33 lignes par pages et, pour susciter la comparaison avec le texte standard, ont été portés en italiques les termes qui lui sont spécifiques.
Ce codex, qui est l'un des grands onciaux reçus de l'Antiquité, fut conservé plus de sept cents ans à Lyon (Rhône) ; il est vraisemblable que c'est là qu'il fut réalisé et copié. Or il n'est pas pris en compte dans l'établissement du texte grec standard et ses leçons demeurent inconnues. La traduction de l'Évangile de Luc en est donnée ici pour la première fois. La disposition suit celle du manuscrit sur 33 lignes par pages et, pour susciter la comparaison avec le texte standard, ont été portés en italiques les termes qui lui sont spécifiques.