L'Europe, ce continent sauvage. Comment les Amérindiens ont découvert l'Ancien Monde
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- Nombre de pages384
- FormatePub
- ISBN978-2-226-50172-1
- EAN9782226501721
- Date de parution26/02/2025
- Protection num.Adobe DRM
- Taille5 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
- TraducteurJulie Loncin
Résumé
On nous a longtemps enseigné que l'histoire moderne commençait en 1492 lorsque le « Vieux Monde » rencontrait le « Nouveau », avec la « découverte » de l'Amérique par Christophe Colomb. Or, comme le montre Caroline Dodds Pennock dans ce livre novateur, pour des dizaines de milliers d'Aztèques, de Mayas, de Totonaques, d'Inuits et d'autres indigènes américains - esclaves, diplomates, explorateurs, serviteurs, commerçants, ce n'est pas ce qui s'est produit : ils ont découvert l'Europe au XVI et XVIIe siècles, l'enrichissant de cultures différentes.
Pour eux, l'Europe était un continent sauvage, une terre de richesses et de merveilles, mais qui les laissait perplexe par ses disparités brutales en termes de richesse et de qualité de vie, et ses croyances déconcertantes.
L'histoire de ces indigènes américains en Europe est souvent synonyme d'enlèvement, de défaite, d'appropriation culturelle, et finalement d'apocalypse - une histoire pourtant largement absente de notre conscience collective. Du roi brésilien qui a rencontré Henri VIII aux Aztèques qui ont simulé des sacrifices humains à la cour de Charles Quint ; de la fameuse « fête cannibale » d'Henri II et Catherine de Médicis aux enfants métis des Espagnols qui sont rentrés « chez eux » avec leurs pères ; sans oublier les nombreux serviteurs employés par des Européens de tous rangs : voici un peuple qui a été rendu exotique, rabaissé et marginalisé, mais dont les visions du monde et les cultures ont eu un impact profond sur la civilisation européenne.
L'histoire de ces indigènes américains en Europe est souvent synonyme d'enlèvement, de défaite, d'appropriation culturelle, et finalement d'apocalypse - une histoire pourtant largement absente de notre conscience collective. Du roi brésilien qui a rencontré Henri VIII aux Aztèques qui ont simulé des sacrifices humains à la cour de Charles Quint ; de la fameuse « fête cannibale » d'Henri II et Catherine de Médicis aux enfants métis des Espagnols qui sont rentrés « chez eux » avec leurs pères ; sans oublier les nombreux serviteurs employés par des Européens de tous rangs : voici un peuple qui a été rendu exotique, rabaissé et marginalisé, mais dont les visions du monde et les cultures ont eu un impact profond sur la civilisation européenne.
On nous a longtemps enseigné que l'histoire moderne commençait en 1492 lorsque le « Vieux Monde » rencontrait le « Nouveau », avec la « découverte » de l'Amérique par Christophe Colomb. Or, comme le montre Caroline Dodds Pennock dans ce livre novateur, pour des dizaines de milliers d'Aztèques, de Mayas, de Totonaques, d'Inuits et d'autres indigènes américains - esclaves, diplomates, explorateurs, serviteurs, commerçants, ce n'est pas ce qui s'est produit : ils ont découvert l'Europe au XVI et XVIIe siècles, l'enrichissant de cultures différentes.
Pour eux, l'Europe était un continent sauvage, une terre de richesses et de merveilles, mais qui les laissait perplexe par ses disparités brutales en termes de richesse et de qualité de vie, et ses croyances déconcertantes.
L'histoire de ces indigènes américains en Europe est souvent synonyme d'enlèvement, de défaite, d'appropriation culturelle, et finalement d'apocalypse - une histoire pourtant largement absente de notre conscience collective. Du roi brésilien qui a rencontré Henri VIII aux Aztèques qui ont simulé des sacrifices humains à la cour de Charles Quint ; de la fameuse « fête cannibale » d'Henri II et Catherine de Médicis aux enfants métis des Espagnols qui sont rentrés « chez eux » avec leurs pères ; sans oublier les nombreux serviteurs employés par des Européens de tous rangs : voici un peuple qui a été rendu exotique, rabaissé et marginalisé, mais dont les visions du monde et les cultures ont eu un impact profond sur la civilisation européenne.
L'histoire de ces indigènes américains en Europe est souvent synonyme d'enlèvement, de défaite, d'appropriation culturelle, et finalement d'apocalypse - une histoire pourtant largement absente de notre conscience collective. Du roi brésilien qui a rencontré Henri VIII aux Aztèques qui ont simulé des sacrifices humains à la cour de Charles Quint ; de la fameuse « fête cannibale » d'Henri II et Catherine de Médicis aux enfants métis des Espagnols qui sont rentrés « chez eux » avec leurs pères ; sans oublier les nombreux serviteurs employés par des Européens de tous rangs : voici un peuple qui a été rendu exotique, rabaissé et marginalisé, mais dont les visions du monde et les cultures ont eu un impact profond sur la civilisation européenne.