Le désir de vivre n'est pas d'évidence. Impensable, irreprésentable, la mort s'immisce pourtant au coeur du vivant, comme une aspiration profonde que Freud avait nommée pulsion de mort. Elle est à l'origine de toutes les passions tristes qui poussent l'être parlant à lâcher prise sur la réalité et à céder sur ses désirs les plus chers, au profit de l'illusion mais au prix de l'impuissance. Pas de réalisations possibles pour celui qui n'a pas voulu savoir la loi de son désir.
C'est bien ce cheminement de l'être, seul antidote à la mort psychique que Lacan a nommé désir. La parole en analyse est un médium inégalé pour renouer avec son désir et s'engager dans les choix éthiques qu'impliquent le fait d'être vivant. A l'heure où la fin de vie et le « bien vivre sa mort » focalisent les débats de société, cet ouvrage donne à lire une éthique fondée sur le choix existentiel qui sous-tend la vie.
Le désir de vivre n'est pas d'évidence. Impensable, irreprésentable, la mort s'immisce pourtant au coeur du vivant, comme une aspiration profonde que Freud avait nommée pulsion de mort. Elle est à l'origine de toutes les passions tristes qui poussent l'être parlant à lâcher prise sur la réalité et à céder sur ses désirs les plus chers, au profit de l'illusion mais au prix de l'impuissance. Pas de réalisations possibles pour celui qui n'a pas voulu savoir la loi de son désir.
C'est bien ce cheminement de l'être, seul antidote à la mort psychique que Lacan a nommé désir. La parole en analyse est un médium inégalé pour renouer avec son désir et s'engager dans les choix éthiques qu'impliquent le fait d'être vivant. A l'heure où la fin de vie et le « bien vivre sa mort » focalisent les débats de société, cet ouvrage donne à lire une éthique fondée sur le choix existentiel qui sous-tend la vie.