L'espoir, cette tragédie

Par : Shalom Auslander

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  • Nombre de pages255
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7144-5506-2
  • EAN9782714455062
  • Date de parution10/01/2013
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • ÉditeurBelfond
  • TraducteurBernard Cohen

Résumé

Après La Lamentation du prépuce et Attention : dieu méchant, le grand retour de Shalom Auslander avec un roman encore plus iconoclaste, provocateur et hilarant. Entre Woody Allen, Philip Roth et Franz Kafka, un régal de drôlerie et de profondeur sur la légitimité de l'art après l'Holocauste, le devoir de mémoire (ou plutôt celui « de ne jamais la fermer ») et les ravages causés dans le monde par l'espoir, cette tragédie. Dans l'État de New York, de nos jours.
En choisissant d'établir sa famille dans la petite ville de Stockton, dans l'État de New York, Salomon Kugel pensait avoir enfin laissé derrière lui le bruit et la fureur de la Grosse Pomme. Or, à peine installé, force lui est de reconnaître que la vie à la campagne ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices : sa mère d'abord, qui s'accroche farouchement à la vie « par devoir de mémoire », en omettant de dire qu'elle-même n'a pas vécu l'Holocauste ; son épouse, jamais la dernière pour scruter ses moindres faits et gestes et lui rappeler la fragilité de leur situation financière ; et ce pyromane qui sème la terreur dans la région et que les appétissants bardeaux de la nouvelle maison Kugel ne devraient pas manquer de séduire.
Et puis il y a ces curieux bruits dans le grenier. Rassemblant son courage, Salomon décide d'y monter : stupeur ! Quelle est cette créature ? Une femme, très vieille, très poussiéreuse et très énervée. Une femme dont Salomon, voire le monde entier, pensait qu'elle était morte ! Une femme bien résolue à faire éclater toute la vérité sur son histoire.
Après La Lamentation du prépuce et Attention : dieu méchant, le grand retour de Shalom Auslander avec un roman encore plus iconoclaste, provocateur et hilarant. Entre Woody Allen, Philip Roth et Franz Kafka, un régal de drôlerie et de profondeur sur la légitimité de l'art après l'Holocauste, le devoir de mémoire (ou plutôt celui « de ne jamais la fermer ») et les ravages causés dans le monde par l'espoir, cette tragédie. Dans l'État de New York, de nos jours.
En choisissant d'établir sa famille dans la petite ville de Stockton, dans l'État de New York, Salomon Kugel pensait avoir enfin laissé derrière lui le bruit et la fureur de la Grosse Pomme. Or, à peine installé, force lui est de reconnaître que la vie à la campagne ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices : sa mère d'abord, qui s'accroche farouchement à la vie « par devoir de mémoire », en omettant de dire qu'elle-même n'a pas vécu l'Holocauste ; son épouse, jamais la dernière pour scruter ses moindres faits et gestes et lui rappeler la fragilité de leur situation financière ; et ce pyromane qui sème la terreur dans la région et que les appétissants bardeaux de la nouvelle maison Kugel ne devraient pas manquer de séduire.
Et puis il y a ces curieux bruits dans le grenier. Rassemblant son courage, Salomon décide d'y monter : stupeur ! Quelle est cette créature ? Une femme, très vieille, très poussiéreuse et très énervée. Une femme dont Salomon, voire le monde entier, pensait qu'elle était morte ! Une femme bien résolue à faire éclater toute la vérité sur son histoire.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.8/5
sur 5 notes dont 2 avis lecteurs
Grosse Déception
On annonce un livre drôle, mais j'ai eu l'impression de lire un livre "ridicule". Je n'ai pas souhaité mener ma lecture à son terme, affligé par ce syndrome de nombrilisme post-shoah : éliminer,dans le grenier, Anne Franck qui n'en finit pas de se décomposer !!! Et pourquoi pas Ste Thérèse d'Avila, entraïneuse à Las Vegas ! Arrêter d'évoquer une putative 'filiation'' littéraire Roth - Auslander. Roth, lui, est un VRAI romancier, tandis qu'Auslander court toujours après son prépuce.
On annonce un livre drôle, mais j'ai eu l'impression de lire un livre "ridicule". Je n'ai pas souhaité mener ma lecture à son terme, affligé par ce syndrome de nombrilisme post-shoah : éliminer,dans le grenier, Anne Franck qui n'en finit pas de se décomposer !!! Et pourquoi pas Ste Thérèse d'Avila, entraïneuse à Las Vegas ! Arrêter d'évoquer une putative 'filiation'' littéraire Roth - Auslander. Roth, lui, est un VRAI romancier, tandis qu'Auslander court toujours après son prépuce.
  • Ennuyant
3/5
Sans grande conviction
La famille Kuget vient tout juste de s’installer dans une jolie ferme de la campagne new-yorkaise. Afin de rembourser une partie du crédit, ils décident de louer les chambres qui ne leur sont pas utiles dans l’immédiat. Malheureusement, la mère de Solomon à l’article de la mort vient s’installer avec eux. Fini donc la petite vie tranquille entre un locataire exigent, une mère qui se lamente sans cesse sur une Shoah qu’elle n’a pas vécu et une femme qui l’accable de reproche. Mais le comble est atteint quand suite à de drôles de bruits, il découvre Anne Franck cachée dans son grenier. Anne Franck qui tente d’écrire le roman qui fera oublier son si célèbre journal. Comment ne pas sombrer dans la folie avec tout cela ! On retrouve ici les thèmes chers à Auslander : la religion et la famille. Mais cette fois-ci les choses sont tournées en dérision et font beaucoup moins sourire que dans ces précédents ouvrages. Le questionnement constant sur l’Holocauste, le devoir de mémoire, la mort et surtout sur les dernières paroles prononcées gâche un peu le coté comique qui se cache dans ce roman. J’ai eu beaucoup de mal au début, j’ai trouvé cela original au milieu et la fin m’a complétement déçue. Avis très mitigé donc. Merci toutefois à Entrée Livres pour cet envoi.
La famille Kuget vient tout juste de s’installer dans une jolie ferme de la campagne new-yorkaise. Afin de rembourser une partie du crédit, ils décident de louer les chambres qui ne leur sont pas utiles dans l’immédiat. Malheureusement, la mère de Solomon à l’article de la mort vient s’installer avec eux. Fini donc la petite vie tranquille entre un locataire exigent, une mère qui se lamente sans cesse sur une Shoah qu’elle n’a pas vécu et une femme qui l’accable de reproche. Mais le comble est atteint quand suite à de drôles de bruits, il découvre Anne Franck cachée dans son grenier. Anne Franck qui tente d’écrire le roman qui fera oublier son si célèbre journal. Comment ne pas sombrer dans la folie avec tout cela ! On retrouve ici les thèmes chers à Auslander : la religion et la famille. Mais cette fois-ci les choses sont tournées en dérision et font beaucoup moins sourire que dans ces précédents ouvrages. Le questionnement constant sur l’Holocauste, le devoir de mémoire, la mort et surtout sur les dernières paroles prononcées gâche un peu le coté comique qui se cache dans ce roman. J’ai eu beaucoup de mal au début, j’ai trouvé cela original au milieu et la fin m’a complétement déçue. Avis très mitigé donc. Merci toutefois à Entrée Livres pour cet envoi.
  • Drôle
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