L'ère de la flemme. Comment nous et nos enfants avons perdu le sens de l'effort
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- FormatePub
- ISBN978-2-283-04034-8
- EAN9782283040348
- Date de parution16/01/2025
- Protection num.Adobe DRM
- Taille399 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurBuchet-Chastel
Résumé
Le rapport intime que nous avions à l'effort a disparu. Depuis le début du XXIe siècle, la France, à l'image des vieux pays démocratiques, semble être entrée dans une nouvelle ère de son histoire : celle de la flemme.
C'est une rupture civilisationnelle majeure, qui se traduit autant par une crise du loisir que par une crise du travail.
L'effort n'est plus inscrit au nombre des valeurs qui comptent.
Quels sont les signes du recul de l'effort ? Pourquoi l'effort est-il devenu trop difficile ? Avons-nous vraiment compris ce que cette renonciation impliquait ? L'humanité a vécu dans et par l'effort depuis sa naissance. Il était la morale que l'on enseignait, l'exemple que l'on donnait. On ne survivait, on n'était reconnu membre de la société, on ne concevait de se réaliser personnellement qu'à travers lui.
Elles avaient toutes une chose en commun : elles exigeaient le carburant d'un investissement considérable. Mais l'être humain a mené une lutte millénaire pour découvrir les moyens d'économiser ses forces et s'affranchir des contraintes. Grâce à nos technologies, nous avons obtenu toujours plus de confort. Et les structures de notre société ont évolué dans le sens d'une émancipation de l'individu.
Quels sont les signes du recul de l'effort ? Pourquoi l'effort est-il devenu trop difficile ? Avons-nous vraiment compris ce que cette renonciation impliquait ? L'humanité a vécu dans et par l'effort depuis sa naissance. Il était la morale que l'on enseignait, l'exemple que l'on donnait. On ne survivait, on n'était reconnu membre de la société, on ne concevait de se réaliser personnellement qu'à travers lui.
Elles avaient toutes une chose en commun : elles exigeaient le carburant d'un investissement considérable. Mais l'être humain a mené une lutte millénaire pour découvrir les moyens d'économiser ses forces et s'affranchir des contraintes. Grâce à nos technologies, nous avons obtenu toujours plus de confort. Et les structures de notre société ont évolué dans le sens d'une émancipation de l'individu.
Le rapport intime que nous avions à l'effort a disparu. Depuis le début du XXIe siècle, la France, à l'image des vieux pays démocratiques, semble être entrée dans une nouvelle ère de son histoire : celle de la flemme.
C'est une rupture civilisationnelle majeure, qui se traduit autant par une crise du loisir que par une crise du travail.
L'effort n'est plus inscrit au nombre des valeurs qui comptent.
Quels sont les signes du recul de l'effort ? Pourquoi l'effort est-il devenu trop difficile ? Avons-nous vraiment compris ce que cette renonciation impliquait ? L'humanité a vécu dans et par l'effort depuis sa naissance. Il était la morale que l'on enseignait, l'exemple que l'on donnait. On ne survivait, on n'était reconnu membre de la société, on ne concevait de se réaliser personnellement qu'à travers lui.
Elles avaient toutes une chose en commun : elles exigeaient le carburant d'un investissement considérable. Mais l'être humain a mené une lutte millénaire pour découvrir les moyens d'économiser ses forces et s'affranchir des contraintes. Grâce à nos technologies, nous avons obtenu toujours plus de confort. Et les structures de notre société ont évolué dans le sens d'une émancipation de l'individu.
Quels sont les signes du recul de l'effort ? Pourquoi l'effort est-il devenu trop difficile ? Avons-nous vraiment compris ce que cette renonciation impliquait ? L'humanité a vécu dans et par l'effort depuis sa naissance. Il était la morale que l'on enseignait, l'exemple que l'on donnait. On ne survivait, on n'était reconnu membre de la société, on ne concevait de se réaliser personnellement qu'à travers lui.
Elles avaient toutes une chose en commun : elles exigeaient le carburant d'un investissement considérable. Mais l'être humain a mené une lutte millénaire pour découvrir les moyens d'économiser ses forces et s'affranchir des contraintes. Grâce à nos technologies, nous avons obtenu toujours plus de confort. Et les structures de notre société ont évolué dans le sens d'une émancipation de l'individu.