L'envers du tableau. Mariage et maternité en Flandre médiévale
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- Nombre de pages390
- FormatPDF
- ISBN10-376-2900-0
- EAN9791037629005
- Date de parution01/01/1990
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille138 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurArmand Colin (réédition numériqu...
Résumé
« Ce qui rend ce livre fascinant, c'est la façon dont Myriam Greilsammer, avec un grand talent d'écriture, restitue la scène flamande des destins féminins, en nourrissant l'histoire des apports de l'ethnologie. Les rituels des fiançailles, des mariages, des naissances, des relevailles, se déroulent sous nos yeux. Les cortèges, les musiques, les gestes donnent toutes ses dimensions à cette histoire entre fête et drame, joies et peurs, ciel et enfer.
» « La Flandre et le Brabant des XIVe-XVIe siècles, c'est aussi l'univers d'un grand moment de la peinture européenne, où la femme est toujours présente dans l'intensité spirituelle du mariage de la Vierge, ou le réalisme débridé des noces paysannes. Car Myriam Greilsammer a su regarder - et nous montrer - les images de cette peinture plus que comme des illustrations de l'histoire de la femme, comme des documents à part entière de cette histoire.
Et ces images lui ont permis, au-delà des textes trop liés aux couches supérieures de la société, et à la rationalisation de l'univers juridique, de retrouver le monde libéré et charnel de la féminité populaire, des noces villageoises à la Breugel. Et elle a pu couronner son enquête par le rire, un rire de fête, mais aussi un rire amer de dérision. » Jacques Le Goff
» « La Flandre et le Brabant des XIVe-XVIe siècles, c'est aussi l'univers d'un grand moment de la peinture européenne, où la femme est toujours présente dans l'intensité spirituelle du mariage de la Vierge, ou le réalisme débridé des noces paysannes. Car Myriam Greilsammer a su regarder - et nous montrer - les images de cette peinture plus que comme des illustrations de l'histoire de la femme, comme des documents à part entière de cette histoire.
Et ces images lui ont permis, au-delà des textes trop liés aux couches supérieures de la société, et à la rationalisation de l'univers juridique, de retrouver le monde libéré et charnel de la féminité populaire, des noces villageoises à la Breugel. Et elle a pu couronner son enquête par le rire, un rire de fête, mais aussi un rire amer de dérision. » Jacques Le Goff
« Ce qui rend ce livre fascinant, c'est la façon dont Myriam Greilsammer, avec un grand talent d'écriture, restitue la scène flamande des destins féminins, en nourrissant l'histoire des apports de l'ethnologie. Les rituels des fiançailles, des mariages, des naissances, des relevailles, se déroulent sous nos yeux. Les cortèges, les musiques, les gestes donnent toutes ses dimensions à cette histoire entre fête et drame, joies et peurs, ciel et enfer.
» « La Flandre et le Brabant des XIVe-XVIe siècles, c'est aussi l'univers d'un grand moment de la peinture européenne, où la femme est toujours présente dans l'intensité spirituelle du mariage de la Vierge, ou le réalisme débridé des noces paysannes. Car Myriam Greilsammer a su regarder - et nous montrer - les images de cette peinture plus que comme des illustrations de l'histoire de la femme, comme des documents à part entière de cette histoire.
Et ces images lui ont permis, au-delà des textes trop liés aux couches supérieures de la société, et à la rationalisation de l'univers juridique, de retrouver le monde libéré et charnel de la féminité populaire, des noces villageoises à la Breugel. Et elle a pu couronner son enquête par le rire, un rire de fête, mais aussi un rire amer de dérision. » Jacques Le Goff
» « La Flandre et le Brabant des XIVe-XVIe siècles, c'est aussi l'univers d'un grand moment de la peinture européenne, où la femme est toujours présente dans l'intensité spirituelle du mariage de la Vierge, ou le réalisme débridé des noces paysannes. Car Myriam Greilsammer a su regarder - et nous montrer - les images de cette peinture plus que comme des illustrations de l'histoire de la femme, comme des documents à part entière de cette histoire.
Et ces images lui ont permis, au-delà des textes trop liés aux couches supérieures de la société, et à la rationalisation de l'univers juridique, de retrouver le monde libéré et charnel de la féminité populaire, des noces villageoises à la Breugel. Et elle a pu couronner son enquête par le rire, un rire de fête, mais aussi un rire amer de dérision. » Jacques Le Goff
