L'écran bleu. La représentation des ouvriers dans le cinéma français
édition revue et augmentée
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- Nombre de pages304
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-35412-205-8
- EAN9782354122058
- Date de parution02/10/2013
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Perpig...
Résumé
L'ouvre : Moins de 200 films en un peu plus d'un siècle, 134 pour la période du cinéma parlant, la silhouette ouvrière n'est pas très fréquente dans le cinéma français. Cet ouvrage est né d'un choc : le retour en force des ouvriers à l'écran dans les années 90. En même temps que l'on annonçait partout la mort programmée de la classe ouvrière dans la vie réelle, voilà que, sous les traits de Dominique Blanc, d'Ariane Ascaride ou Elodie Bouchez, les ouvrières crevaient l'écran.
Ce décalage entre un discours généralement admis et la vigueur d'une représentation cinématographique a été une invitation à interroger sur la longue durée l'identité d'une représentation, à en traquer les constances et à en marquer les ruptures. Enraciné dans la conviction que le cinéma interpelle l'historien des sociétés et informe l'histoire, cet ouvrage a pour principale ambition d'offrir au lecteur quelques clés pour mieux comprendre une France où, réelle ou mythifiée, la classe ouvrière fut au cour de la vie politique.
La vérité de Clio est parfois de l'autre côté du miroir.
Ce décalage entre un discours généralement admis et la vigueur d'une représentation cinématographique a été une invitation à interroger sur la longue durée l'identité d'une représentation, à en traquer les constances et à en marquer les ruptures. Enraciné dans la conviction que le cinéma interpelle l'historien des sociétés et informe l'histoire, cet ouvrage a pour principale ambition d'offrir au lecteur quelques clés pour mieux comprendre une France où, réelle ou mythifiée, la classe ouvrière fut au cour de la vie politique.
La vérité de Clio est parfois de l'autre côté du miroir.
L'ouvre : Moins de 200 films en un peu plus d'un siècle, 134 pour la période du cinéma parlant, la silhouette ouvrière n'est pas très fréquente dans le cinéma français. Cet ouvrage est né d'un choc : le retour en force des ouvriers à l'écran dans les années 90. En même temps que l'on annonçait partout la mort programmée de la classe ouvrière dans la vie réelle, voilà que, sous les traits de Dominique Blanc, d'Ariane Ascaride ou Elodie Bouchez, les ouvrières crevaient l'écran.
Ce décalage entre un discours généralement admis et la vigueur d'une représentation cinématographique a été une invitation à interroger sur la longue durée l'identité d'une représentation, à en traquer les constances et à en marquer les ruptures. Enraciné dans la conviction que le cinéma interpelle l'historien des sociétés et informe l'histoire, cet ouvrage a pour principale ambition d'offrir au lecteur quelques clés pour mieux comprendre une France où, réelle ou mythifiée, la classe ouvrière fut au cour de la vie politique.
La vérité de Clio est parfois de l'autre côté du miroir.
Ce décalage entre un discours généralement admis et la vigueur d'une représentation cinématographique a été une invitation à interroger sur la longue durée l'identité d'une représentation, à en traquer les constances et à en marquer les ruptures. Enraciné dans la conviction que le cinéma interpelle l'historien des sociétés et informe l'histoire, cet ouvrage a pour principale ambition d'offrir au lecteur quelques clés pour mieux comprendre une France où, réelle ou mythifiée, la classe ouvrière fut au cour de la vie politique.
La vérité de Clio est parfois de l'autre côté du miroir.